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Et si Bouteflika écrivait un livre?


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C'est du reste prévu. Il est plus ou moins attesté que l'actuel président algérien soit entrain de rédiger un pamphlet à propos de son épopée invraisemblable pour un "garnement".

 

Lui qui bluffe d'avoir serrer la main aux plus hauts dirigeants qu'a connu ce monde (de JFK, Mao, Castro, Mandela, Havel, etc) et prôner que la nomination à la présidence de l'ONU d'un sud-coréen, dont il se targue d'avoir connu lorsqu'il était ministre des affaires algériennes, ne fera pas avancer d'un pouce l'affaire du Sahara Occidental "ou cas échant, Lakdhar Brahimi reprendra le service" (dixit).

 

Chez Bouteflika, à peine lettré, il y a tout le drame algérien d'une jeune République dont le colonisateur a assassiné ses meilleurs éléments et pas étonnant donc d'assister à l'actuelle débâcle de cette nation. Mieux même. à Oran, au marché, il est dit les chibanis tutoient Bouteflika alors que lui les vousoient lors d'échanges en langue française. Du jamais vu, du moins ailleurs qu'en Algérie.

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Il fut digne aussi par Bouteflika d'assister aux funérailles du monarque marocain Hassan II tandis que son décès, comme celui du despote espagnol Franco, était à espérer pour leurs peuples respectifs. "Mort deux pourris infâmes à oublier".

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En traitant Zéroual "de président stagiaire" et interrogeant lui-même une journaliste de libération à propos d'un ministre de l'économie de son gouvernement ""c'était qui déjà ce Monsieur?". Mais l'une meilleure sortie de Bouteflika fut l'apostrophe à Tipaza envers des généraux plus âgés que lui: " J'ai été le numéro 2 du régime lorsque vous n'étiez que des gamins". Et cette boutade de style purement bouteflakaïste en dit long sur l'égo démesuré de la personne et pourrait servir en titre de son livre.

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Eh bien tu en serais surpris!

C'est un homme de terrain, de parole et de surcroît diplomate ce qui a manqué à pas mal de dirigeants algériens et c'est un homme qui a connu l'avant et l'après guerre , rien que pour cela, moi, et comme la plus part des algériens, lui vouons un profond respect!

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Eh bien tu en serais surpris!

C'est un homme de terrain, de parole et de surcroît diplomate ce qui a manqué à pas mal de dirigeants algériens et c'est un homme qui a connu l'avant et l'après guerre , rien que pour cela, moi, et comme la plus part des algériens, lui vouons un profond respect!

 

A qui le dis-tu Monsieur? Le 1 novembre 1976, j'avais refusé de lui serrer la main par crainte de "m'enmielé" et attiré les guêpes sur moi!:mdr:

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Notons que Bouteflika n'aurait pas de trop à se creuser les méninges pour écrire un livre compte tenu de tous les articles journalistiques qui lui sont dédiés. Il lui conviendrait juste d'éviter le plagiat et son bouquin pourrait faire pâlir d'envie tous les affidés des dieux en volume d'ouvrage.

 

________________________________________

 

Mission accomplie, donc. Mais, en dix ans, le chef de l'Etat s'est aussi employé à constituer ses propres réseaux. "Si le système est toujours le même, le jeu des équilibres internes est aujourd'hui plus favorable à Bouteflika qu'en 1999", assure un observateur, bon connaisseur du sérail. Belkheir et Koudjeti, les " parrains" du début, sont hors jeu.

 

En juillet 2004, le chef d'état-major, le général Mohamed Lamari, est poussé à la démission. Il est remplacé par un proche du président, Gaïd Salah. Son départ forcé permet un vaste remaniement : les commandants de quatre des six régions militaires ont été changés. Des nominations que Bouteflika impose avec l'aval du tout-puissant Toufik. Rivaux parfois, les deux personnages savent qu'ils ont un commun intérêt à s'entendre.

 

Les "années Bouteflika" se sont traduites par la montée en puissance, dans la haute administration et les entreprises publiques, de plusieurs protégés du chef de l'Etat, souvent originaires comme lui de l'ouest du pays : le chef du protocole de la présidence, Mokhtar Reguieg ; Moulay Guendil, dont Bouteflika a fait son chef de cabinet avant de le nommer ambassadeur à Rabat ; Zouaoui Benhamadi, qui dirige l'Agence nationale de gestion des grands projets culturels ; ou encore Toufik Khelladi et Nacer Mehal, les patrons de la radio et de l'agence de presse nationales. Autant de relais utiles... Mais ceux qui apparaissent de plus en plus au grand jour comme les vrais sponsors de Bouteflika, ce sont les hommes d'affaires.

 

Source: L'Express.fr

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Bouteflika

 

2 mars 1937 Naissance à Oujda (Maroc).

 

1956 Engagé volontaire dans l'Armée de libération nationale.

 

1962 Ministre de la Jeunesse et du Tourisme.

 

1963 Ministre des Affaires étrangères.

 

1979 Ecarté de la succession de Houari Boumediene ; ministre d'Etat.

 

1981 Quitte la scène politique.

 

15 avril 1999 Elu président de la République.

 

8 avril 2004 Réélu pour un deuxième mandat.

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La sagesse par syndrom

 

Si on veux changer le monde .... on dois fermer sa gueule et commencer par soi meme

 

 

FIN

 

Tu me penser à une boutade du boxeur Mohamed Ali (ex-Clay). Il avait répliqué à son dentiste: "vous êtes la seule personne à me demander de l'ouvrir car en général on me requiert de la fermer!:D

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Avec une prime journalière de 700 euros en tant que président, on peut craindre que le mercantile Bouteflika ne fera pas dotation des ventes de son livre à une ONG.

 

"à 26 ans, j'étais déja le numéro 2 du régime...qui dit mieux?" pourrrait être le titre de son bouquin. Ou "après une éclypse de 19 ans, j'ai acquis la consécration".

 

"Bouteflika, une imposture algérienne" vraiment?

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C'est un homme de terrain, de parole et de surcroît

 

Tu fais dans le "plus c'est gros plus ca passe" ?

 

Quel terrain lui qui ne quitte jamais sans lit d’hôpital ?

 

Quel parole lui qui n'a jamais tenu ses paroles et qui a l'epoque ou il parlait beaucoup passait son temps a dire une chose et son contraire ?

 

Homme de parlotte oui !

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Guest D. ESSERHANE
En traitant Zéroual "de président stagiaire" et interrogeant lui-même une journaliste de libération à propos d'un ministre de l'économie de son gouvernement ""c'était qui déjà ce Monsieur?". Mais l'une meilleure sortie de Bouteflika fut l'apostrophe à Tipaza envers des généraux plus âgés que lui: " J'ai été le numéro 2 du régime lorsque vous n'étiez que des gamins". Et cette boutade de style purement bouteflakaïste en dit long sur l'égo démesuré de la personne et pourrait servir en titre de son livre.

 

En effet, Bouteflkia est un mégalomane attitré, ça personne ne l'ignore et je crois qu'il se sait

 

S'il lui arrivait d'écrire un livre, je lui conseille de sauter l'affaire qui a noircit son parcours de diplomate:cool:

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En effet, Bouteflkia est un mégalomane attitré, ça personne ne l'ignore et je crois qu'il se sait

 

S'il lui arrivait d'écrire un livre, je lui conseille de sauter l'affaire qui a noircit son parcours de diplomate:cool:

 

Bouteflika écrira un livre, il ne fait aucun doute. Mais qu'il s'empresse avant que son Dieu le le rappelle à lui. L'urgence est de mise dès lors qu'il est dit que c'est son ami Jean Daniel (92 ans!) du Nouvelobs qui s'attaquerait à la rédaction du pamphlet.

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