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L"education enfin Accusé et montré du doigt


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Pas mal enfin lui il l'a dit

 

nous on fait que çà on est pas entendu

merci monsieur Corps malade

 

Paroles de Education Nationale de Grand Corps Malade, lyrics

 

 

J'm'appelle Moussa, j'ai 10 ans, j'suis en CM2 à Epinay

Ville du 93 où j'ai grandi et où j'suis né

Mon école elle est mignone même si les murs sont pas tous neufs

Dans chaque salle y a plein de bruit moi dans ma classe on est 29

-

Y a pas beaucoup d'élèves modèles et puis on est un peu dissipés

J'crois qu'nous sommes ce qu'on appelle des élèves en difficulté

Moi en maths j'suis pas terrible mais c'est pas pire qu'en dictée

C'que je préfère c'est 16h j'retrouve les grands dans mon quartier

-

Pourtant ma maitresse j'l'aime bien elle peut être dure mais elle est patiente

Et si jamais je comprends rien elle me réexplique elle est pas chiante

Elle a toujours plein d'idées et de projets pour les sorties

Mais on a que 2 cars par an qui sont prêtés par la mairie

-

Je crois que mon école elle est pauvre, on n'a pas de salle informatique

On n'a que la cour et le préau pour faire de la gymastique

A la télé j'ai vu que des classes faisaient du golf en EPS

Nous on a que des tapis et des cerceaux et la détresse de nos maitresses

-

Alors si tout s'joue à l'école, il est temps d'entendre le SOS

Ne laissons pas s'creuser l'fossé d'un enseignement à deux vitesses

Au milieu des tours y a trop de pions dans le jeu d'échec scolaire

Ne laissons pas nos rois devenir fou dans des défaites spectaculaires

-

L'enseignement en France va mal et personne peut nier la vérité

Les zones d'éducation prioritaires ne sont pas des priorités

Les classes sont surchargées pas comme la paye des profs minés

Et on supprime des effectifs dans des écoles déjà en apnées

-

Au contraire faut rajouter des profs et des autres métiers qui prennent la relève

Dans des quartiers les plus en galère, créer des classes de 15 élèves

Ajouter des postes d'assistants ou d'auxiliaires qui aident aux devoirs

Qui connaissent les parents et accompagnent les enfants les plus en retard

-

L'enseignement en France va mal, l'état ne met pas assez d'argent

Quelques réformes à deux balles pour ne pas voir le plus urgent

Un établissement scolaire sans vrais moyens est impuissant

Comment peut on faire des économies sur l'avenir de nos enfants

-

L'enseignement en France va mal car il rend pas les gens égaux

Les plus fragiles tirent l'alarme mais on étouffe leur écho

L'école publique va mal car elle a la tête sous l'eau

Y a pas d'éducation nationale, y a que des moyens de survies locaux

-

Alors continuons de dire aux p'tit frères que l'école est la solution

Et donnons leur les bons outils pour leur avenir car attention

La réussite scolaire dans certaines zones pourrait rester un mystère

Et l'égalité des chances un concept de ministère

-

Alors si tout s'joue à l'école, il est temps d'entendre le SOS

Ne laissons pas s'creuser l'fossé d'un enseignement à deux vitesses

Au milieu des tours il y a trop de pions dans le jeu d'échec scolaire

Ne laissons pas nos rois devenir fous dans des défaites spectaculaires.

-

J'm'appelle Moussa, j'ai 10 ans, j'suis en CM2 à Epinay

Ville du 93 où j'ai grandi et où j'suis né

C'est pas d'ma faute à moi si j'ai moins de chance d'avoir le bac

C'est simplement parce que j'vis là, que mon avenir est un *** de sac.

 

 

POUR L'ECOUTER

 

Dailymotion - Grand Corps Malade - Education Nationale - a Musique video

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ACTUALITÉ

 

BOUBEKEUR BENBOUZID

«Les classes sont surchargées»

03 Mai 2009 - Page : 4

Lu 83 fois

 

 

Le ministre de l’Education nationale a réitéré, hier à Alger, son engagement à atteindre une moyenne de 25 élèves par classe, principal objectif du prochain quinquennat.

«Tout ce que nous voulons durant les trois années à venir c’est d’atteindre la moyenne de 25 élèves par classe» dans le cadre des objectifs tracés pour le prochain quinquennat, a indiqué Boubekeur Benbouzid en marge d’une visite d’inspection à nombre de centres d’examen où se déroulent les épreuves des matières d’éducation sportive, de dessin et de musique pour le Baccalauréat et le BEM au niveau des communes de Maqaria, Hussein Dey, Bourouba et Birkhadem.

«Le problème qui se pose actuellement au niveau des établissements éducatifs notamment dans les grandes villes consiste en la surcharge des classes», précise le ministre ajoutant que pour endiguer ce phénomène, des projets «record» sont en cours de réalisation dont 400 collèges au niveau national programmés pour réception en 2009.

Concernant la décision d’achever tous les programmes scolaires avant le 20 mai prochain, le ministre a précisé que «l’ensemble des cours a été réparti tout au long de l’année d’une manière rationnelle» ajoutant que toutes les mesures ont été prises pour le bon déroulement des épreuves prévues principalement en juin. Evaluant le déroulement des épreuves des matières d’éducation sportive, de dessin et de musique pour le Baccalauréat et le BEM qui ont débuté hier et qui s’étaleront jusqu’au 20 mai, M.Benbouzid s’est félicité du taux de participation aux épreuves d’éducation sportives notant «la baisse du nombre de certificats de dispense présentés à l’Administration». Il a également souligné que le dessin et la musique sont de nouvelles matières introduites dans le cadre du programme de réforme avec un taux de participation de 75% aux épreuves, un taux que justifie le «manque des moyens pour ces deux matières».

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Trop c'est trop. A la fin de chaque année scolaire, c’est devenu la hantise, tant pour nos enfants, que par les parents d’élèves. Les enseignants menacent de boycotter la surveillance es examens et/ou la correction du BEM ou du BAC. Et c’est toujours le même refrain chanté et répété tant par les enseignants que par le ministère. Les enseignants, quant à eux, réclament une prise en charge, et surtout de la considération, alors que le ministère promet et ne jure que par les sanctions, ou la pluie de sanctions. Mais souvent, on s’est habitué à cette empoignade, une ou l’autre partie cèdera ou revienne à de meilleurs sentiments, tout en laissant le problème en suspens et en suspens. Oui, on pourra toujours dire que ce phénomène n’est pas propre à notre pays, puisque la France et l’Allemagne vivent des fins d’années scolaires très houleuses. Ce phénomène s’est même propagé à d’autres pays occidentaux, sauf qu’il n’est pas de la même ampleur et «amplitude». Oui, cela est une vérité. Mais chez eux, on ne parle pas de «bonification», de considération, de valorisation ou de primes, mais ils revendiquent une «nouvelle vision» de l’école et du lycée. En France, la famille des enseignants se bat pour la préservation des postes d’emploi et protestent contre tous les types de réforme, visant à «minimiser» le coût de la formation et de l’éducation d’un enfant ou du lycéen, en tentant de supprimer des matières. Ils refusent que les réformes rendent leurs enfants des automates, ou des «robots». En France, au Canada, aux États Unis, ou ailleurs en Occident, on ne se bat pas uniquement pour un salaire «acceptable», mais pour valoriser le savoir et la science. Ils revendiquent et se battent pour que la durée d’exercice d’un enseignant soit écourtée avec une prise en charge, après sa retraite sur le plan matériel et psychologique. Alors secouons-nous un peu, si nous voulons qu’un jour nos enfants soient fiers de nous et pourront déchiffrer, réfléchir, distinguer entre le bien et le mal et pour surtout, avoir cette capacité de relancer la dynamique du changement.

 

B.N

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Trop c'est trop. A la fin de chaque année scolaire, c’est devenu la hantise, tant pour nos enfants, que par les parents d’élèves. Les enseignants menacent de boycotter la surveillance es examens et/ou la correction du BEM ou du BAC. Et c’est toujours le même refrain chanté et répété tant par les enseignants que par le ministère. Les enseignants, quant à eux, réclament une prise en charge, et surtout de la considération, alors que le ministère promet et ne jure que par les sanctions, ou la pluie de sanctions. Mais souvent, on s’est habitué à cette empoignade, une ou l’autre partie cèdera ou revienne à de meilleurs sentiments, tout en laissant le problème en suspens et en suspens. Oui, on pourra toujours dire que ce phénomène n’est pas propre à notre pays, puisque la France et l’Allemagne vivent des fins d’années scolaires très houleuses. Ce phénomène s’est même propagé à d’autres pays occidentaux, sauf qu’il n’est pas de la même ampleur et «amplitude». Oui, cela est une vérité. Mais chez eux, on ne parle pas de «bonification», de considération, de valorisation ou de primes, mais ils revendiquent une «nouvelle vision» de l’école et du lycée. En France, la famille des enseignants se bat pour la préservation des postes d’emploi et protestent contre tous les types de réforme, visant à «minimiser» le coût de la formation et de l’éducation d’un enfant ou du lycéen, en tentant de supprimer des matières. Ils refusent que les réformes rendent leurs enfants des automates, ou des «robots». En France, au Canada, aux États Unis, ou ailleurs en Occident, on ne se bat pas uniquement pour un salaire «acceptable», mais pour valoriser le savoir et la science. Ils revendiquent et se battent pour que la durée d’exercice d’un enseignant soit écourtée avec une prise en charge, après sa retraite sur le plan matériel et psychologique. Alors secouons-nous un peu, si nous voulons qu’un jour nos enfants soient fiers de nous et pourront déchiffrer, réfléchir, distinguer entre le bien et le mal et pour surtout, avoir cette capacité de relancer la dynamique du changement.

 

B.N

entierement d'acord avec toi Gkader

 

pour les notres eux visent les salaires lorsqu'il manifestent (nos enseignants)

comme le font la, police en europe

il cree d el'insecurité et hop une manufestation pour justifier elur demande

 

 

 

 

 

et la les peuples sont otages de leurs manigance frauduleuse en realité

 

et les enfants comme la pôpulation paye les pots cassées et les recalages

bonjour l'avenir de nos enfants

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L'Education comme bien d'autres institutions son laisser a leurs propres pouvoir

 

si bien qu'ils font du n'importe quoi

 

tout comme beaucoup de service qui font du service entreprise

du gagner toujour plus

 

mais quand il est question de l'hopital

on a pas le droit c'est un crime

 

comme quand c'ests l'education c'est egalement un crime

 

les academis qui mettent en place des educations ( des menus d'apprentissages)

dans toutes les ville de frances

 

alors que seule une ou deux villes auront ces services

quelle gaspillage

de l'argent tres mal depenser

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