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Just my imagination


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Guest Nimos
bein c avec 1pe de tt k on pt faire un monde non?:p

 

Tant que le monde ne se retrouve pas emprisonné dans un corps.....:confused:

 

Ps: Pas de SMS please Max est top vieux pour deviner chaque mot:crazy:

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Guest fleure bleue
Tant que le monde ne se retrouve pas emprisonné dans un corps.....:confused:

 

Ps: Pas de SMS please Max est top vieux pour deviner chaque mot:crazy:

 

non jamaiiiis,le monde ne peut jamais etre emprisone'..libre comme l air:p

 

ps: ouuuuupssss faut aprendre a redevenir jeune yew..j t apprendrais si tu vx:D

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Guest Nimos
non jamaiiiis,le monde ne peut jamais etre emprisone'..libre comme l air:p

 

ps: ouuuuupssss faut aprendre a redevenir jeune yew..j t apprendrais si tu vx:D

 

La seule chose que Max adore....c´est le temps quand il s´écoule....Bientot Nimos crevera:D (Oui une Idée hadik haya galou Idée yawnehreglou moukhou l´Idée hadya:D), et Max héritera des Ships....le reste ma3lich Max en a pas trop besoin....:p

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Guest fleure bleue
La seule chose que Max adore....c´est le temps quand il s´écoule....Bientot Nimos crevera:D (Oui une Idée hadik haya galou Idée yawnehreglou moukhou l´Idée hadya:D), et Max héritera des Ships....le reste ma3lich Max en a pas trop besoin....:p

 

pffff:drunk: oki espice de vieux:D

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Guest fleure bleue
Commence par la page 01....arrivant ici tu auras compris de quoi il s´agit :D

 

Ps: Merci de ne pas mettre de poémes:D

 

il ne pouvais pas resister wakila :mdr:

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Guest fleure bleue
STOP POLLUTION

 

kholalaaaaaa Maaaaaaaaaaax..depuis tt a l heure on ne c pas arrete' de polluer t as rien dit..pfff ispiiice de zloux va:D

 

rani ray7a khlass:angel_sadangel:

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Guest Nimos

Lentement elle joue avec sa tasse de café á y regarder pour y découvrir un quelconque secret divin, les meches de cheveux tombant sur son front elle semble m´avoir oublié et oublié le café, comme passée de l´autre coté de ses yeux...ses yeux que je devine mal cachés sous les méches des cheveux...le silence, doucement un enfant passe courant dans la place que l´on peut apercevoir par la fenetre....suivi d´un autre enfant....je porte mon regard á cette course...ne suis je pas un peu perdu comme ces deux enfants qui courent mais qui décident par oú passer au fur et á mesure qu´ils avancent et découvrent les possibilités....il commence á pleuvoir, des petites gouttes toutes légeres meublent le ciel...je me laisse penser á autre temps.....autre soit sur ce banc....une autre pluie...le passé ou le futur? ou les possibilités....les autres....possibilités?

 

"As tu jamais senti que le monde était pas lá oú tu devais etre, mais que le monde était plutot ce qui te restait á créer? " demanda t elle comme réveillée d´un long sommeil eternel....Elle me tutoie pour la premiere fois depuis la rencontre sur la route...entre la foule....Et pourquoi cette question si...différente et pourquoi maintenant?...je semble méditer tout cela quand de ma bouche sort la réponse "Je ne sais pas, mais ce que je sais c´est que le monde n´existe pas avant de l´avoir créer dans nos tetes...", et comme sautant d´un lieu á un temps elle enchaine une phrase "Et que faites vous dans cette ville?"...je la regarde doucement "J´essaie de retrouver quelqu´un ....ou moi meme", elle laisse sa tasse caresser ses levres en savourant le café..."Pour se retrouver, il faut surtout se perdre..." dit elle...

 

Dans un signe des surcils...j´acquiesse

 

"Marchons...si tu veux bien" me dit elle en prenant son sac..."Mais il pleut..." répondis je...."Raison de plus pour sortir....et profiter..." Souria t elle, en effet elle a toujours aimé prendre le temps de tracer ses empreintes sur les trotoires mouillés par la pluie, elle a toujours eu cette complicité avec l´eau, cette douceur qui s´insuffle sous sa peau quand elle sent ce frissons de froid que la pluie douce raméne....nous marchons...ses cavalieres en pas de soldat, elle sourit á sentir cette pluie sur son visage...je ne sais quoi dire quand ce tableau se déssine sous mes yeux, je me contente alors á deviner les couleurs, les reliefs et les ombres des ses yeux...de ses joues....des levres, comme découvrant pour la premieres fois tous ces traits que j´ai si souvent et si longtemps caressés déssines, toutes ces lignes sur lesquelles mes mains et mes doigts ont tant erré, et se sont nichés...et dans un mouvement sans son ni mor un bras glissé dans mon bras ....ma main niché dans la poche elle se serre á moi....je ne sais quoi dire, et je sais que toute parole ne saurait trouver lieu ou place dans tout ce qui sous cette pluie s´admire tel un tableau peint á la peinture á eau....qui part aux premiers humides aires...

 

Nous sortons de la placette, sur un chemin qui méne doucement le long d´un canal artificiel....l´eau avec les petits bateaux....lentement nous ralentissons le pas..comme pour donner au temps le temps...de nous laisser le temps de prendre une peut de temps pour nous......

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Guest Nimos

Adossé sur les barres du canal je la regarde parlant de comment on a construit le canal artificiel au milieu de la ville, je sens mon attention s´évader, et perd ma conscience sur le tracé de ses surcils...je sens le vent sur mon dos qui souleve ses cheveux...mélant ses yeux avec la couleur de ses cheveux....les goutes de l´eaux volées par cette brise...

 

Je ne saurais rester ainsi....á regarder mon tableau...mon oeuvre préferée ainsi souriant....sans y prendre des couleurs...sans y prendre des lignes....elle continue á parler....mais je n´arrive plus á deviner ses mots...j´entend des lettres qui se suivent mais pas compréhensible.....je ne peux que voir ses yeux....voir ces mots doux qu´elle aimait tant écrire sur le miroire de la salle de bain...sur la table basse .... sur mon front.... toutes ces petites attentions qu´elle s´amusait á inventer pour me surprendre....car chaque jour était un jour qui restait á naitre avec elle.....je sens son parfum....ce parfum que je ne sais reconnaitre, moi qui aime tant deviner son parfum....ses mots se taisent doucement....avec des yeux qui regardent un peu au fond des miens....le silence qui vient habiter la distance qui nous sépare...lentement le vent rejoue des nos cheveux...inclinant sa tete pour mieux dégager ses cheveux...ma main comme ne m´appartenant plus...comme ne m´ayant jamais appartenu...rejoints ses doigts...elle sourit un peu nervieusement....un souffle plus lent....plus long....ses yeux se perdent dans une illusion de frisson qui nait sur ses joues...qui se peignent en rouge....tirant doucement avec ma main sur ses doigts...elle s´approche doucement....le froid meublant les surfaces de nos corps sous lesquels nos ames se chuhcottent des mots que seuls les frissons savent traduire....glissant la main sur ses epaules en allant vers la nuque....elle adosse doucement sa tete sur mon épaule en chuchotant les yeux fermés...."Tu es bien doué avec tes regards tendre et calins....mais tu devras savoir une chose important c´est que la seule chose que ma peau dessinera sur ton corps....sera une empreinte d´un giffle si tu crois essayer de m´embrasser".....Je souris.....

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Guest cerisecerise
Bientot la suite....:rolleyes:

 

sinon la fille est une adepte des marques d'affection :D:D : une gifle......., pour un baiser volé ............rhooooooooooo

sinon, soit dit en passant, je n'ai jamais giflé qui que ce soit: je trouve le geste d'une violence.....:chut:

mais bon, si certains gars aiment cela....je peux fermer les yeux....après c'est pas dit que je vise bien.....

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Guest Nimos
sinon la fille est une adepte des marques d'affection :D:D : une gifle......., pour un baiser volé ............rhooooooooooo

sinon, soit dit en passant, je n'ai jamais giflé qui que ce soit: je trouve le geste d'une violence.....:chut:

mais bon, si certains gars aiment cela....je peux fermer les yeux....après c'est pas dit que je vise bien.....

 

Max ne permettera pas que la blondinette pollue....:mad:

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Guest Nimos
Aller La suite ... j'ai hate de savoir si elle a giflé ou pas :confused:

 

ps: j'ai adoré cette phrase "Croire c'est bien, penser c'est mieux"

 

Tout vient a point á qui sait attendre

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Guest Nimos

Lentement les rues se vident....les deux rives du canal finissent par nous appartenir sous cette pluie qui est notre chez-nous, au milieu de ce froid je me sens enfin á bon port, amaré lá oú j´avais si longtemps oublié mes amares, sur ce silence qui laisse nos souffles se raconter tout ce temps qui ne fu qu´un temps vide sans l´existence de l´autre ... sans sa propre existence...."A quoi tu penses?" chuchota une voix...sous ma lobe de l´oreille comme pour essayer de me soutirer et se nourrire de cette pensée qui jusque lá était mienne...."Je pense au temps", elle redressa vite sa tete "Tu penses á la pluie quand tu as ma tete sur ton cou?" toute surprise, les yeux grands ouverts...Je la regarde en souriant...je glisse alors ma main dans ses cheveux mouillés...."Je pense au temps qui me reste et te reste...." elle me regarde comme surprise..."Tu pars déja?"..."Déja? Voudrais tu me faire croire que tu reconnais comme meme que ma compagnie t´es trop vital pour me laisser partir" souriant comme pour lui faire comprendre la taquinerie...ellle avec un regard que je ne connais que trop bien...."Monsieur ne devrait pas trop oser...il pourrait vite finir par se faire poser..." Je souris...."All that she wants....is..." avant que je n´eu fini ma phrase.....je sens doucement ce gout si....long absent, cette saveur que j´avais si souvent mélangé á des sourires...comme une promesse scéllée sur des levres, mais sans mots ni verbes....ses bras autour de ma nuque...la pluie au rythme des secondes nous habille d´eau et de frissons....elle s´écarte lentement ....comme d´une renaissance ou un éveil d´une ivresse epileptique....me regardant souriant en penchant sa tete a chaque sourire timide.....s´écartant....je souris ....puis elle me regarde tendrement.....et sans me rendre compte je sens cette eau qui heurte ma joue...ce réveil...haté....une giffle, Elle vient de me giffler? Elle a osé me giffler....."Je t´avais dis de ne pas m´embrasser mais les hommes n´ont jamais compris les femmes...".

 

Elle m´a gifflé....elle continue á parler....je n´arrive pas á le croire....elle m´a mis une belle empreinte....elle continue á parler......je ne sais voir autre chose que ses yeux souriant de m´avoir gifflé....je ne sais rester ainsi ......je glisse mes mains en un mouvement rapide et sans douter attrape le col de son monteau sous son cou...le tire vers moi et saisissant ses levres elle s´écarte surprise mais vite s´avouant á elle meme vaincue....les étoiles viennent doucement témoigner de la lenteur et longueur des chuchotements qui entre-coupent les lignes tracés par chaque bouche et chaque ligne déssinée sur les joues....

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Guest Nimos

Comme réveillés d´un doux moment d´absence, ouvrant les yeux, découvrant ses yeux fermés...perdue á milles années lumiéres de mon regard....

 

Je glisse mes doigts entre les siens entrelacant nos mains....Fermant les yeux....soulevant mon visage vers le ciel pour apprecier cette douce pluie qui caresse ma peau...une brise de froid....je sens doucement la main sur mon épaule.....un mouvement lent et un chuchotement que je ne sais deviner....puis le parfum....non c´est une odeur acre....une odeur que je sais...je n´arrive plus a distinguer le bruit de l´eau du canal, la main continue a me secouer... j´entre ouvre les yeux, découvrant la pluie douce qui caresse mon visage, des mots....des mots que je ne peux encore saisir... je suis si furieux....habité de cette colére qui se joue de moi, m´envoyant en plein visage ce "Lieu" que je ne sais connaitre, ces mots que je ne peux comprendre... je regarde l´inférmiere, la vielle dame qui vient probablement m´emmener dans ma chambre, je sens la fraicheur du gazon mouillé par la pluie glisse honteusement les pieds dans les chaussures, comme pour m´envouloir de me retrouver tantot lá bas et tantot ici...

 

M´abondonnant, vidé de toute envie de penser, de me battre, me battre contre qui? contre quoi? pour quoi? pour qui?...tant de questions que je ne prend pas le temps de penser ni envie de répondre.

 

Je retrouve cette chambre si ... ordinaire, si vide d´elle, si inutile...

Je passe les jours suivants entre oisivité et perte de temps á regarder les feuilles frissonner au passage du vent, et regarder ce que les autres patients peuvent créer comme peintures á mes yeux....

 

Je me contemple alors dans cette succession de secondes qui enfantent mes minutes et heures pour remplir des jours sans interets ni reliefs, je me tend les jambes sur l´herbe comme pour chercher cet "accés" par lequel jadis j´avais pu m´évader, mais dans un effort vain je me retrouve á passer la journée et une partie du soir á espérer cette évasion, comme un prisonnier qui croit pouvoir tracer le monde sur les murs de sa cellule je dessine des mots sur la chambre, comme pour laisser une part d´elle sur mon monde, comme pour dessiner ce monde qui fu mien sur ce...qui m´entoure, on m´éfface chaque jour mes dessins et je reviens á les redessiner, comme pour défier le monde dans lequel j´évolue que le monde qui est mien sera le mien...

 

Puis une jour, vient me voir l´infermiere toute souriante et heureuse, un regard plein de lumiéres...elle me parle avec ses mots mais comme durant toutes les discussions passées je ne peux saisir que les reliefs de voyelles et consonnes....

 

Elle m´approche la chaise roulante, faisant signe que nous allons sortir, comme toujours je refuse qu´elle me mette ma chemise, avec ses mains si ...étrangéres et appartenant á ce monde qui n´est ni le mien, ni celui dans lequel je souhaite respirer...cet air si empoisonant que j´inspire chaque seconde, cet air qui n´est qu´étrange et étranger....je m´assoie comme par défi sur la chaise roulante bien que sachant que mes jambes ne pouvaient toujours pas supporter le poids de mon corps...elle pousse doucement la chaise, en allant dans le couloir....mais au lieu de tourner á la sortie vers le Jardin, elle prend la droite....pourquoi? Oú allons nous? je me retourne, la regarde d´un air de questionnement...bien que sa réponse ne me fut d´aucune aide.

 

Nous rentrons dans une grande salle, avec une longue table....autour de laquelle il y a deux personnes d´un certain age....l´infermiere s´adresse á eux puis me sorit en me chuchotant une phrase qu´évidement je ne saisi pas...les deux personnes un homme et une femme..me regardent comme voulant dire quelque chose mais ne sachant par oú commencer, la femme souriant et ayant une larme qui coule .... l´homme parla alors mais ses mots sont aussi insaisissable que ceux de l´infermiere, des mots de ce monde, de leur monde, un monde qui n´est pas le mien...il continue a parler, la femme souriant un peu plus en versant un peu plus de larmes....puis comme ne supportant plus cette disance de la table elle se levepuis contournant la table....s´agenouillant devant moi sa tete á hauteur de la mienne l´homme se tait....elle parle, des mots de leur monde...elle semble nerveuse, puis furieuse, elle semble saisir que je ne peux comprendre ses mots....puis comme dans un mouvement inattendu elle saute en me serrant et explosant en sanglots.....

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Guest Nimos

La femme s´éloigne doucement comme si elle s´était rendue d´une quelconque erreur...moi toujours les mains écartées, elle se leve dans son tailleur droit gris, avec ses talents et sa chemise blanche et son chignon...allant comme pour cacher sa honte face á cette fenetre....en ne disant plus rien.

 

L´homme toujours assis de l´autre coté de la table lui adresse quelques phrases en leur mots, elle semble ne pas y répondre comme si les phrases n´avaient aucun intéret d´etre dites encore moins ecoutées....l´homme se leva alors... allant vers elle la serrant par derriere sur ses épaules en inclinant sa tete sur sa nuque en lui chochotant quelques mots....je devine alors la main de l´homme aller vers son epaule en serrant la main de l´homme, cette tendresse si intime entre cette homme et cette femme, cette tendresse si triste qu´on percoit en chaque mouvement que chacun d´eux fait tout en voulant rassurer l´autre...

 

L´homme abondonnant la femme devant la fenetre s´approchant doucement de moi et lui aussi s´agenouillant sur un genou et me regardant il parle avec leurs mots, comme si cela allait comme par magie ou sorcellerie me devenir compréhensible et simple á saisir, il parle, articule ses mots comme si je n´avait qu´un probleme d´audition...et puis pourquoi aurais je un probleme? pourquoi je devrais saisir leur sons et leurs bruits....j´essais de parler et lui dire que je suis fatigué de les écouter lui et la femme que je ne pourrai saisir leurs mots ni leurs sons.

 

La femme le regarde avec du feu dans les yeux jettant son sac en cuire maron sur le sol dans une explosion de colére, elle echaine des mots et des cris desn sanglots, je ne sais quelle attitude prendre, me facher? etre triste peut etre?...mais ce que je sais c´est cette pauvre dame doit souffrir plus que son corps peut supporter, ne dit on pas quand l´ame est trop triste le corps ne peut supporter cette tristesse et c´est ainsi que les larmes naissent pour réduire la tristesse de l´ame...l´homme toujours patient, et dans un mouvement de douceur opposé á l´énervement et la perte de patience de la femme, il tend doucement et lentement ses mains pour ramasser le sac avec les objets qui en sont tombés, il les remets doucement, tandis que la femme continuant a rimuner ses sons et ses bruits, le feu dans ses yeux, il se léve lentement lui tendant le sac...elle tire le sac dans un mouvement á la fois brutal et désespéré...elle marche le long de la salle...passant á coté de moi elle me chuchote quelques sons et bruits en déposant un bisous sur la joue ...je reste comme perdu dans tout cet enchainement d´évenements...puis le son d´un claquement de porte assourdissant.

 

L´homme tire une chaise doucement et s´assoie comme vidé de tout espoir, il peut enfin montrer que lui aussi est aussi désespéré que la femme, il commence par parler, mais cette fois ci il s´adresse pas á moi, il parle comme pour se convaincre ou s´auto-répeter ce qu´il aimerait tant croire, il continue ainsi une demi heure....puis un grincement de la porte derriere moi, la femme revient en lui disant quelques mots, qui ont l´air un peu de le décevoir, il se leve comme un homme qui chargé de plusieurs sacs de sable essaie de monter des escaliers, comme ne voulant pas quitter sa chaise, il temporise et retarde l´inévitable qui semble pourtant admis par lui meme, il la regarde doucement en lui disant d´autres mots que je ne sais pas non plus, elle répond par un seul mot, en tirant la porte mais moins fort cette fois ci, puis l´homme se levant droit á coté de moi il me donne une petite tappe sur mon épaule et chuchotant quelques chose á basse voix, il repart doucement prenant le temps de tarder pour refermer la porte, je reste quelques instants seul dans cette salle, en regardant chaque parcelle qu´avaient habité ces deux personnes, si pleines de tristesse et á la fos de conviction et d´émotions....

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