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Algérie:Accroissement des divorces


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Faut-il sonner l'alarme pour 41 000 divorces en Algérie (en 2009)? Nullement. En comparaison internationale, ce nombre est insignifiant et donc pourquoi en faire tout un plat? Le divorce est un acquis démocratique et il y a lieu de l'accepte sous cette banière.

 

Donc, ne crions pas au loup et évitons toute morale!

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Valeurs en déshérence

 

Loin d’être un signe de modernité comme d’aucuns pourraient l’avancer, cet envol des statistiques en matière de divorce résulte aussi de situations de désarroi social induites par des politiques publiques inappropriées, notamment dans les domaines socioculturels, l’éducation, la santé, la famille, le logement, etc.

 

Un divorce n’est, en principe, qu’un banal fait divers, peut-être même moins que cela : un simple fait de la vie courante. Si banal, au demeurant, qu’il ne saurait trouver de place dans les pages d’un journal exagérément porté sur le sensationnel.

 

Il en est autrement des dernières statistiques en la matière et de cette ascension fulgurante du nombre de divorces enregistrés en Algérie. L’on découvre ainsi que, de nos jours, les Algériens divorcent beaucoup plus facilement et avec infiniment moins de remords qu’auparavant. Ils éprouvent, au mieux, autant de regrets à se séparer de leur conjoint qu’à quitter leur quartier à la faveur d’un déménagement choisi ou forcé, à changer de job, ou encore à vendre leur voiture pour en acheter une autre.

 

C’est que la société a radicalement changé et, avec elle, les repères et les valeurs qui fondent et orientent les comportements individuels et collectifs et les relations sociales. Le caractère sacré des liens du mariage, parce que procédant d’un ensemble de valeurs morales désormais en déshérence, a grandement périclité. Les égoïsmes de tous ordres sont à leur heure de gloire, à telle enseigne que la famille, le bonheur des enfants, leur équilibre psychologique et leur avenir ne pèsent plus bien lourd face aux “objectifs de vie”, jouissifs et éphémères, des individus que sont le père ou la mère.

C’est là, en partie, l’une des implications de ce “naufrage moral national” qui nous vaut aussi le niveau record atteint par la corruption qui a gagné tous les segments de l’état à tel point que celui-ci se voit contraint de composer ouvertement avec les activités illégales du “secteur” de l’informel, pourtant clairement interdites par la loi en vigueur.

 

Loin d’être un signe de modernité comme d’aucuns pourraient l’avancer, cet envol des statistiques en matière de divorce résulte aussi de situations de désarroi social induites par des politiques publiques inappropriées, notamment dans les domaines socioculturels, l’éducation, la santé, la famille, le logement, etc.

 

Cela se vérifie encore ici : “Les problèmes de tout le monde sont des problèmes politiques, les problèmes politiques sont des problèmes de tout le monde.”

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BONJOUR obole

 

normale les citoyents sont trop intelligents

et aiment la liberte et ne se laissent plus faire

 

on a le droit de la femme

 

des allocations

 

et des allocations

 

par le divorce on recupere l'appartement

 

les parents sont plus sur la recuperation de l'appartement

 

 

les parents sont souvent absent dans ces cas la

 

ON EST DANS LE TEMPS OU IL Y A TROP DE RICHES ET DE RICHESSES

OU ON VIT RICHEMENT

 

ET AUSSI DANS SA TETE ON EST PLUS RICHE

 

DONC ON SE SUPPORTE MOINS

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