nawel-ali 10 Posted October 16, 2009 Partager Posted October 16, 2009 saviez vous pourquoi ils autant de pinurie de defferente sorte de medicament en algerie c est parque ils y a des gens sans crupule qui cache ses produit pour un certain temp et ils font sortir sur le marcher en vendant avec certain demicament qui ne sont beaucoup consommer sans ce socier de l etat de santer du pauvre citoyen algerien soutaut les malades crinique qui sont besoin de leur medicament mais dans tout ca ou passer le role de l etat algerien je me le demande Citer Link to post Share on other sites
yassou 10 Posted October 16, 2009 Partager Posted October 16, 2009 Bonjour Nawel, Y a des ruptures de stock des médicaments et cela est due surtout a un mauvais calcul des besoins et ces ruptures sont très fréquentes pour les produits importés, C’est vrai que les grossistes utilisent « un peu de chantage pour écouler leur produit invendu, mais c’est tout « Mais avec la nouvelle loi qui consiste a ne plus importer les médicaments fabriqués localement, y a beaucoup de D.C.I au quelle on ne trouvé désormais que les génériques Algériens, et plus de produit de laboratoire français, Citer Link to post Share on other sites
dzfurieux 10 Posted October 27, 2009 Partager Posted October 27, 2009 Il y a pire. Le 20 juillet dernier, le ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer et des Collectivités territoriales, M. Brice Hortefeux, estimait que « notre pays est actuellement peu touché (par la grippe A – NDLR) » et que c’est « la raison pour laquelle nous restons en situation 5 ». Un marché sans frontière, p1 :C’est ainsi que le Ministre demandait aux maires « afin de préparer l’arrivée d’une possible vague pandémique plus sévère dans les prochains mois, de s’assurer que les plans de continuité d’activités des administrations (…) sont opérationnels ». Il rappelait que « l’objectif d’un plan de continuité est de maintenir l’activité au niveau le plus élevé possible, malgré un absentéisme probable important, tout en protégeant les personnes exposées ». Dont acte. Je prends les mesures imposées par le gouvernement pour parer à toute éventualité de pandémie à Grigny. Elles seront mises en œuvre sur notre commune.La grippe A H1N1 occupe donc les colonnes de nos médias depuis le mois de mai. Le matraquage médiatique et la volonté délibérée de créer une véritable psychose masquent assez mal l’entreprise de désinformation nationale et internationale qui permet d’affoler les populations en leur vendant une pandémie, et surtout, des « produits dérivés » - masques, Tamiflu et autres vaccins - dont l’efficacité n’a pas été démontrée mais qui vont remplir les poches de quelques laboratoires. Son apparition coïncide avec la visite d’État de Nicolas Sarkozy au Mexique en mars 2009 où en présence de M. Felipe Calderon, président du Mexique, a eu lieu la signature d’un contrat entre deux laboratoires privés, SANOFI-AVENTIS et BIRMEX, pour la construction d’une usine de production de vaccin contre la grippe saisonnière ET pandémique, représentant un investissement de 100 millions d’euros 1. Le plus grave dans cette affaire, est que l’on entend rarement celles et ceux, sommités du monde médical, qui appellent à la mesure. C’est le cas du Professeur Debré, par ailleurs député UMP, qui dans un entretien au JDD le 25 juillet affirme : « Cette grippe n’est pas dangereuse. On s’est rendu compte qu’elle était, peut-être même, un peu moins dangereuse que la grippe saisonnière ». Et de poursuivre : « Il y a 800 cas répertoriés en France. C’est une plaisanterie ! Va-t-on comptabiliser les diarrhées ? On aurait dû annoncer la couleur : nous sommes dans le cadre d’un exercice grandeur nature. Point à la ligne ». Voilà qui situe les choses à leur juste valeur. Et alors que tout le monde continue à donner à cette grippe le nom de « porcine », il serait temps que chacun sache, qu’à ce jour, et c’est l’Office International des Epizooties qui l’écrit : « Aucune information concernant la maladie de la grippe chez l’animal au Mexique et aux États-Unis d’Amérique ne peut pour le moment justifier un lien entre les cas humains et les animaux, y compris les porcs. A ce jour, le virus n’a pas été isolé chez les animaux ».Alors pourquoi ce mensonge entretenu à longueur d’antenne et pourquoi la presse « libre et indépendante » ne s’en étonne pas ? Selon le Dr Wodarg, spécialiste de médecine interne, de pneumologie, d’hygiène et de médecine environnementale, il est évident que « le terme grippe porcine ainsi que celui de grippe aviaire représentent des tentatives trompeuses, mais apparemment couronnées de succès, de quelques groupes pharmaceutiques pour promouvoir des débouchés de nouveaux vaccins et de médicaments douteux contre la grippe ». Quels risques liés au vaccin ? Si en France, et l’on doit s’en réjouir, la vaccination ne sera pas rendue obligatoire, il n’en sera pas de même aux USA où, en application de certaines directives contenues dans le fameux « Patriot Act », refuser de recevoir une injection contre les virus d’une pandémie est considéré comme un acte criminel et traité comme tel. Or on sait que le tout nouveau vaccin n’a pas été testé et personne ne peut préjuger des conséquences d’une vaccination de masse sur la santé publique. C’est le journal allemand Spiegel Online qui l’affirme : « quasiment aucun expert ne sait précisément si la vaccination de masse prévue contre le virus H1N1, qui est encore au stade des essais, ne présente aucun risque pour les femmes enceintes ». En un mot, le vaccin peut s’avérer plus dangereux que la grippe elle même. Et s’il fallait nous en convaincre, il suffit de constater que la secrétaire d’état à la santé américaine Kethleen Sebelius vient de signer un décret conférant une totale immunité aux fabricants de vaccins contre la grippe H1N1, en cas de nouveau vaccins contre la grippe porcine ! Conférer l’immunité totale à des fabricants de vaccins devrait nous interpeler et nous inciter à refuser en masse toute vaccination avec des produits qui n’ont pas été testés sur l’homme et dont on ne sait pas s’ils seront efficaces. En marge des constats évoqués ci-dessus, j’estime que le gouvernement est davantage préoccupé par la continuité des activités économiques que par la santé des populations. Et que la plupart des médias, pire, les plus populaires d’entre eux, semblent vouloir créer un climat de peur et prendre fait et cause pour la finance. L’annonce d’une pandémie de grippe A est surtout et avant tout une opération financière destinée à remplir les poches de quelques laboratoires. Elle s’inscrit, aussi, dans une stratégie de peur mise au point de longue date et largement utilisée par le pouvoir en place. Et comme disait Léo Ferré : « Pendant ce temps là, le pouvoir fait le ménage dans votre tête » ! Quelques exemples de curieuse chronologie * Septembre 2008 : les conclusions du séminaire Eurogrippe 3, organisé par l’Union européenne, sous présidence française, définissait, entre autres, que « la dimension d’une telle crise sera politique et constituera un enjeu de communication majeur », et estimait que « la fermeture des frontières devrait être évitée autant que possible compte tenu d’un niveau important d’interdépendance entre les Etats au sein de l’Union Européenne. La continuité des services essentiels pourrait être fortement pénalisée par la fermeture des frontières », alors que la caractéristique d’une pandémie est que c’est une épidémie... mondiale ! 9 mars 2009 : signature au Mexique du contrat entre SANOFI-AVENTIS et BIRMEX * 1er mai 2009 : les 2 premiers cas d’infection par le virus porcin A/H1N1 en France sont confirmés. La Cellule interministérielle de crise du gouvernement français déclenche les premières mesures sanitaires. juin 2009 : l’immunité est accordée au fabricants de vaccins par l’administration Obama.-6 juillet 2009 : l’Organisation Mondiale de la Santé, chargée de surveiller les foyers pandémiques, cesse le suivi de l’évolution de la grippe porcine au motif que le nombre de cas confirmés en laboratoire est insignifiant. A cette date, 310 cas sont recensés en France, 94 512 cas dans le monde. En accord avec le Centre de contrôle et de prévention des maladies d’Atlanta, les tests à la grippe A sont supprimés car ils ne permettent pas de déterminer scientifiquement qui est atteint du H1N1 et qui ne l’est pas. La suite et le reste consistent, pour la presse aux ordres, à : -accorder, par exemple, beaucoup d’importance à l’information sur l’apparition d’un nouveau cas de grippe A, mais beaucoup moins quand, après vérification, il s’avère que ce n’était pas la grippe A. Cela s’appelle de la désinformation, -faire la Une du journal sur l’annonce de la fermeture des écoles, alors qu’il s’agit d’une mesure qui est toujours prise quelle que soit l’épidémie. ne pas informer sur le fait que le programme accéléré, de 7 milliards de dollars, pour la fabrication du vaccin qui devra être mis sur le marché à l’automne, ne prévoit pas de test de sécurité. taire que la grippe normale (saisonnière) entraîne dans le monde 500 000 décès par an. 2185 morts de la grippe A au 23 août ! taire que le paludisme tue 1 à 2 millions de personnes par an et le SIDA encore plus. taire que 1,5 milliards d’êtres humains n’ont pas accès à l’eau potable. taire qu’une personne meurt de faim toutes les 4 secondes. taire qu’une femme meurt pendant sa grossesse ou en couche toutes les minutes. taire que 2 millions d’enfants par an meurent dans le monde de la diarrhée, alors que l’on pourrait l’éviter avec un banal sérum pour 0,25€ la dose. taire les rapports d’experts qui doutent de l’efficacité des vaccins, voire constatent le développement de l’épidémie après le lancement d’une campagne de vaccination. La suite et le reste, enfin, consiste à contraindre à l’achat d’outils sanitaires à des prix exorbitants, les centrales d’achat proposant des délais de livraison incompatibles avec les directives gouvernementales. Ainsi la Ville de Grigny se doit d’acquérir des masques pour certains de ses personnels pour la somme de 9 000 euros. Il convient donc, après s’être informé de la manière la plus indépendante et impartiale qui soit, de savoir raison garder et de ne pas céder à la panique dans laquelle l’on voudrait nous entraîner. Il y a, et cette lettre y fait référence, des fléaux beaucoup plus importants et dangereux que la grippe A, y compris en France et malheureusement, personne n’en parle, et le pouvoir ne se précipite pas pour y apporter de réponse. De là à penser que les intérêts financiers supérieurs font office de baromètre... Enfin pendant qu’on remplit les « Une » des médias avec cette « terrible pandémie » qui nous menace, on ne parle plus de la crise financière, des classes surchargées, des milliers de postes de prof supprimés, de la future disparition des juges d’instruction, du chômage qui continue de gonfler, des sans-abris sans solutions, des entreprises qui ferment ou se délocalisent, des bonus patronaux que nous rappelle très justement, aujourd’hui-même, le site agoravox.fr. Citer Link to post Share on other sites
dzfurieux 10 Posted October 27, 2009 Partager Posted October 27, 2009 Soutenu par la désinformation des médias, une atmosphère de peur et d'intimidation s'est propagée. Des situations « d'urgence » sanitaires ont été déclarées dans différentes régions des États-Unis. Les médicaments les plus recherchés contre la grippe sont le Tamiflu et le Relenza. La course aux traitements a été déclenchée par le gouvernement des États-Unis en rendant disponible ses réserves nationales « pour s'assurer que les fournisseurs de soins de santé soient prêts à toute éventuelle intensification. » Le Tamiflu est fabriqué par la géante société pharmaceutique suisse Hoffman-La Roche pour le compte d'une entreprise de biotechnologie basée aux États-Unis, Gilead Sciences Inc. Alors que le médicament est fabriqué par Roche, il a été développé par Gilead Sciences Inc qui en détient les droits de propriété intellectuelle. L’ancien secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld, était l'un des principaux actionnaires de Gilead Sciences Inc. En 1997, Rumsfeld a été nommé président de Gilead Sciences Inc, un poste qu'il a occupé jusqu’à ce qu’il devienne secrétaire de la Défense dans l'administration Bush en 2001. Rumsfeld était membre du conseil d'administration de Gilead en 1987. Dans un reportage publié au plus fort de la crise de la grippe aviaire en 2005, Fortune Magazine a décrit Gilead comme l'une des entreprises les plus politiquement connectées dans le secteur de l'industrie biotechnologique. Les intérêts et/ou les avoirs de Rumsfeld dans Gilead à la suite de sa démission en 2006, ne sont pas connus. Les valeurs boursières Le prix de l'action de Gilead sur le New York Stock Exchange (NYSE) a augmenté considérablement depuis l'annonce de l'épidémie de grippe porcine au Mexique (voir graphique): La peur de la grippe porcine: Une mine d’or sur les marchés boursiers pour les sociétés de biotechnologie « politiquement connectés » « Le gouvernement étasunien a dégagé un quart de ses stocks de médicaments après avoir déclaré une situation d'urgence sanitaire nationale avec 40 cas confirmés en laboratoire de grippe porcine. Sept de ces cas sont en Californie, 28 dans la ville de New York, deux au Texas et deux au Kansas, et un dans l'Ohio. Le Mexique a augmenté le nombre soupçonné de victimes depuis l’apparition de la grippe à 149 personnes – il est confirmé que 20 cas sont dus à la grippe porcine - et ils ont fermé toutes les écoles jusqu'au 6 mai. Près de 2,000 personnes y ont été hospitalisées avec de graves cas de pneumonie. Les antiviraux sont des médicaments actifs d'ordonnance contre le virus de la grippe, y compris les virus de grippe porcine, selon les Centres de contrôle de la maladie (Centers for Disease Control). Les virus de grippe porcine de type A détectés aux États-Unis et au Mexique semblent être résistants à deux antiviraux, soit l'amantadine et la rimantadine, mais les tests de laboratoire indiquent que le virus est sensible au Tamiflu, également connu sous le nom de l'oseltamivir, et au Relenza, qui est connu sous le nom de zanamivir. Le Tamiflu, un antiviral oral approuvé aux États-Unis pour traiter et prévenir les infection au virus de la grippe de type A et B chez des personnes âgées d’un an et plus, est vendu par F. Hoffmann-La Roche Ltd, qui verse des redevances liées à la vente de ce produit à Gilead. Roche a déclaré qu'il a 3 millions de boîtes de Tamiflu en réserve - une partie des 5 millions de traitements donnés à l'organisme de santé des Nations Unies en 2006 - et qu’il peut fournir le médicament partout dans les 24 heures. » (San Francisco Business Times, le 27 avril 2009) Citer Link to post Share on other sites
dzfurieux 10 Posted October 27, 2009 Partager Posted October 27, 2009 Les Canadiens victimes de problèmes de santé résultant du vaccin contre le virus de la grippe A (H1N1) pourront poursuivre les compagnies pharmaceutiques - mais le gouvernement fédéral paierait pour les dommages consentis par un tribunal, sauf en cas de négligence professionnelle. Le premier administrateur en chef de la santé publique du Canada, David Butler-Jones, a confirmé mercredi que le Canada avait accepté de protéger les compagnies pharmaceutiques contre toute poursuite intentée à leur endroit relativement au vaccin H1N1. Selon le docteur Butler-Jones, il s'agit d'une procédure tout à fait normale. Le docteur Butler-Jones dit ne prévoir aucun problème, mais considère important d'établir un programme d'indemnisation dans le cas d'un vaccin. Mais lorsqu'il est question de faute professionnelle - une injection incorrecte du vaccin au mauvais endroit, par exemple - il s'agit alors d'une histoire tout à fait différente et il existe d'autres procédures pour de tels cas, a rappelé le docteur Butler-Jones. Le Québec est la seule province au pays comptant sur un programme d'indemnisation sans égard à la faute aux victimes d'effets secondaires résultant d'immunisations. A l'origine, l'Agence de santé publique du Canada n'avait pas voulu spécifier si le gouvernement protégerait les compagnies pharmaceutiques en cas de poursuites relatives au vaccin du virus H1N1, à l'instar de divers pays dont les Etats-Unis. L'administration Obama a établi un plan de protection juridique à l'endroit de toute personne qui fabrique, distribue, prescrit ou administre le vaccin du virus H1N1. Le gouvernement des Etats-Unis a commencé a protégé les fabricants de vaccins après des incidents survenus en 1976, alors que 40 millions d'Américains s'étaient fait vacciner dans le cadre d'une campagne nationale mise sur pied par le président Gerald Ford, après qu'un soldat eut succombé à la grippe porcine quelques mois plus tôt. Mais la maladie n'a jamais atteint les proportions épidémiques anticipées aux Etats-Unis. Plutôt, la campagne de vaccinage a déclenché bon nombre de poursuites de la part de citoyens disant avoir subi d'importants effets secondaires, dont environ 500 qui auraient été atteints du syndrome Guillain-Barré. Le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline doit produire, à partir de son usine de Sainte-Foy, 50,4 millions de doses du vaccin. Mais des inquiétudes subsistent autour du nouveau vaccin, qui contient un adjuvant, un composé qui stimule la réaction du système immunitaire au vaccin, permettant ainsi l'usage de plus petites doses. Il n'existe aucune donnée sur les effets des vaccins avec adjuvant sur les femmes enceintes, ce qui peut expliquer le niveau d'hésitation parmi celles-ci à prendre des médicaments. Pour cette raison, le gouvernement fédéral a ordonné la production de 1,8 million de doses de vaccin sans adjuvant, pour les femmes enceintes et les jeunes enfants. Citer Link to post Share on other sites
dzfurieux 10 Posted October 27, 2009 Partager Posted October 27, 2009 La secrétaire d’Etat U.S. à la santé, Kathleen Sebelius, vient de signer un décret conférant une totale immunité aux fabricants de vaccins contre la grippe H1N1, en cas de poursuite judiciaire. De plus le programme accéléré - de 7 milliards de dollars - pour la fabrication du vaccin qui devra être mis sur le marché à l’automne ne prévoit pas de test de sécurité. Y aurait-il un programme sous-jacent à l’officielle et hystérique campagne de l’OMS destinée a élever la prétendue grippe porcine au rang de pandémie ? Tout d’abord, ni l’OMS ni le CDC ni aucune instance scientifique n’a produit de preuve quant à l’existence de ce nouveau virus H1N1, virus qui devrait être isolé, caractérisé et photographié par un microscope électronique en vertu des procédures scientifiques habituelles lorsqu’il existe un danger de pandémie.L’actuelle panique provoquée par campagne officielle sur les dangers supposés de la grippe porcine prend des allures de roman de science-fiction Orwellien. Le décret signé par Sebelius accorde l’immunité à ceux qui fabriquent le vaccin contre la grippe porcine conformément aux dispositions de la loi 2006 sur les urgences de santé publique. Sur recommandation du « Comité consultatif mondial sur la sécurité vaccinale » à l’Organisation Mondiale de la Santé ( OMS ) à Genève, l’OMS a déclaré que le H1N1 était en phase 6 , stade de la pandémie, activant ainsi un programme d’urgence qui pourrait être mis en place même dans des pays comme l’Allemagne où les cas « supposés » de contamination au H1N1 se comptent sur les doigts d’une seule main. Depuis 2005, le directeur (1) du SAGE ( Comité consultatif mondial sur la sécurité vaccinale à l’OMS ) est le Docteur David Salisbury, responsable du groupe de vaccination et des maladies infectieuses au Ministère de la santé du gouvernement britannique. Dans les années 80, le Dr Salisbury a été sévèrement critiqué pour avoir mené une campagne massive de vaccination des enfants avec le vaccin ROR ( rougeole-oréillon-rubéole ) fabriqué par le prédécesseur de GlaxoSmithKline. Ce vaccin fut retiré du marché japonais après que des effets secondaires aient été constatés chez de nombreux enfants vaccinés. Le gouvernement japonais a été obligé de payer d’importantes indemnités aux victimes. En Suède, le vaccin ROR de GlaxoSmithKline fut retiré de la circulation après que des scientifiques aient établi le liens entre le vaccin et la maladie de Crohn. Apparemment ces éléments n’ont guère perturbé le directeur du groupe SAGE de l’OMS, le Dr Salisbury.Selon un chercheur britannique indépendant, Alan Golding qui a obtenu les documents sur ce cas, en 1986, Trivirix, un vaccin combiné ROR contenant une souche vaccinale d’oreillons Urabe AM-9 fut introduit au Canada en remplacement du MMR I. Les inquiétudes concernant l’introduction de ce vaccin en Grande-Bretagne ont été consignées le 26 juin, dans le compte rendu du Groupe de liaison pour le « Groupe de travail de l’Association des pédiatres britanniques » et le « Comité sur la vaccination et l’immunisation ». Inquiétudes fondées car les rapports ont mis en évidence une augmentation de méningites aseptique chez les individus vaccinés. Tous les vaccins ROR contenant la souche Urabe ont été retiré du marché canadien en 1988, c’est à dire bien avant que les vaccins contenant cette souche soient homologués par le Ministère de la santé britannique et utilisé au Royaume-Uni.Les rapports ajoutent que Smith-Kline & French, devenue Smith-Kline-Beecham et qui à l’époque étaient impliqués dans la production anglaise, étaient préoccupés par les questions de sécurité et hésitaient à demander une licence britannique pour leur vaccins contenant la souche Urabe. Leurs préoccupations concernant les possibles préjudices d’un de leurs produits sur les enfants, les conduisit à demander au gouvernement britannique de les garantir contre toute action en justice résultant d’un dommage lié au vaccin. Sur les conseils du Dr Salisbury et des représentants du ministère de la santé, le gouvernement britannique, enthousiaste à l’idée d’obtenir des vaccins bon marché, donna son accord. Aujourd’hui, le même Dr Salisbury promeut l’usage du vaccin, non testé, H1N1 également produit par la même entreprise qui s’appelle maintenant, GlaxoSmithKline.La dernière intox sur la grippe porcine C’est en 1976, que le gouvernement des USA fut confronté pour la dernière fois à un nouveau virus de grippe porcine. Il y eut une campagne nationale de vaccination à la suite de laquelle des milliers de personnes ont demandé des dommages et intérêts alléguant qu’elles avaient subi des effets secondaire dus à la vaccination.Cette fois-ci le gouvernement a pris des mesures pour empêcher tout procès intenté par les milliers de citoyens américains qui souffriront des sévères complications dues aux vaccins non testés.L’histoire s’assombrit maintenant que l’Administration Obama a signé le document conférant l’immunité en cas de poursuites judiciaires. La FDA ( Food and Drug Administration ) américaine et les autorités sanitaires au Royaume-Uni ont décidé de laisser l’industrie pharmaceutique introduire sur le marché les vaccins sans que leurs possibles effets secondaires ne soient évalués. Les premières doses de vaccins seront délivrées au public avant que leur innocuité et leur efficacité ne soit avérées. Les vaccins non testé sont délivrés en deux doses. Une des marques de vaccin contiendrait un additif chimique - adjuvant - afin de renforcer l’effet, augmentant dramatiquement le potentiel d’effets secondaires. Les enfants seront en première ligne et pourraient être vaccinés un mois avant que les résultats des essais ne soient connus. En Grande-Bretagne, les services de santé du gouvernement se sont préparés pour un scénario qui prévoit, durant l’hivers, 65 000 décès dont plusieurs milliers d’enfants. Le gouvernement britannique a commandé 132 millions de doses de vaccins aux fabricants Baxter et GlaxoSmithKline qui ,dans la perspective d’une pandémie, ont obtenu par avance une licence pour trois « bases » de vaccins, alors même que l’OMS et les épidémiologistes nous disent que nous ne pouvons pas nous préparer à l’avance du fait d’une possible et inquiétante mutation de l’actuel et si peu dangereux H1N1. Curieusement, un an avant que le premier cas de la prétendue grippe porcine ne soit décelé, la plus grande firme pharmaceutique Baxter, a déposé un brevet pour un vaccin contre le H1N1 : Brevet US 2009/0060950 A1 qui stipule « la composition ou vaccin composé de plus d’un antigène ... comme la grippe A et B en particulier prélevé sur un ou plus des types humains. La demande de brevet précise : « des adjuvants appropriés peuvent être choisis à partir de gels minéraux, d’hydroxyde d’aluminium, d’agents de surface, de lysolecithin, de pluronic polyols, de polyanions, ou d’émulsions d’eau et d’huile. Bien sûr la sélection de l’adjuvant dépend de l’utilisation. Par exemple la toxicité dépend de l’organisme auquel le produit est destiné et peut varier d’une toxicité nulle à une toxicité élevée. » En l’absence de toute responsabilité juridique se pourrait-il que Baxter se prépare à vendre des millions de doses de vaccins contenant un adjuvant hautement toxique tel que l’hydroxyde d’aluminium ? Il serait peut-être temps de demander à tous les responsables de l’OMS, du SAGE, du CDC et des membres de l’Administration Obama, d’être les premiers à se faire inoculer la dose entière de vaccin H1N1 qui sera distribuée au public. Nous devrions ajouter à la liste des premiers vaccinés, tous les membres du Congrès qui ont voté l’allocation d’urgence de 7 milliards de dollars et qui ont entériné l’immunité accordée aux firmes pharmaceutiques dans l’éventualité de procès. La population n’a pas à servir de cobaye pour les essais d’un nouveau vaccin. Nous pourrons observer les résultats. Le même principe doit s’appliquer à tous les gouvernements et organismes de santé qui demandent à leurs citoyens d’expérimenter les vaccins H1N1 de GlaxoSmithKline ou de Baxter, afin de vérifier leur innocuité.Et l’OMS cessa de surveiller le H1N1 Un autre élément indique, qu’avec ce scénario alarmiste de l’OMS, on nous prend pour des imbéciles. L’OMS elle même, l’organisation mondiale chargée de surveiller les foyers de ce que l’on nomme pandémies, voire même « pandémies mondiale » ( sic ) vient juste de décider d’arrêter le suivi de l’évolution de la grippe porcine ( ou de virus H1N1 comme on préfère l’appeler maintenant afin de ne pas froisser les producteur de porcs) Le « Centre de contrôle et de prévention des maladies »( CDC ) d’Atlanta est d’accord avec l’OMS pour arrêter le décompte. Le Docteur Michael T. Osterholm, directeur du « Centre de recherche sur les maladie infectieuses de l’Université du Minnesota », admet que les tests existants pour confirmer le H1N1 sont empiriques et peu sûrs et affirme : « de mauvaises mesures sont pires que pas de mesures du tout ». Ainsi l’OMS a décidé de supprimer les tests qui de toutes façons ne permettent pas de déterminer scientifiquement qui est atteint du H1N1 et qui ne l’est pas. Et ainsi ils ont décidé de supprimer le décompte des résultats des tests, mais aussi des cas de grippe H1N1, avec pour tout commentaire : « nous présumons que presque tous les cas sont des cas de grippe porcine H1N1 ». Et c’est sur des bases aussi scientifiques que celles-là que nous devons faire vacciner nos jeunes ? Stop là ... pas avec nos enfants. Citer Link to post Share on other sites
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