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le soufisme au yeux d'ibn al jawzi


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dans son livre talbisse ibliss ibn al jawzi a dit:

 

Ibn 'Aqîl (que Dieu lui fasse miséricorde) a dit : Je condamne le soufisme pour des pratiques que la Charî'a désapprouve :

 

Ils ont fondé des endroits de rassemblement d'inactivité qu'ils appellent "al-Arbita", qu'ils ont remplacé aux mosquées. Ce ne sont ni des mosquées ni des demeures, ni des compartiments. Ils s'y sont installés plutôt que de gagner leur vie et y mènent une vie bestiale en mangeant, buvant, dansant et chantant.

 

Ils raccommodent leurs vêtements avec des morceaux de tissu en soie colorés, ce qui a attiré les masses. Ils ont séduit les femmes et les jeunes gar○s en faisant des dessins sur leurs vêtements. Quand ils pénètrent dans une demeure où se trouvent des femmes, ils n'en ressortent sans avoir perverti les cœurs des femmes contre leur mari. Ils acceptent la nourriture et les dons de la part des oppresseurs, des pervers et des voleurs parmi les collecteurs d'impôts, les soldats et les douaniers.

 

Ils vont en compagnie de beaux gar○s aux Samâ'at [lieu où ils écoutent les chants et les mélodies]. Ils les amènent dans des rassemblements illuminés par des bougies et se mêlent aux femmes étrangères sous prétexte de les faire habiller d'une Khirqa [L'habit de laine du soufi par excellence] et partage l'habit de toute personne en entrant en transe.

 

Ils appellent la réjouissance musicale extase [Wajd], l'invocation temps [Waqt] et le partage des habits des gens règle [Houkm]. Ils ne sortent d'un lieu où ils ont été invités qu'après avoir imposé une autre invitation et disent que c'est une obligation. Croire à une telle chose est mécréance [koufr] et sa pratique est perversité [fisq].

 

Les soufis croient que chanter au rythme des barres de fer est une forme d'adoration, ainsi qu'il nous est parvenu de leur part que l'invocation lors d'un chant ou d'un groupe est exaucée, mais une telle croyance est aussi mécréance, puisque quiconque croit qu'il peut se rapporcher d'ALLâh via des rites qui sont déconseillés [makrouh] ou illicite [harâm] devient mécréant [kâfir]. Car de telles conduites sont considérées par les savants comme illicites ou déconseillées.

 

En outre, les soufis abandonnent leur volonté à leurs gourous en disant qu'on ne peut s'opposer à leurs décisions en quoi que ce soit. Ainsi, le SHeikh se trouve au-dessus de tenir des propos blasphématoires de mécréance et d'égarement [dhallâl] qu'ils appellent extase et de faire des actes reconnus par la religion comme perversion.

 

S'il embrasse un jeune garçon, on dit que c'est une miséricorde, s'il se tient à l'écart avec une femme étrangère, on dit que c'est sa fille qui porte al-Khirqa et s'il attribue un habit à une personne autre que son propriétaire et sans accord de ce dernier, on dit que c'est la règle de al-Khirqa […]

 

Les soufîs sont les premiers à avoir de termes comme "Ceci est la Loi [Charî'a] et cela est la réalité [Haqîqa]", mais cela est une chose inacceptable. La Loi est ce que Dieu a prescrit pour le bien de l'humanité et de toute affirmation au-delà, relève dans les esprits de l'inspiration des Shayâtine [des démons]. Toute personne recherchant la vérité [haqq] en dehors de la Loi divine est en égarée [maghrour] et trompée [makhdou']. Quand ils entendent quelqu'un rapporter un hadîth du Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam), ils disent : "Les pauvres ! Ils prennent leur hadîth d'un mort et vers un mort. Tandis que nous prenons le nôtre du Tout Vivant, l'Immortel [al-ladhî lâ yamût]".

 

Si quelqu'un dit : "Mon père m'a dit d'après mon grand-père", on lui dira : "Mon coeur m'a dit d'après mon Seigneur". Ainsi, ils se sont égarés et ont détourné beaucoup de faibles d'esprit, en inventant des légendes et en dépensant pour cela de l'argent.

 

En réalité, les Jurisconsultes [fuqahâ] ont le même rôle que les médecins. L'argent dépensé pour eux est comme faite pour le traitement, alors que l'argent dépensé pour tels imposteurs est comme la dépense faite pour les chanteuses [al-moughaniyât]. La haine des soufis contre les Jurisconsultes [savants musulmans] est une grande mécréance [zandaqa] car ces derniers les mettent en garde contre leur égarement et leur perversité. Certes, la vérité pèse lourd au même titre que la Zakât. Il est de ce fait plus facile pour certains de dépenser de l'argent pour les chanteuses et les poètes pour leurs louanges. Ils détestent également les Gens du Hadîth […]

 

Ils n'y a pas plus dangereux pour la Loi Divine que les gens du Kalâm et les soufîs. Les premiers corrompent la foi des gens par des doutes dictés par leurs esprits et les derniers pervertissent les actes des gens et cherchent à démolir les fondements et les commandements divins. Ils préfèrent le chômage et l'écoute des chansons.

 

Quant aux premières générations, elles n'étaient pas comme eux, au contraire, elles étaient soumises dans leur dogme et étaient actives et consciencieuses.

 

Mon conseil pour mes frères, c'est de ne pas se faire influencer par les paroles des gens du Kalâm, et de ne pas prêter l'oreille aux simplicités des soufîs. Travailler pour gagner sa vie est meilleure que le chômage du soufîsme, et s'attacher aux vérités vaut mieux que d'approfondir des choses copiées à la manière des faux dévots. Ceci étant, nous constatons que le but des gens du Kalâm, est de semer le doute dans les esprits, et celui des soufîs est de pervertir […] (p. 384-385)

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Ibn al-Jawzi (d.597)

 

Ce maître de hadiths et historien de l’école Hanbali était un ennemi farouche des innovateurs de son temps.[172] Son Talbis Iblis (L’illusion de Satan) est souvent cité par les “Salafis” pour s’opposer au tassawwouf, mais en réalité il le rédigea seulement contre certains excès qu’il observa dans tous les groupes de la communauté, dont les savants de tous genres y compris les Soufis.

 

 

ses écrits sont déjà traduits et sortis du contexte pour servir

les salafistes

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Ibn al-Jawzi (d.597)

 

Ce maître de hadiths et historien de l’école Hanbali était un ennemi farouche des innovateurs de son temps.[172] Son Talbis Iblis (L’illusion de Satan) est souvent cité par les “Salafis” pour s’opposer au tassawwouf, mais en réalité il le rédigea seulement contre certains excès qu’il observa dans tous les groupes de la communauté, dont les savants de tous genres y compris les Soufis.

 

 

ses écrits sont déjà traduits et sortis du contexte pour servir

les salafistes

 

bref ...il était contre les gens qui réfléchissaient .....

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dans son livre talbisse ibliss ibn al jawzi a dit:

 

Ibn 'Aqîl (que Dieu lui fasse miséricorde) a dit : Je condamne le soufisme pour des pratiques que la Charî'a désapprouve :

 

Ils ont fondé des endroits de rassemblement d'inactivité qu'ils appellent "al-Arbita", qu'ils ont remplacé aux mosquées. Ce ne sont ni des mosquées ni des demeures, ni des compartiments. Ils s'y sont installés plutôt que de gagner leur vie et y mènent une vie bestiale en mangeant, buvant, dansant et chantant.

 

Ils raccommodent leurs vêtements avec des morceaux de tissu en soie colorés, ce qui a attiré les masses. Ils ont séduit les femmes et les jeunes gar○s en faisant des dessins sur leurs vêtements. Quand ils pénètrent dans une demeure où se trouvent des femmes, ils n'en ressortent sans avoir perverti les cœurs des femmes contre leur mari. Ils acceptent la nourriture et les dons de la part des oppresseurs, des pervers et des voleurs parmi les collecteurs d'impôts, les soldats et les douaniers.

 

Ils vont en compagnie de beaux gar○s aux Samâ'at [lieu où ils écoutent les chants et les mélodies]. Ils les amènent dans des rassemblements illuminés par des bougies et se mêlent aux femmes étrangères sous prétexte de les faire habiller d'une Khirqa [L'habit de laine du soufi par excellence] et partage l'habit de toute personne en entrant en transe.

 

Ils appellent la réjouissance musicale extase [Wajd], l'invocation temps [Waqt] et le partage des habits des gens règle [Houkm]. Ils ne sortent d'un lieu où ils ont été invités qu'après avoir imposé une autre invitation et disent que c'est une obligation. Croire à une telle chose est mécréance [koufr] et sa pratique est perversité [fisq].

 

Les soufis croient que chanter au rythme des barres de fer est une forme d'adoration, ainsi qu'il nous est parvenu de leur part que l'invocation lors d'un chant ou d'un groupe est exaucée, mais une telle croyance est aussi mécréance, puisque quiconque croit qu'il peut se rapporcher d'ALLâh via des rites qui sont déconseillés [makrouh] ou illicite [harâm] devient mécréant [kâfir]. Car de telles conduites sont considérées par les savants comme illicites ou déconseillées.

 

En outre, les soufis abandonnent leur volonté à leurs gourous en disant qu'on ne peut s'opposer à leurs décisions en quoi que ce soit. Ainsi, le SHeikh se trouve au-dessus de tenir des propos blasphématoires de mécréance et d'égarement [dhallâl] qu'ils appellent extase et de faire des actes reconnus par la religion comme perversion.

 

S'il embrasse un jeune garçon, on dit que c'est une miséricorde, s'il se tient à l'écart avec une femme étrangère, on dit que c'est sa fille qui porte al-Khirqa et s'il attribue un habit à une personne autre que son propriétaire et sans accord de ce dernier, on dit que c'est la règle de al-Khirqa […]

 

Les soufîs sont les premiers à avoir de termes comme "Ceci est la Loi [Charî'a] et cela est la réalité [Haqîqa]", mais cela est une chose inacceptable. La Loi est ce que Dieu a prescrit pour le bien de l'humanité et de toute affirmation au-delà, relève dans les esprits de l'inspiration des Shayâtine [des démons]. Toute personne recherchant la vérité [haqq] en dehors de la Loi divine est en égarée [maghrour] et trompée [makhdou']. Quand ils entendent quelqu'un rapporter un hadîth du Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam), ils disent : "Les pauvres ! Ils prennent leur hadîth d'un mort et vers un mort. Tandis que nous prenons le nôtre du Tout Vivant, l'Immortel [al-ladhî lâ yamût]".

 

Si quelqu'un dit : "Mon père m'a dit d'après mon grand-père", on lui dira : "Mon coeur m'a dit d'après mon Seigneur". Ainsi, ils se sont égarés et ont détourné beaucoup de faibles d'esprit, en inventant des légendes et en dépensant pour cela de l'argent.

 

En réalité, les Jurisconsultes [fuqahâ] ont le même rôle que les médecins. L'argent dépensé pour eux est comme faite pour le traitement, alors que l'argent dépensé pour tels imposteurs est comme la dépense faite pour les chanteuses [al-moughaniyât]. La haine des soufis contre les Jurisconsultes [savants musulmans] est une grande mécréance [zandaqa] car ces derniers les mettent en garde contre leur égarement et leur perversité. Certes, la vérité pèse lourd au même titre que la Zakât. Il est de ce fait plus facile pour certains de dépenser de l'argent pour les chanteuses et les poètes pour leurs louanges. Ils détestent également les Gens du Hadîth […]

 

Ils n'y a pas plus dangereux pour la Loi Divine que les gens du Kalâm et les soufîs. Les premiers corrompent la foi des gens par des doutes dictés par leurs esprits et les derniers pervertissent les actes des gens et cherchent à démolir les fondements et les commandements divins. Ils préfèrent le chômage et l'écoute des chansons.

 

Quant aux premières générations, elles n'étaient pas comme eux, au contraire, elles étaient soumises dans leur dogme et étaient actives et consciencieuses.

 

Mon conseil pour mes frères, c'est de ne pas se faire influencer par les paroles des gens du Kalâm, et de ne pas prêter l'oreille aux simplicités des soufîs. Travailler pour gagner sa vie est meilleure que le chômage du soufîsme, et s'attacher aux vérités vaut mieux que d'approfondir des choses copiées à la manière des faux dévots. Ceci étant, nous constatons que le but des gens du Kalâm, est de semer le doute dans les esprits, et celui des soufîs est de pervertir […] (p. 384-385)

 

au lieu de cracher des insultes sur les gens

apprends le français avant de vouloir t attaquer à la philo

(par copier- collés)

 

cadeau

 

Livemocha -

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Soit ibn el djawzi ne l'a pas dit

Et si il l'a dit, ça prouve tout son littéralisme

Le soufisme n'étant rien d'autre que la spiritualité islamique

Des rassemblements pour invoquer Allah, pour méditer, pour prier... c'est interdit? depuis quand

Les soufis sont les gens de la reflexion, du calme et de la douceur et raffinement du caractère

Ils perseverent pour se perfectionner devant Allah et avec les semblables

Ce djawzi qui les traite de bestialité, c'est à lui de manger des noix bou djewziya

Vivre modestement et humblement c'est grandiose et lui ne le sait pas

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au lieu de cracher des insultes sur les gens

apprends le français avant de vouloir t attaquer à la philo

(par copier- collés)

 

cadeau

 

Livemocha -

 

qu'es ce que tu en sais sur la philo a part vanter ......la philo a ses maitres qui ont briller dans leurs époque......les gens comme toi nous avons rencontrer des millier ils ont tellement philosophie qu'ils se sont rendu tous des "cinglé" le danger ne réside pas dans cet branche philosophique mais l’interprétation idiote de certains orgueilleux qui les a conduit a croire que la philosophie c'est savoir fonctionné sa grande langue et s’habituer a ne plus jamais la fermé.

la francopholie je te l'ais laissé pour toi je me contente de la langue arabe..le francais je m'en serve que pour une question de communication"un kleenex" et ca marche vachement bien ..... je comprend donc pourquoi tous les pays anglophone sont les plus instruits,depuis l’époque de colonisation la méthode française employer dans les pays colonisé consisté a développer une équation "philosophique"injecté dans les institutions pour la faire propagé profondément dans les cellule pour qu'ils ne produisent que des débiles.

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Les soufîs sont les premiers à avoir de termes comme "Ceci est la Loi [Charî'a] et cela est la réalité [Haqîqa]", mais cela est une chose inacceptable. La Loi est ce que Dieu a prescrit pour le bien de l'humanité et de toute affirmation au-delà, relève dans les esprits de l'inspiration des Shayâtine [des démons]. Toute personne recherchant la vérité [haqq] en dehors de la Loi divine est en égarée [maghrour] et trompée [makhdou'].

 

Celui qui ne trouve pas l´auteur imbécile doit l´etre bien plus....:p

 

Si les premiers musulmans avaient "pensé" cela il n´y aurait aucun musulman á l´heure actuelle....preuve que l´auteur est meublé d´inépties entre les oreilles:p

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En réalité, les Jurisconsultes [fuqahâ] ont le même rôle que les médecins. L'argent dépensé pour eux est comme faite pour le traitement, alors que l'argent dépensé pour tels imposteurs est comme la dépense faite pour les chanteuses [al-moughaniyât]. La haine des soufis contre les Jurisconsultes [savants musulmans] est une grande mécréance [zandaqa] car ces derniers les mettent en garde contre leur égarement et leur perversité. Certes, la vérité pèse lourd au même titre que la Zakât. Il est de ce fait plus facile pour certains de dépenser de l'argent pour les chanteuses et les poètes pour leurs louanges. Ils détestent également les Gens du Hadîth […]

 

toute la question et malgrés tout les effots imbeciles de deconsiderer les soufis est la ......question de fric et de pouvoir ....

 

les soufis sans doute moins mercantiles en ce qui concerne la commercialisation es avis religieux ...ne plaisaient a ces cheickhs tels el djawzi ...qui considere leur avis comme des traitement de medecins et donc monnayables ! les soufis ...ne manquait pas de denoncer cela et c'est ca qui fait reagire ce brave commercant d'el djawzi ......!

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Salafi et soufi ont un malentendu depuis longtemps, les uns sont littéralistes, les autres spiritualistes

Depuis un certain temps, tout particulièrement depuis l’avènement de la doctrine wahhabite qui se veut le chantre du salafisme pur et dur, nous assistons à un grand malentendu opposant le soufisme au salafisme. Ce malentendu prend parfois, hélas, la forme d’un conflit ouvert où l’anathème le dispute à l’excommunication (tekfîr).

(Par M. Boudjenoun). Chacune des deux parties reproche à l’autre une série de griefs qu’elle juge incompatibles avec les principes authentiques de l’Islam. Les salafistes-wahhabites accusent les soufis d’être des innovateurs qui ajoutent à l’Islam des choses qui lui sont étrangères, comme le culte des saints, les séances de « dhikr » collectives, le tawassul (l’intercession des saints)… Les soufis reprochent de leur côté aux salafites-wahhabites leur attachement à l’aspect formaliste et littéraliste des textes de l’Islam et leur négligence de l’aspect spirituel et introspectif qui est le propre de toute religion, a fortiori l’Islam qui est la synthèse de toutes les religions révélées. Ils leur reprochent aussi leur propension à user de l’excommunication à tout bout de champ contre ceux qui ne partagent pas leurs thèses, quitte à ce qu’ils soient des musulmans.

En même temps, ils se défendent d’être des innovateurs et justifient les choses que leurs adversaires leur reprochent avec des versets du Coran et des hadiths du Prophète (qsssl).(1)L’histoire de l’Islam est jalonnée ainsi d’innombrables polémiques et controverses entre les partisans du soufisme et ceux du salafisme, chacun des deux partis défendant ses thèses à coups de versets coraniques et de hadiths prophétiques. Il en est ainsi de la célèbre controverse qui opposa le grand maître soufi d’Egypte Ibn ’Ata Allah Al-Iskandarî de la tarîqa chadiliyya, l’auteur des célèbres Hikam Al Atâïyya, au non moins illustre savant hanbalite Ibn Taymiyya sur ces points de divergence que nous venons de mentionner. Au cours de leur discussion, qui a eu lieu à la mosquée Al Azhar, nous disent les historiens, les deux savants parlèrent du tawassul (intercession) et de l’istighâta (demande d’aide) qu’Ibn Taymiyya refuse à tout autre que Dieu, car pouvant conduire à l’idolâtrie selon lui. Ibn ’Atâ Allah fit remarquer alors à Ibn Taymiyya que si l’on suit cette logique, il faudrait interdire aussi la vigne parce qu’elle permet de fabriquer du vin et castrer tous les hommes pour ne pas les exposer à la fornication.

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