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Prison d'Oran : Un détenu décroche son magister avec la mention «très honorable»


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Prison d'Oran : Un détenu décroche son magister avec la mention «très honorable»

 

Une première en Algérie. Un détenu vient de décrocher le diplôme de magistère, avec, de surcroît, la mention «très honorable». L'auteur de ce coup d'éclat est un homme âgé de 40 ans, incarcéré dans la prison d'Oran. Ayant suivi ses études de post-graduation en sciences économiques derrière les barreaux, et ce par le canal de l'UFC, en collaboration avec l'entreprise ENIE, le prisonnier en question, S.M., a soutenu sa thèse intitulée «la stratégie des entreprises publiques» au Campus Taleb Salim (ex-IGMO), Université d'Oran, fin janvier dernier, a-t-on appris de sources universitaire et pénitentiaire. Le détenu lauréat a pris comme modèle de sa thèse sur le management des entreprises publiques, la société nationale ENIE. La séance de soutenance, où le prisonnier érudit a exposé son mémoire de façon magistrale, de l'avis même du jury, ce qui lui a valu l'ovation de la salle, s'est déroulée en présence du vice-recteur de l'Université d'Oran et d'officiers de l'établissement pénitentiaire, à leur tête le directeur de l'établissement. Ces derniers, arrivés en tenue civile pour la circonstance, campus universitaire exige, sont venus plutôt en accompagnateurs, voire en «supporteurs» du candidat qu'en qualité de gardiens escorteurs. Ambitieux et tenace, S.M. vise désormais un autre défi, le doctorat, diplôme qu'il espère toutefois décrocher «dehors», émettant par-là le voeu cher à toute personne privée de liberté, la grâce en l'occurrence. Au-delà de son exploit individuel, qui n'était pas possible, il est vrai, sans les nouvelles conditions carcérales instaurées à la faveur de la réforme pénitentiaire, ce détenu vient ouvrir une nouvelle porte et donner l'envie à bien d'autres prisonniers qui suivent leurs études dans les différentes maisons d'arrêt du pays. L'engouement sur les cours de l'enseignement général par correspondance et pour la formation professionnelle croît d'année en année parmi la population carcérale.

 

D'autre part, à la prison d'Oran, on recense pour cette année 34 candidats pour le bac, 75 pour le BEM, ainsi que plus de 1.000 stagiaires dans les différents ateliers de la formation professionnelle.

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Une première en Algérie. Un détenu vient de décrocher le diplôme de magistère, avec, de surcroît, la mention «très honorable». L'auteur de ce coup d'éclat est un homme âgé de 40 ans, incarcéré dans la prison d'Oran. Ayant suivi ses études de post-graduation en sciences économiques derrière les barreaux, et ce par le canal de l'UFC, en collaboration avec l'entreprise ENIE, le prisonnier en question, S.M., a soutenu sa thèse intitulée «la stratégie des entreprises publiques» au Campus Taleb Salim (ex-IGMO), Université d'Oran, fin janvier dernier, a-t-on appris de sources universitaire et pénitentiaire. Le détenu lauréat a pris comme modèle de sa thèse sur le management des entreprises publiques, la société nationale ENIE. La séance de soutenance, où le prisonnier érudit a exposé son mémoire de façon magistrale, de l'avis même du jury, ce qui lui a valu l'ovation de la salle, s'est déroulée en présence du vice-recteur de l'Université d'Oran et d'officiers de l'établissement pénitentiaire, à leur tête le directeur de l'établissement. Ces derniers, arrivés en tenue civile pour la circonstance, campus universitaire exige, sont venus plutôt en accompagnateurs, voire en «supporteurs» du candidat qu'en qualité de gardiens escorteurs. Ambitieux et tenace, S.M. vise désormais un autre défi, le doctorat, diplôme qu'il espère toutefois décrocher «dehors», émettant par-là le voeu cher à toute personne privée de liberté, la grâce en l'occurrence. Au-delà de son exploit individuel, qui n'était pas possible, il est vrai, sans les nouvelles conditions carcérales instaurées à la faveur de la réforme pénitentiaire, ce détenu vient ouvrir une nouvelle porte et donner l'envie à bien d'autres prisonniers qui suivent leurs études dans les différentes maisons d'arrêt du pays. L'engouement sur les cours de l'enseignement général par correspondance et pour la formation professionnelle croît d'année en année parmi la population carcérale.

 

D'autre part, à la prison d'Oran, on recense pour cette année 34 candidats pour le bac, 75 pour le BEM, ainsi que plus de 1.000 stagiaires dans les différents ateliers de la formation professionnelle.

 

Donc , elli bgha yeqra sérieusement , lazem yedkhoul lel habss , wella kifah ? :D

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Une première en Algérie. Un détenu vient de décrocher le diplôme de magistère, avec, de surcroît, la mention «très honorable». L'auteur de ce coup d'éclat est un homme âgé de 40 ans, incarcéré dans la prison d'Oran. Ayant suivi ses études de post-graduation en sciences économiques derrière les barreaux, et ce par le canal de l'UFC, en collaboration avec l'entreprise ENIE, le prisonnier en question, S.M., a soutenu sa thèse intitulée «la stratégie des entreprises publiques» au Campus Taleb Salim (ex-IGMO), Université d'Oran, fin janvier dernier, a-t-on appris de sources universitaire et pénitentiaire. Le détenu lauréat a pris comme modèle de sa thèse sur le management des entreprises publiques, la société nationale ENIE. La séance de soutenance, où le prisonnier érudit a exposé son mémoire de façon magistrale, de l'avis même du jury, ce qui lui a valu l'ovation de la salle, s'est déroulée en présence du vice-recteur de l'Université d'Oran et d'officiers de l'établissement pénitentiaire, à leur tête le directeur de l'établissement. Ces derniers, arrivés en tenue civile pour la circonstance, campus universitaire exige, sont venus plutôt en accompagnateurs, voire en «supporteurs» du candidat qu'en qualité de gardiens escorteurs. Ambitieux et tenace, S.M. vise désormais un autre défi, le doctorat, diplôme qu'il espère toutefois décrocher «dehors», émettant par-là le voeu cher à toute personne privée de liberté, la grâce en l'occurrence. Au-delà de son exploit individuel, qui n'était pas possible, il est vrai, sans les nouvelles conditions carcérales instaurées à la faveur de la réforme pénitentiaire, ce détenu vient ouvrir une nouvelle porte et donner l'envie à bien d'autres prisonniers qui suivent leurs études dans les différentes maisons d'arrêt du pays. L'engouement sur les cours de l'enseignement général par correspondance et pour la formation professionnelle croît d'année en année parmi la population carcérale.

 

D'autre part, à la prison d'Oran, on recense pour cette année 34 candidats pour le bac, 75 pour le BEM, ainsi que plus de 1.000 stagiaires dans les différents ateliers de la formation professionnelle.

 

Salim est le plus jeune des frêres Taleb , fils du défunt professeur Mourad Salim Taleb , dont le campus porte le nom . :04:

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Une autre question qui se pose, la société est elle réellement prete à laisser exercer? les préjugés sont souvent les plus difficiles à vaincre, en supposant que le délit est mineur:)

 

Le maire de Sidi Chahmi , un repris de justice , a sévit pendant vingt ans à la tête de cette commune et a finit par décrocher un siège au sénat .

Donc , la préjugé , wa la houm yahzanoune ! C'est même un bonus sur votre CV : Hada ghassel wejhou , on peut compter sur lui ! :D

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C'est bien pour lui

cela se passe un peu partout dans le monde...

 

En tout cas il a su s'elever dans la societe et il a reussi...quoi qui la pousse vers cette situation esperons qu'il demandera al Ghofran d'ALLAH et que il fasse un tawba nassouh.

 

 

Maintenant pour reintegrer la societe civile il doit vraiment faire un bon entrainement aussi dans ce domaine car les gens sont de mauvaises langues (Hatabou jahannam)....sauf ceux qui craignent Allah ....et les moqueries ne manqueront pas sur son chemin...

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D'autre part, à la prison d'Oran, on recense pour cette année 34 candidats pour le bac, 75 pour le BEM, ainsi que plus de 1.000 stagiaires dans les différents ateliers de la formation professionnelle.

 

je le félicité pour sa ténacité et sa bravoure...

 

n'est-il pas judicieux qu'il devienne un prof pour les autres détenu et leur donner des cours en gestion pour apprendre comment créer et gérer leur propre entreprise sachant que un détenu n'a pas énormément de perspectives après sa sortie de prison...

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Une première en Algérie. Un détenu vient de décrocher le diplôme de magistère, avec, de surcroît, la mention «très honorable». L'auteur de ce coup d'éclat est un homme âgé de 40 ans, incarcéré dans la prison d'Oran. Ayant suivi ses études de post-graduation en sciences économiques derrière les barreaux, et ce par le canal de l'UFC, en collaboration avec l'entreprise ENIE, le prisonnier en question, S.M., a soutenu sa thèse intitulée «la stratégie des entreprises publiques» au Campus Taleb Salim (ex-IGMO), Université d'Oran, fin janvier dernier, a-t-on appris de sources universitaire et pénitentiaire. Le détenu lauréat a pris comme modèle de sa thèse sur le management des entreprises publiques, la société nationale ENIE. La séance de soutenance, où le prisonnier érudit a exposé son mémoire de façon magistrale, de l'avis même du jury, ce qui lui a valu l'ovation de la salle, s'est déroulée en présence du vice-recteur de l'Université d'Oran et d'officiers de l'établissement pénitentiaire, à leur tête le directeur de l'établissement. Ces derniers, arrivés en tenue civile pour la circonstance, campus universitaire exige, sont venus plutôt en accompagnateurs, voire en «supporteurs» du candidat qu'en qualité de gardiens escorteurs. Ambitieux et tenace, S.M. vise désormais un autre défi, le doctorat, diplôme qu'il espère toutefois décrocher «dehors», émettant par-là le voeu cher à toute personne privée de liberté, la grâce en l'occurrence. Au-delà de son exploit individuel, qui n'était pas possible, il est vrai, sans les nouvelles conditions carcérales instaurées à la faveur de la réforme pénitentiaire, ce détenu vient ouvrir une nouvelle porte et donner l'envie à bien d'autres prisonniers qui suivent leurs études dans les différentes maisons d'arrêt du pays. L'engouement sur les cours de l'enseignement général par correspondance et pour la formation professionnelle croît d'année en année parmi la population carcérale.

 

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il a été condamné pour quoi ce prisonnier?

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