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AnoNimos

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Posts posted by AnoNimos

  1. Ah Debdouba, Nimos voit que tu aimes maintenant l'Algérie Française....

    Et dire qu'il y a quelques mois tu criais á qui voulait t'entendre que tu vivrais tellement bien entre les Algeriens et tu avais rien á voir avec les Français...comme quoi...on sait jamais qui on est jusqu'á ce qu'on quitte le bercail... 😊

  2. اقترح المجلس الإسلامي الأعلى اليوم الأربعاء بالجزائر العاصمة ,استحداث مؤسسة تتولى ظاهرة الهجرة ,مؤكدا على "تحريم" فعل الهجرة السرية لأنها تؤدي إلى التهلكة بالنفس البشرية.

     

    وفي تصريح للصحافة, عقب تنظيم ندوة حول" دواعي الهجرة غير الشرعية: الأسباب والأخطار", أكد رئيس المجلس الإسلامي الأعلى, بوعبد الله غلام الله,أن هيئته اقترحت استحداث هيئة أو مؤسسة تابعة للدولة تتولى مهمة التحكم في الهجرة ,والبحث عن الحلول الناجعة لظاهرة الهجرة السرية التي وصفها بـ"المتوحشة".

     

    كما دعا غلام الله , إلى إجراء دراسة متعددة الجوانب حول الهجرة السرية, وذلك بهدف تحديد الاسباب الكامنة وراء تفشي هذه الظاهرة في المجتمع , والبحث عن الحلول الناجعة لمعالجتها.

     

    من جانبه , قدم رئيس لجنة الإفتاء بمجلس الإسلامي الأعلى , كمال بوزيدي, النظرة الفقهية للهجرة السرية , مقدما شرحا مفصلا عن الآثار السلبية الناجمة عن هذه الظاهرة , خاصة ما تعلق بتعريض النفس البشرية إلى التهلكة ومخالفة ولي الأمر ( الحاكم) إلى جانب ما يترتب عنها من إهانة للنفس وخرق للمعاهدات الدولية التي تنظم دخول وخروج المواطنين.

     

     

     

    وبناء على ذلك, أبرز أن "الهجرة المؤدية إلى الموت حتما أو يغلب الظن على عدم أمن وسلامة الإنسان, تعد فعل محرما لا ينبغي ولا يجوز أن يأتيه المسلم, مستشهدا في هذا الشأن بأدلة من القرآن الكريم والسنة النبوية الشريفة.

     

     

     

     

  3. [h=2][/h]

    La lutte contre les phénomènes de fraude et d’évasion fiscales est une «priorité» pour les pouvoirs publics, a affirmé avant-hier le ministre des Finances, Abderrahmane Raouia, en réponse aux interpellations des députés lors des débats à l’Assemblée populaire nationale (APN) sur la loi portant règlement budgétaire de l'exercice 2015.

     

    Le ministre des Finances, repris par l’APS, a fait état à l’occasion de l’existence d’un fichier de 120 000 fraudeurs qui seraient donc recensés et connus des services des impôts et contre lesquels les pouvoirs publics exercent déjà, selon lui, des sanctions et un contrôle très rigoureux. D’après les explications de du grand argentier du pays, il s’agit ainsi de 120 000 opérateurs inscrits au fichier national des fraudeurs comme étant coupables d'infractions graves aux législations et réglementations fiscales, commerciales, douanières, bancaires et financières.

     

    Ces fraudeurs, a-t-il tenté de rassurer, «sont exclus des transactions commerciales extérieures (import et export), de la participation aux marchés publics et de tous les avantages accordés habituellement aux investisseurs». Sans avancer de plus amples détails sur le préjudice causé par ces fraudeurs au Trésor public, le ministre a néanmoins tenté de mettre en avant la détermination de l’Etat à sévir désormais contre la fraude et l’évasion fiscales, citant à ce propos des échanges d'informations réguliers tant au plan interne qu'international, notamment avec les pays auxquels l'Algérie est liée par des conventions de coopération fiscale.

     

    De plus, a-t-il assuré, l'administration des impôts a initié de nombreuses actions pour lutter contre la fraude, dont surtout la multiplication du nombre des contrôleurs fiscaux, la réorientation du contrôle vers les données au niveau des services, l'intensification des interventions, l'introduction de nouveaux procédés comme le contrôle inopiné, mais aussi le suivi régulier des dossiers d'importance majeure ou considérés comme à grand risque.

     

    Dans ce même ordre d’idées, Abderrahmane Raouia a fait savoir que le produit des recouvrements de la fiscalité ordinaire, soit celle collectée en hors hydrocarbures, est passé de 1 179 milliards de dinars en 2008 à 2 841 milliards dinars en 2015, augmentant ainsi, selon lui, de 140% en huit années. Aussi, s’est-il félicité, la part de la fiscalité ordinaire est passée de 41% à 62% de l'ensemble de la fiscalité recouvrée durant la période en question.

     

    A cet égard, il convient de noter enfin que la Cour des comptes n’a cessé ces dernières années de mettre en évidence la grave faiblesse des recouvrements de certains impôts et les nombreuses défaillances qui caractérisent le système et les services fiscaux, aggravées notamment par l’ampleur des phénomènes de fraude et d’évasion fiscale, mais aussi par le foisonnement d’avantages et d’exonérations fiscaux et le manque de moyens et d’efficacité au sein des structures chargées de la collecte des impôts.

     

  4. [h=2][/h]

    L'Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) a lancé un appel d'offres international pour l’achat de blé de meunerie provenant d'origines optionnelles, a rapporté avant-hier l’agence britannique Reuters, citant des négociants européens.

     

    Le volume du blé commandé par l'organisme public algérien chargé des importations de céréales n’a pas été en revanche rendu public. L'unique importateur de blé en Algérie a fixé l'échéance de l'adjudication au 20 février, alors que l'expédition est prévue pour la période avril-mai. L'appel d'offres fournira un autre test pour le blé français dans son principal marché d'outre-mer contre la concurrence croissante des approvisionnements argentins, selon Reuters.

     

    Dans son dernier appel d'offres pour l’importation de blé de meunerie, le 25 janvier, l'OAIC a acheté au moins 500 000 tonnes et a également environ 150 000 tonnes de blé dur en février. Le pays, qui compte une population de plus de 41 millions d'habitants, importe chaque année près de 60% de ses besoins en céréales, estimés à environ 8 millions de tonnes/an. Une carte mondiale 2017-2018 des importateurs/exportateurs de blé, publiée par le cabinet spécialisé américain AgroChart, montrait que l’Algérie est le 3e plus gros importateur de blé dans le monde.

     

    L’Egypte reste le plus gros importateur de blé de la planète avec 12 millions de tonnes, suivie par l’Indonésie avec 9,5 millions de tonnes. Durant les neuf premiers mois de l’année 2017, la facture d’importation de céréales (blé dur, tendre, semoule, farine...), s’élevait à 2,11 milliards de dollars contre 2,13 milliards de dollars, en baisse de 0,72%, selon un récent bilan des Douanes. Côté production, celle-ci avait atteint seulement 35 millions de quintaux pour la saison des moissons 2016-2017 en dépit des mesures de soutien mises en place par les pouvoirs publics en faveur de cette filière. En août dernier, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural,

    Abdelkader Bouazgui, avait insisté sur l’impératif de prendre les mesures nécessaires pour revoir les conditions de production des céréales en Algérie.

     

    Plusieurs mesures devraient être prises, dont l’extension des superficies agricoles irriguées, l’amélioration des semences afin de les adapter au climat, l’utilisation des technologies pour développer les systèmes de production et la formation des agriculteurs. Ces mesures permettront, selon le ministère de l’Agriculture, de renforcer la production des céréales, d’augmenter le taux de productivité par hectare, de réduire les superficies non exploitées et d’élargir celles dédiées à la culture des céréales.

     

  5. [h=2][/h]

    La Banque d'Algérie a adressé mercredi une note aux banques les exhortant à respecter leurs obligations légales en donnant davantage de souplesse aux opérations de dépôts de fonds et de l’accès à ces dépôts par les épargnants, ont indiqué à l'APS des responsables de cette institution monétaire.

     

    En effet, "il est apparu qu’au nom d’une interprétation, souvent abusive et non fondée, des dispositions de la loi régissant le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, certains guichets bancaires ont été à l’origine de refoulement de capitaux de manière arbitraire et sans justifications réglementaires", constate la Banque d'Algérie dans cette note.

     

    Cette interprétation "restrictive" que font certaines banques des dispositions légales et réglementaires est constatée notamment en matière d’ouverture de comptes, d’acceptation des dépôts et de "délais exagérés" de mise à disposition des fonds.

    Cette attitude "a desservi les objectifs de l’inclusion financière et a généré, auprès des épargnants potentiels, un phénomène d’incompréhension et d’expectative", relève la même source.

    En conséquence, la Banque d'Algérie a adressé cette note à l’ensemble des banques de la place dans laquelle elle les appelle "à cesser d’exiger, lors de tout dépôt de fonds en caisse auprès de leurs guichets, des justificatifs au-delà de ceux relatifs à l’identité du client dans le cadre des exigences règlementaires en matière de connaissance du client".

    Précisant que "les retraits demeurent libres d’utilisation", la Banque centrale invite les banques "à faire preuve de diligence en matière de mise à disposition des fonds à la clientèle".

     

    Dans ce sens, elle appelle les P-dg des banques et des établissements financiers à mobiliser leurs structures opérationnelles, y compris par des programmes de formation et des actions de sensibilisation, aux fins de développer, de manière efficiente et soutenue, la bancarisation et l’inclusion financière.

    L’inclusion financière à travers une bancarisation soutenue, la plus large possible, appuyée par des politiques de collecte de la ressource auprès des acteurs économiques et des ménages, a, de tout temps, été le principe directeur soutenant les axes de modernisation et de développement du système bancaire et de croissance de l’économie nationale, expliquent les mêmes responsables.

     

    Dans cette optique, l’intermédiation bancaire doit jouer un rôle déterminant en matière de participation élargie des différents acteurs, sans distinction de statuts, aux efforts de diversification et de développement de l’économie nationale, ajoutent-ils.

    Ils font valoir que cette participation multiforme doit puiser sa contrepartie dans l’efficacité opérationnelle du système bancaire et financier, son adaptation permanente aux besoins de la clientèle et de sa capacité d’innovation technologique.

    A ce propos, la Banque d'Algérie rappelle aux banques l’institution du "droit au compte" pour tout citoyen précisé par une instruction de décembre 2012 de la Banque d’Algérie.

    Ceci a été conforté par l’article 43 de la Loi de Finances complémentaire pour 2015 permettant l’inclusion de nouveaux acteurs, comme sources d’expansion de l’épargne nationale et de sa canalisation, à travers la mise en œuvre du Programme de conformité fiscale volontaire.

     

     

    Persistance du phénomène de la sous-bancarisation

     

    La Banque centrale soutient aussi que la mobilisation des ressources financières internes est un "impératif permanent", notamment, dans le contexte actuel marqué par des objectifs de développement et de diversification soutenus de l’économie, à travers l’investissement productif.

    En conséquence, elle interpelle le système bancaire de nouveau "à se déployer, à travers ses différents outils et instruments, à capter et à canaliser tout épargne potentielle, aux fins de réduire la liquidité monétaire en circulation, notamment informelle, et d’instaurer la confiance avec la clientèle épargnante dans un cadre d’une relation bancaire professionnelle et sereine".

    Dans son exposé des motifs accompagnant cette note, la Banque d'Algérie fait part d'un "phénomène persistant de sous-bancarisation".

    En effet, fait-elle valoir, la circulation fiduciaire hors banques représente une certaine proportion de la masse monétaire (M2), évaluée à près de 33%, soit 4.675 milliards de dinars à fin 2017 se répartissant en encaisses transactionnelles et thésaurisation pour un montant estimé entre 1.500 et 2.000 milliards de dinars auprès des entreprises et ménages, alors que le reste représente la circulation fiduciaire dans l’économie informelle, soit un montant allant entre près de 2.680 et 3.200 milliards de DA.

    Elle rappelle ainsi aux banques que l’objectif de développement de la bancarisation et de généralisation des instruments de paiements modernes ainsi que le renforcement de l’inclusion financière, requièrent la mise en place de mesures à même "de faciliter les opérations bancaires, notamment de dépôt, de retrait et de rémunération, afin d’améliorer l’attractivité des services bancaires au détriment de la thésaurisation."

     

  6. [h=2]Transparency international a dévoilé, mercredi, l’Indice de perception de la corruption 2017 qui couvre 180 pays.[/h]

    L’Algérie occupe la 112e place avec un score de 33 sur 100 points, loin derrière la Tunisie classée 74e avec 42 points et le Maroc 81e avec 40 points. L’indice utilise une échelle de 0 à 100 dans laquelle 0 correspond à un pays extrêmement corrompu et 100 à un pays sans corruption.

     

    Pour l’année 2017, plus des deux-tiers des pays enregistrent une note inferieure à 50, la note moyenne étant de 43.

     

    La nouvelle Zélande est venue en tête du classement 2017, suivie du Danemark, La Finalnde, la Norvège et la Suisse. En bas du tableau on retrouve des pays en guerre dont la Somalie, le Sud Soudan, la Syrie, le Yémen et l’Afghanistan.

     

    Transparency International a noté que « les pays dont les niveaux de protection des journalistes et des organisations non gouvernementales sont les plus faibles, sont aussi ceux où les taux de corruption sont les plus élevés ».

     

    Dans le rapport 2016, l’Algérie a occupé la 108e place.


    La Direction générale des impôts (DGI) a adressé le 8 février une circulaire à ses services annulant pour les entreprises la déductibilité des charges liées aux véhicules de tourisme ne constituant pas l’outil principal de l’activité, ainsi que la déductibilité des charges dépassant 300 000 dinars payés en espèce. La circulaire vise notamment à faire appliquer les mesures contenues dans la loi de Finances 2018, et sont applicables depuis le 1er janvier dernier.

     

    La première modifiant les dispositions de l’article 169 du Code des impôts directs et taxes assimilées. Ainsi, les charges se rapportant aux véhicules de tourisme, ne constituant pas l’outil principal de l’activité, ne sont plus admises en déduction des bénéfices servant au calcul de l’impôt sur le bénéfice des sociétés (IBS) ou de l’Impôt sur le revenu global (IRG) au régime réel.

     

     

     

    Il s’agit notamment « des charges relatives aux loyers et aux dépenses d’entretien et de réparation des véhicules en question », précise la circulaire de la DGI. Les dépenses liées à la location de véhicules ou ceux versés dans le cadre d’un crédit-bail par le crédit-preneur ainsi que les dépenses liées à la prestation de réparation et à l’achat des pièces de rechange ne sont donc plus déductibles.

     

    | LIRE AUSSI : Les principales mesures fiscales de la Loi de finances 2018

     

    Toutefois, les loyers et les dépenses d’entretien et de réparation des véhicules constituant l’outil principal de l’activité ne sont pas concernés par la circulaire. C’est le cas par exemple les sociétés de taxi, les auto-écoles ou les sociétés de location de véhicules.

     

    L’autre mesure contenue dans la circulaire concerne l’exclusion de la déductibilité de la base d’imposition de l’IBS ou de I’IRG (régime du réel) les charges dont le montant dépasse les 300 000 dinars, lorsque le paiement est effectué en espèces.

     

    « Les dispositions de l’article 10 de la loi de finances pour 2018 ont exclu de la déductibilité de la base d’imposition de l’IBS ou de I’IRG (régime du réel), les charges remplissant les conditions générales de déductibilité au plan fiscal mais dont le paiement est effectuée en espèces lorsque le montant de la facture excède trois cent mille dinars en toutes taxes comprises (TTC) », indique la circulaire de la DGI.

     

    La circulaire de la DGI indique en outre que les charges dépassant les 300 000 dinars dont seulement une partie est payée en espèces, et l’autre en moyens scripturaux, ne peuvent pas non plus être admises en déduction des bénéfices servant au calcul de l’IBS ou de l’IRG au régime du réel

     

  7. [h=2][/h]

    Les subventions publiques aux prix de plusieurs produits pourraient commencer à être réduites dès l’année prochaine, selon des déclarations faites hier à Dubaï par le ministre des Finances, Abderrahmane Raouia, cité par l’agence Reuters.

     

    Le gouvernement pourrait compresser ses subventions à l’essence dès l’année prochaine et celles touchant d’autres produits dès 2020, a ainsi précisé Abderrahmane Raouia à des journalistes, en marge d’une réunion qui regroupe, depuis hier aux Emirats arabes unis, les ministres des Finances des pays arabes et des représentants du Fonds monétaire international (FMI) pour discuter des réformes fiscales dans la région.

     

    Sans donner de plus amples précisions quant aux différents dispositifs de soutiens aux prix qui seront touchés par ces réductions, au-delà de celle liée aux carburants, le ministre des Finances s’est contenté d’expliquer que la réforme envisagée du système actuel des subventions publiques découle avant tout des objectifs de résorption du déficit du budget de l’Etat d’ici trois à quatre ans. Rappelant que le dispositif actuel de soutien aux prix englobe un large éventail de biens et de services, allant de l’électricité au pain et à l’huile, l’argentier du pays a tenté de rassuré en définitive que les réformes ainsi envisagées visent surtout à rendre le système actuel des subventions à la fois plus efficace et plus favorable aux Algériens à faibles revenus.

     

    Confronté à une sévère crise financière et budgétaire des suites de l’érosion durable des revenus tirés du pétrole et du gaz depuis la mi-2014, le gouvernement, convient-il de rappeler, tente depuis quelques mois d’introduire des démarches de réforme, dont celle du ciblage des subventions, afin de contenir, notamment, le creusement dangereux des déficits publics aussi bien au plan interne qu’externe.

     

    Endettement

     

    Dans cet ordre d’idées, le ministre des Finances a encore indiqué hier que, malgré la baisse des ressources financières du pays, l’Etat ne prévoit pas de recourir à des emprunts cette année, mais que cette perspective n’était pas exclue pour l’année prochaine. Le premier argentier du pays ne précise toutefois pas s’il s’agissait d’endettement externe ou interne, sachant que le gouvernement a déjà mis en branle un dispositif de financement non conventionnel pour faire face au déficit du Trésor, tout en ayant annoncé l’année dernière son intention de lancer un nouvel emprunt obligataire national répondant aux normes de la finance islamique.

     

    Bien qu’ayant dérogé à sa nouvelle trajectoire budgétaire en décidant d’augmenter la dépense publique pour l’exercice en cours, l’Etat, faut-il croire en définitive, sera sans doute amené à terme à rationaliser de plus en plus ses ressources, en réaménageant, entre autres, la dépense affectée à son action sociale qui pèse pour près d’un quart de son budget. A rappeler à cet égard que, tel qu’annoncé officiellement, le passage envisagé au ciblage des subventions publiques devra prendre effet d’ici deux ans, à travers notamment la mise en place d’un fichier national de ménages à faibles revenus, qui pourront ainsi bénéficier d’aides financières directes en place et lieu des dispositifs actuels de soutien aux prix. [h=5]Akli Rezouali[/h]

  8. [h=2][/h]

    L’article 117 de la loi de finances 2018 précise que la monnaie virtuelle est celle utilisée par les internautes à travers le Web et qu’elle est caractérisée par l’absence de support physique tel que les pièces, les billets, les paiements par chèque ou carte bancaire.

     

    Pour clôturer cette disposition, le même article prévient que toute infraction à cette disposition est punie conformément aux lois et règlements en vigueur.

     

    Ce qu’est la monnaie virtuelle

     

    Par opposition à la monnaie électronique, la monnaie virtuelle est une valeur individualisée en unité de compte, sans statut légal et non régulée par une Banque centrale et non relayée par des établissements financiers, mais qui a force entre ceux qui l’utilisent pour leurs transactions.

     

    Adossé au mot «monnaie», le préfixe «crypto» consacre le secret des données et plus précisément celles de l’émetteur et de l’utilisateur en recourant à une technologie de stockage et de transmission d’informations, transparente, sécurisée et fonctionnant sans organe central de contrôle. Cette technologie souvent désignée par le terme Blockchain permet à deux utilisateurs d’échanger de la monnaie cryptée.

     

    Le fait que l’émetteur et l’investisseur sont les seuls à avoir accès à la transaction renforce la garantie de la transaction. La crypto-monnaie est dite virtuelle car elle n’est pas physique alors qu’elle permet des paiements entre parties sur internet, ce qui fait de ces paiements des transactions virtuelles ne passant par aucun intermédiaire.

     

    A l’opposé de la monnaie virtuelle, la monnaie électronique est une valeur monétaire, stockée sous une forme électronique, y compris magnétique, garantie par un tiers de confiance qui est une banque, émise contre la remise de fonds aux fins d’opérations de paiement.

     

    Cette monnaie acceptée par une personne physique ou morale autre que l’émetteur de monnaie électronique sert aux paiements dits électroniques.

     

    Le Bitcoin, pionnier et leader des crypto-monnaies

     

    Il existe des milliers de crypto-monnaies et c’est évidemment leur valeur qui fait la principale différence. Des monnaies comme le Litecoin, l’Ether, le Neo, le Nem, le RippleXRP ou le Monero ont également pour différences, selon la monnaie, la rapidité d’exécution de la transaction, le renfort de la confidentialité avec un rôle de tiers de confiance alternatif, ou l’adossement à un système dit de minage qui consiste à créer en nombre limité ou illimité les unités monétaires virtuelles. Le bitcoin est de loin le leader, créé vraisemblablement par une personne, ou un groupe de personnes, utilisant le pseudo de Satoshi Nakamoto.

     

    Monnaie totalement décentralisée, sans contrôle des Etats, le bitcoin, comme une majorité de crypto-monnaies, repose sur la technologie du Blockchain. Contrairement aux devises matérialisées, le Bitcoin repose sur une communauté d’internautes qui se l’échangent contre des biens ou services, avec un facteur accélérateur de valeur puisqu’il est précisé que la création des bitcoins est limitée à 21 millions d’unités, dont plus des trois quarts ont déjà été créées. Devant cette offre limitée, cette monnaie virtuelle se distingue des autres crypto-monnaies par une offre restreinte qui organise autour de sa valeur une certaine spéculation.

     

    Selon le pays où il est utilisé, le bitcoin est stimulé par la devise de référence du pays ou à l’opposé par le contrôle des capitaux qui fait alors du bitcoin une valeur refuge. Alors qu’il avait atteint la barre des 10 000 dollars américains en novembre 2017, celle de 15 000 dollars début décembre 2017, les parieurs optimistes lui prédisaient un avenir encore plus radieux. Sans décevoir ses adeptes, le bitcoin a atteint les 20 000 dollars le 17 décembre 2017 avant de redescendre début févier 2018 à 7500 dollars.

     

    Cette chute serait due à la réponse de certains Etats pour l’encadrement des crypto-monnaies, alors que des informations circulaient sur l’interdiction des crypto-monnaies en Chine, en Corée du Sud, et en Inde.

     

    Les états et la crypto-monnaie

     

    Pour une majeure partie de pays, l’intégration de la crypto-monnaie ou sa tolérance sont associées à une volonté d’encadrement de la monnaie virtuelle. D’autres pays comme l’Algérie ont décidé d’interdire la détention et les opérations de monnaie virtuelle. Tel est le cas, à titre d’exemple, du Bangladesh, de la Bolivie, de l’Equateur, du Maroc, ce dernier interdisant toute transaction liée aux monnaies virtuelles, les qualifiant de monnaies occultes.

     

    A l’opposé, la Tunisie se démarque par une approche de réflexion sur l’utilisation de la crypto-monnaie en marge de décisions visant à développer la digitalisation des services financiers.

     

    Finalement, la Corée du Sud n’aura pas interdit la crypto-monnaie comme indiqué par les rumeurs de fin d’année 2017. Ce pays achève la mise en place d’un système qui supprimera l’anonymat sur les plateformes d’échange pour contrer le blanchiment et l’évasion fiscale. Ce système devrait même permettre de collecter des taxes sur les échanges en crypto-monnaie.

     

    L’acteur dominant historique, qui est la Chine, qui générait la plus grande demande en achat de bitcoins, souvent pour des placements spéculatifs, à l’origine de l’explosion de sa valeur, a mis en place des mesures comme l’interdiction des plateformes de bitcoins sans pour autant éliminer complètement les échanges de crypto-monnaies, alors que la Banque populaire de Chine (BPC), annonce qu’elle souhaite bloquer l’accès à tous les marchés de crypto-monnaies chinois et étrangers.

     

    Cette décision est d’autant plus complexe que la Chine est le pays où s’exerce la majorité du minage, procédé qui consiste en la résolution d’algorithmes sur des ordinateurs hébergés pour la création de crypto-monnaie.

     

    Ce petit tour du monde de la monnaie virtuelle ne serait pas complet sans citer le cas atypique du Venezuela, dont le président Nicolas Maduro, annonçait récemment le lancement d’une crypto-monnaie basée sur les réserves de pétrole du pays et de préciser qu’il avait ordonné l’émission de 100 millions de petros, à valeur marchande unitaire d’un baril de pétrole vénézuélien.

     

    Le Venezuela voit dans la création d’une crypto-monnaie nationale une solution pour contourner les sanctions économiques et sortir de sa crise financière.

     

    Avenir de la crypto-monnaie

     

    La crypto-monnaie est sans doute une voie incontournable de monnaie électronique, pour autant que les aspects de traçabilité et de compatibilité aux dispositifs de lutte contre le blanchiment soient respectés. Il reste encore beaucoup à observer des comportements des acteurs de son écosystème.

     

    Des pays qui la tolèrent, tout en la surveillant, aux pays qui l’interdisent, le point profitable pourrait être l’intérêt porté au système de Blockchain qui régit la majeure partie des crypto-monnaies. Jim Yong Kim, président de la Banque mondiale, déclarait récemment que «la technologie Blockchain pourrait être utilisée dans les pays en développement pour ‘‘suivre’’ l’argent plus efficacement» et ainsi réduire la corruption.

     

  9. [h=2]Le Gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Loukal, a annoncé mardi le lancement prochain d'une opération de modifications techniques de certains billets de banque, en vue de leur sécurisation contre toute opération de falsification.[/h]

    L'opération concernera, dans un premier temps, les billets de 100 DA, 500 DA et 1.000 DA, avant de s'élargir progressivement à d'autres billets, a précisé M. Loukal. Ce changement s'inscrit dans le cadre du renouvellement ordinaire des billets de banque à l'effet de modifier certains aspects techniques des monnaies usitées depuis plus de 30 ans, a fait savoir M. Loukal.

     

    Ces nouveaux billets refléteront le développement économique et l'image moderne de l'Algérie, a ajouté M. Loukal. Il ne s'agit pas de changer la monnaie nationale, a-t-il dit en réponse à certains députés en faveur du changement de la monnaie, soulignant que "cette question (le changement de la monnaie) n'est pas à l'ordre du jour de la Banque centrale".

     

  10. [h=2][/h]

    Les banques sont appelées à attirer l’importante masse monétaire thésaurisée hors du circuit bancaire, dont le montant oscille entre 1500 et 2000 milliards de dinars.

     

    Le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Loukal, a annoncé hier devant les députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) une prochaine mesure visant à alléger les exigences de dépôt de fonds au niveau des banques. Devant une timide assistance parlementaire, le gouverneur a expliqué que les banques sont appelées à attirer l’importante masse monétaire thésaurisée hors du circuit bancaire, dont le montant oscille entre 1500 et 2000 milliards de dinars, et ce, en commençant par ne plus demander l’origine des fonds.

     

    «La Banque d’Algérie projette d’émettre une circulaire visant à mettre fin à de nombreux dépassements qui jusqu’alors pénalisaient les clients des banques. Demander l’origine des fonds à chaque ouverture d’un compte ou de dépôt d’argent ne doit plus avoir cours, de même que l’exigence d’indiquer à quoi servirait l’argent retiré des banques.

     

    Ce sont des mesures qui ne vont plus être de mise», affirme le premier responsable de la Banque d’Algérie, qui a réuni le 13 janvier dernier les directeurs des banques pour les instruire des nouvelles dispositions à mettre en place prochainement. «L’exigence de connaître l’origine des fonds entre dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d’argent et le terrorisme, mais dans son application nous avons noté certains dépassements et même une application un peu trop rigoriste qui a fini par décourager d’éventuels clients pour les banques.

     

    Ceci nous amène à revoir cette procédure et dire qu’une banque n’a pas à refuser un dépôt et c’est au renseignement financier de faire le travail de déterminer l’origine des fonds», explique le gouverneur en indiquant qu’une formation dans ce sens sera assurée aux fonctionnaires des banques. «Ailleurs, les banques feront tout pour attirer une masse monétaire d’une telle importance et nous allons donc faire en sorte que cela se fasse ici», dit-il en citant une série de mesures devant rassurer les détenteurs de fonds thésaurisés hors circuit bancaire.

     

    A ce titre, le même responsable plaide pour une hausse du taux d’intérêt en prenant en considération le niveau de l’inflation. Aussi, la modernisation de la médiation bancaire, la diversification et l’élargissement des services bancaires et le renforcement de la confiance. Notons que l’ancien Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait lui aussi critiqué les conditions contraignantes appliquées par les banques pour les clients désireux de faire des dépôts ou des retraits de sommes importantes, mais aucune mesure n’avait suivie ses propos.

     

    Le gouverneur de la Banque d’Algérie, dans ses réponses aux questions des députés, a par ailleurs affirmé que la situation est loin d’être dramatique. «Nous avons une bonne marge de manœuvre, l’Algérie va bien et n’a rien à voir avec la situation au Venezuela comme disent certains, cela revient à comparer la Terre à la planète Mars», assure Mohamed Loukal en niant toute volonté de déprécier la valeur du dinar et réfutant que la crise financière ait mené à une baisse du dinar. «Le dinar réagit aux données économiques et au prix de vente du pétrole, de même qu’il est sensible au changement qui touche au niveau de la devise sur le marché international.

     

    Ce n’est pas le dinar qui a baissé, mais la devise qui a connu une hausse, essentiellement le dollar et l’euro. Il n’y a pas de politique de dévaluation, je dirai même que malgré les pressions du FMI et de la Banque mondiale, nous avons résisté et maintenu une stabilité pour la monnaie nationale en 2016 et en 2017 et nous continuerons sur cette lancée.»

     

    Changement des billets de 1000 et 500 DA et la pièce de 100 DA

     

    M. Loukal, et contrairement à l’avis de certains experts financiers, estime qu’un changement de monnaie ne peut être viable et ne constitue pas un moyen de lutte contre le marché parallèle qui, dit-il, disparaîtra avec la disparition de la demande et de l’offre. «Le marché parallèle est soutenu par la surfacturation et l’évasion fiscale, et il disparaîtra avec la fin de ces phénomènes», affirme-t-il en notant que le volume monétaire de l’économie parallèle est évalué entre 2500 et 3000 milliards de dinars. Réfutant donc toute volonté de changement de la monnaie, le gouverneur a toutefois indiqué qu’il est question d’une modification esthétique et technique de certains billets de banque.

     

    Il s’agit des billets de 1000 et de 500 DA et plus tard la pièce de 100 DA. «Les billets de 1000 et de 500 DA ne disposent pas de toutes les caractéristiques de sécurité. Nous avons remarqué que les billets de 1000 DA sont plus susceptibles d’être falsifiés. Aussi beaucoup nous reprochent que nos billets soient frappés de figures animalières, nous allons donc remédier à cela.»

     

    Par ailleurs et au sujet de la révision de l’allocation voyage, Mohamed Loukal considère que c’est une «préoccupation secondaire» face aux priorités de l’heure. «Nous n’allons pas réduire le niveau de nos réserves de change pour les jeter ainsi», lâche-t-il en estimant que ce n’est pas à l’Algérie d’encourager le tourisme à l’étranger. Mohamed Loukal minimise aussi de l’importance de l’ouverture de bureaux de changes et de noter que la convertibilité du dinar obéit à des critères précis qui ne sont pas de mise, dont un secteur touristique développé.

     

    Evoquant les réserves de change qui étaient de 97,3 milliards de dollars à la fin 2017, M. Loukal précise qu’elles sont constituées de 63,57% de dollars américains, de 20,07% d’euros et de 16,36% de livres sterlings. Interrogé en outre sur le prêt de 5 milliards de dollars accordé par l’Algérie au FMI, M. Loukal a tenu à préciser dans sa réponse qu’il n’y a pas de prêt au sens que l’on connaît. «A l’instar des 60 membres du FMI, l’Algérie a pris l’engagement de mettre à la disposition du FMI la somme de 5 milliards de dollars dans le cas, et uniquement le cas de crise internationale majeure.

     

    Pour l’heure, aucun dollar n’a quitté le territoire algérien.» Enfin le capital de la Banque d’Algérie a progressé de 300 milliards de dinars et a contribué à alimenter le Trésor à hauteur de 610 milliards de dinars en 2017. La Banque d’Algérie prévoit aussi de contribuer au même effort en 2018, avec un montant de 700 milliards de dinars.

     

     

     

  11. Et si on lui appliquait la charia ? Hhh

    Elle dit quoi déjà pour son cas ?

     

    Ah....ca c'est une chanson connue....ils font les lois de Chari3a et veulent la Chari3 pour les autres mais dés que ca doit s'appliquer sur eux...Ah non lá faut appliquer les lois des hommes (qu'ils disaient inefficaces, et inhumaines, et injustes...etc)

     

    Tu penses qu'en France ils vont lui jeter des pierres jusqu'á ce que mort s'en suive? Ou va t il demandé d'etre mis en prison humaine?

     

    Et son morratoire il dit quoi sur la lapidation?

     

    S'il s'avere que les accusations sont confortées par des preuves le bonhomme sera foutu pour 30 ans....

  12. Presque 100 M€ réunis...et en attendant chaque semaine il paient une "Weekly Revenue" en Ethereum....un investissement trés interessant...et par ailleurs...la possibilité d'avoir un compte bancaire IBAN juste avec un passeport et un selfie c'est bien plus simple et rapide que d'ouvrir un compte en Dinar en Algerie chez n'importe quelle banque

  13.  

    Si ginitique ....:mad:

     

    Faut bien qu'il servent à quelque chose ...:mad:

     

    Taban...Lizofo....Karitha....et ca cesse pas di pozi di quistio: Papa..poghtoi la lune elle se cache le jough et elle sogh la nuit et moi je peux pas soghtigh la nué? Eihn Papa la Lune poghtoi son papa il la laisse soghtigh la nuit ein?

     

    Taban tu ghépondi quoi á ca Yadjedek? Yasrak Crampe dans le cighvo:confused:

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