Jésus II 10 Posted January 22, 2016 Partager Posted January 22, 2016 C'est idiot de demander une place que l'on possède déjà.. Que voulez-vous ? Prendre la place des Arabes ou les faire sortir de votre prétendue terre ? La langue maternelle de beaucoup d'algériens est l'Arabe. Nous sommes autant dans notre pays que n'importe quel dit bighbigh. Je ne comprends pas votre demande. T'es vraiment une ignorante , si tu ne connais pas l'histoire de ton pays , évite d'ouvrir ta gueule et évite-nous tes bêtises , cette langue a été marginalisée , combien de gens qui revendiquaient à ce Tamazight soit reconnue ont été emprisonnés voire tués et toi Mlle l'ignorante tu viens nous raconter le contraire Citer Link to post Share on other sites
belkarem 228 Posted January 22, 2016 Partager Posted January 22, 2016 C'est idiot de demander une place que l'on possède déjà.. Que voulez-vous ? Prendre la place des Arabes ou les faire sortir de votre prétendue terre ? La langue maternelle de beaucoup d'algériens est l'Arabe. Nous sommes autant dans notre pays que n'importe quel dit bighbigh. Je ne comprends pas votre demande. il n y a pas d'arabe en algerie ou alors une tres faible minorité dans les hauts palteaux e..il n'y a que des arabophone et des berbérophone ..... je me sens a 100 % berbere ....meme si mlheureusement je ne le parle pas ! je ne me trouve aucune mais vraiment aucune affinité avec les gens du golf arabique .....et pour agraver mon cas a tes yeux ..je me sens plus proche d'un espagnol ou d'un francais que d'un emiratis ou koweiti ...... Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted January 22, 2016 Partager Posted January 22, 2016 T'es vraiment une ignorante , si tu ne connais pas l'histoire de ton pays , évite d'ouvrir ta gueule et évite-nous tes bêtises , cette langue a été marginalisée , combien de gens qui revendiquaient à ce Tamazight soit reconnue ont été emprisonnés voire tués et toi Mlle l'ignorante tu viens nous raconter le contraire Qu'est-ce qui vous donne des ailes ? On ne peut même pas vous parler. I riyeh tani. Citer Link to post Share on other sites
Jésus II 10 Posted January 22, 2016 Partager Posted January 22, 2016 Qu'est-ce qui vous donne des ailes ? On ne peut même pas vous parler. I riyeh tani. Il faut être sûr de ses informations , sinon ce n'est pas la peine de balancer n'importe quoi Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted January 22, 2016 Partager Posted January 22, 2016 il n y a pas d'arabe en algerie ou alors une tres faible minorité dans les hauts palteaux e..il n'y a que des arabophone et des berbérophone ..... je me sens a 100 % berbere ....meme si mlheureusement je ne le parle pas ! je ne me trouve aucune mais vraiment aucune affinité avec les gens du golf arabique .....et pour agraver mon cas a tes yeux ..je me sens plus proche d'un espagnol ou d'un francais que d'un emiratis ou koweiti ...... Vous devez être très faible psychologiquement et vous ne savez plus sur quel pied danser. L'Algérie est majoritairement Arabe et ce n'est pas une politique de séparatiste qui me fera dire autre chose. Je vais poster les archives françaises puisque vous avez oublié vos origines. Biled el'orb awtani wa koully el'orb ikhwani. Vous avez vraiment perdu la tête dans ce forum. Citer Link to post Share on other sites
réflexions 415 Posted January 22, 2016 Partager Posted January 22, 2016 Une franco anglaise qui dit ce que l'Algérie est ou n'est pas pas.... :mdr: ... Cherchez l'erreur... :D Citer Link to post Share on other sites
Wertilani 10 Posted January 22, 2016 Partager Posted January 22, 2016 il n'y a pas de separatistes en algerie -il n'y a que des democrates en mal d'un pays democratique...ceux qui te font croire au separatisme a l'islamisme au terrorisme ect sont ceux qui utilisent des stratagemes pour diviser la societe..et ils sont a el mouradia et au drs ...tous les pays connaissent ce types de minorites mais quand l'etat est propre -juste et equitable envers chacune de ses composantes -elles restent des minorités. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted January 23, 2016 Author Partager Posted January 23, 2016 il n'y a pas de separatistes en algerie -il n'y a que des democrates en mal d'un pays democratique...ceux qui te font croire au separatisme a l'islamisme au terrorisme ect sont ceux qui utilisent des stratagemes pour diviser la societe..et ils sont a el mouradia et au drs ...tous les pays connaissent ce types de minorites mais quand l'etat est propre -juste et equitable envers chacune de ses composantes -elles restent des minorités. JE PARTAGE Wertilani pauvre en si ou en cela le voila qu'il en procession d'accusation sévère qu'il prouvera et justifera contre autrui et c'est facile pour une famille envers son ou ses voisins et c'est encore mieux lorsque c'est une région et bien la meme chose se pratique et après on trouvera ce qui l'aggrave très grave puis on l'habille de criminelle etc.. et on en vie du mépris d'autrui DIVISER POUR MIEUX REGNER AL CAPONE L'A REUSSIT AUSSI Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted January 23, 2016 Author Partager Posted January 23, 2016 IL Y A EUT CA SUR LES LANGUES OUI NOTRE SUJET EST TOUT AUTRE JUSTEMENT, La langue de l’étranger - Discours de Francfort - Dernière mise à jour : () Philosophe, écrivain, professeur à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), Jacques Derrida a reçu le prix Theodor-W.-Adorno de la ville de Francfort le 22 septembre 2001. Fondé en 1977, attribué tous les trois ans, déjà décerné à Jürgen Habermas, Pierre Boulez et Jean-Luc Godard, il récompense des oeuvres qui, dans l’esprit de l’école de Francfort, traversent les domaines de la philosophie, des sciences sociales et des arts (musique, littérature, théâtre, cinéma, etc.). Jacques Derrida a lu en allemand les premiers et derniers paragraphes de son discours. Il avait été écrit et traduit dès le mois d’août. Les références au 11 septembre furent donc ajoutées le jour de la cérémonie. « Le Monde diplomatique », en publiant intégralement ce texte, entend rendre hommage à l’un des plus grands intellectuels français. Madame le Maire, Monsieur le Consul général, cher Professeur Waldenfels, chers Collègues, chers Amis, Je vous en demande pardon, je m’apprête à vous saluer et à vous remercier dans ma langue. La langue sera d’ailleurs mon sujet : la langue de l’autre, la langue de l’hôte, la langue de l’étranger, voire de l’immigrant, de l’émigré ou de l’exilé. Qu’est-ce qu’une politique responsable fera du pluriel et du singulier, à commencer par les différences entre les langues dans l’Europe de demain et, à l’exemple de l’Europe, dans la mondialisation en cours ? Dans ce qu’on appelle de façon de plus en plus douteuse la mondialisation, nous nous trouvons en effet au bord de guerres qui sont moins que jamais, depuis le 11 septembre, sûres de leur langue, de leur sens et de leur nom. En exergue à ce modeste et sobre témoignage de reconnaissance, permettez-moi de lire d’abord une phrase que Walter Benjamin (1) un jour, une nuit, rêva, lui, en français. Il la confia en français à Gretel Adorno, dans une lettre qu’il lui adressa le 12 octobre 1939, depuis la Nièvre où il se trouvait interné. Cela s’appelait alors en France un « camp de travailleurs volontaires ». Dans son rêve, qui fut, à l’en croire, euphorique, Benjamin se dit ceci, en français donc : « Il s’agissait de changer en fichu une poésie. » Et il traduit : « Es handelte sich darum, aus einem Gedicht ein Halstuch zu machen. » Tout à l’heure, nous caresserons ce « fichu », cette écharpe ou ce foulard. Nous y discernerons telle lettre de l’alphabet que Benjamin crut y reconnaître en rêve. Et « fichu », nous y viendrons aussi, ce n’est pas n’importe quel mot français pour dire écharpe, châle ou foulard de femme. Rêve-t-on toujours dans son lit, et la nuit ? Est-on responsable de ses rêves ? Peut-on en répondre ? Supposez que je rêve. Mon rêve serait heureux, comme celui de Benjamin. En ce moment même, m’adressant à vous, debout, les yeux ouverts, m’apprêtant à vous remercier du fond du coeur, avec les gestes unheimlich ou spectraux d’un somnambule, voire d’un brigand venu mettre la main sur un prix qui ne lui était pas destiné, tout se passerait donc comme si j’étais en train de rêver. de l’avouer même : en vérité, je vous le dis, en vous saluant avec gratitude, je crois rêver. Même si le brigand ou le contrebandier ne mérite pas ce qui lui arrive, comme dans un récit de Kafka, le mauvais élève qui se croit appelé, tel Abraham, à la place du premier de la classe, son rêve paraît heureux. Comme moi. VOULEZ VOUS LA SUITE? Citer Link to post Share on other sites
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