Jump to content

Elghifari

Members
  • Content Count

    754
  • Joined

  • Last visited

  • Days Won

    10

Posts posted by Elghifari

  1. La déclaration de la FSM a l'occasion du 1er mai 2023 énuméré, entre autres, les actions malfaisantes au progrès dont celle de la privatisation et du respect du droit syndical. Dans notre pays, les privatisations ne s'arrêtent pas et le droit à la grève est quasi interdit par la nouvelle loi liberticide. Je me demande pourquoi le parti politique de la classe ouvrière algérienne n'a pas été reconstruit ? Ce manque laisse la voie libre au régime capitaliste compradore de notre pays? Il continue à massacrer notre économie et à priver les classes moyennes et populaires de libertés et de droit d'expression?

  2. La FSM dénonce, entre autres, les privatisations et aussi les atteintes au droit syndical. 

    L'Algérie ne respecte pas ces deux points importants.

    On voit bien les ravages de la privatisation dans notre pays, mais, le régime algerien persiste à livrer nos entreprises et nos richesses au privé algérien et étranger. 

    Le droit syndical vient d'être touché par une loi qui a ignoré les syndicats. 

    Donc, notre régime est à la remorque du capitalisme occidental? Et n'aime pas du tout la classe ouvrière ? 

  3. 25 Apr 2023


    La Fédération Syndicale Mondiale, la voix militante et de classe qui représente 105 millions de travailleurs qui vivent, travaillent et luttent dans 133 pays des 5 continents, honore le 137ème anniversaire de la lutte des travailleurs migrants à Chicago en 1886 qui a constitué un jalon importante de la classe ouvrière et un phare lumineux pour les luttes d’aujourd’hui et de demain, pour un travail stable avec de droits, la sécurité sociale, la santé et l’éducation publiques et universelles gratuites, une vie dans la dignité.


    Aujourd’hui, la crise du capitalisme s’aggrave partout dans le monde, entraînant la violation ouverte des droits démocratiques et syndicaux, la détérioration des conditions de travail et de vie, ainsi que l’aggravation dramatique des inégalités sociales, de la pauvreté et de l’exploitation. Le grand capital et ses représentants politiques ont utilisé le prétexte de la crise capitaliste sous toutes ses formes pour s’attaquer aux droits démocratiques et syndicaux les plus fondamentaux, comme le droit de grève, de manifestation et d’organisation. Ils font tout ce qu’ils peuvent pour transférer les conséquences de la crise sur les épaules de la classe ouvrière, des retraités, des agriculteurs et de la partie la plus pauvre des travailleurs indépendants.


    L’augmentation incontrôlable des prix, en particulier des prix des produits de première nécessité, ainsi que la « pauvreté énergétique », est un autre moyen de réduire les salaires et de protéger et d’augmenter les profits, ce qui entraîne encore plus de pauvreté et une détérioration du niveau de vie des travailleurs. Une fois de plus, ils veulent que les peuples et les travailleurs paient pour leur crise. Mais les travailleurs ne sont pas disposés à payer la facture. Ce message est entendu haut et fort sur de plus en plus de lieux de travail, dans de plus en plus de pays.


    Les affiliés de la FSM, dans l’esprit militant du XVIIIe Congrès que nous avons tenu à Rome il y a un an, sont à l’avant-garde de ces luttes, exigeant la satisfaction des besoins contemporains des travailleurs à tous les niveaux : salaire, emploi, sécurité sociale, soins de santé, éducation, culture. Nous renforçons notre opposition à la privatisation et aux politiques anti-travail, nous nous tenons aux côtés de la femme travailleuse en lutte, celle qui souffre d’une double exploitation et qui se bat pour l’égalité des droits au travail, à la société et à la vie. Dans la même direction, nous poursuivons notre lutte en faveur des jeunes qui sont toujours les premières victimes de la crise capitaliste et des migrants qui sont exploités comme main-d’œuvre bon marché. Nous sommes solidaires des secteurs vulnérables de la classe ouvrière, exigeant des revenus dignes pour les travailleurs sous-employés, des emplois convenables pour les chômeurs et des pensions décentes pour les retraités.

    Nous renforçons nos actions militantes pour garantir que tous les droits et libertés du travail ainsi que les conventions soient mises en œuvre dans la pratique au lieu de rester des mots vides de sens.


     Ces luttes sont menées inébranlablement et sans relâche, malgré l’accentuation de la répression d’état et de l’autoritarisme, malheureusement avec la tolérance voire la coopération des dirigeants syndicaux qui ont capitulé ainsi que des syndicats jaunes qui s’alignent sur les ordres du capital.


    Outre les séquelles de la pandémie et de la crise économique, la bourgeoisie veut que la classe ouvrière paie également le prix de la guerre impérialiste des États-Unis, de l’OTAN et de l’UE avec la Russie en Ukraine. Nous réitérons notre ferme solidarité internationaliste avec les peuples qui souffrent.  Nous exigeons la fin de la guerre en Ukraine, l’élimination de toutes les guerres impérialistes, le désengagement et le démantèlement de l’OTAN et de toutes les coalitions militaires, ainsi que l’abolition des armes nucléaires. Nous intensifions notre lutte pour garantir le droit des peuples à vivre en paix et à déterminer librement et indépendamment leur présent et leur avenir.

     Nous luttons pour mettre un terme aux guerres économiques et aux sanctions qui servent à promouvoir les intérêts impérialistes étrangers dans des pays souverains et indépendants. Nous exigeons la fin immédiate des embargos criminels contre Cuba socialiste et du crime permanent contre le peuple palestinien.

    Nos armes les plus puissantes sont l’INTERNATIONALISME et la SOLIDARITÉ. Aucun travailleur ne doit se sentir seul.


    La FSM, à l’occasion de la Journée internationale des travailleurs 2023, transmet ses salutations chaleureuses, internationalistes, militantes et de classe à tous les travailleurs en lutte et à tous les syndicats militants qui mènent inlassablement et avec détermination la lutte quotidienne pour la dignité, pour la satisfaction des besoins contemporains de la classe ouvrière et des couches populaires. Nous intensifions nos actions communes dans tous les secteurs, dans tous les pays, sur tous les continents, pour l’émancipation de la classe ouvrière, pour satisfaire nos propres intérêts et besoins de classe, contre les causes profondes de la pauvreté, de la misère, des guerres et des réfugiés, pour construire une société juste centrée sur l’être humain, avec des conditions de vie et de travail dignes pour chaque être humain, une société libérée de la barbarie capitaliste et de l’exploitation de l’homme par l’homme.


    Nous appelons tous les affiliés et amis de la FSM à célébrer la Journée internationale des travailleurs sous les slogans et les bannières de la FSM :


    -La solidarité internationaliste : l’arme de la classe ouvrière
    -Nous refusons de payer pour leur crise  
    -Arrêter les blocus impérialistes et les guerres économiques


    Le Secrétariat
    source : https://www.wftucentral.org/declaration-de-la-fsm-sur-le-1er-mai-2023/?lang=fr

  4. Allah ne peut-être contre ses livres saints les Évangiles et la torah. Tu dis que les chrétiens et les juifs ont déformé les Évangiles et la Torah... mais, nous, musulmans, nous avons fait pire que de déformer : nous avons abandonné le Coran pour le remplacer par des mensonges de la sunna wahabite et celle des sultans et rois bassistes. Tu répètes ces mensonges hérités de l'islam déformé par ces rois et sultans de l'ère Abassie. L'islam vrai, celui du Coran, tu l'as remplacé par l'islam actuel qui nous est parvenu de l'ère Abassie. Les hadiths créés par les oulémas des rois abbassi ont remplacé le Coran. Tu nous déverses ces mensonges sans honte. Et tu te prétends musulman !!!

     

     

     

  5. Tu dis que les chrétiens ont modifié les Évangiles? Et que le Coran ne peut-être modifié ? 

    Mais, nous, musulmans, dans l'impossibilité de modifier le Coran, nous avons trouvé une astuce diabolique pour contourner le Coran, pour cela nous avons créé les hadiths !!! Donc, nous avons remplacé le Coran par les hadiths qui sont quasi totalement faux!! Que dis-tu de cette innovation بدعة diabolique, nous avons dépassé les chrétiens et les juifs en hypocrisie?? Ce que tu écris contre les religions chrétienne et juive, c'est pour cacher la diabolisation du Coran par nous les musulmans. Donc, nous avons dépassé en falsification et en hypocrisie les chrétiens et les juifs !!! ... Nous sommes les champions de l'hypocrisie et du mensonge !!!

    Ta sunna wahabite est mise à nue !!

    Comme tes semblables soi disant musulmans, vous attaquez le Coran au nom de la sunna et des hadiths!!!

    Le peau aux roses est découvert. Tu dois avoir honte de nous apporter ces mensonges de la sunna wahabite.

  6. Il y a 12 heures, KEYBOARDZAPPER said:

    Salut

    donc le coran dit que Jésus n'a jamais péché et toi tu veux en faire de lui un pécheur par n'importe quel moyen..( Al anbya ma3ssomine ou non !!!!! )

    d’ailleurs il n'insulte pas sa mère, il lui fait comprendre que ce n'est pas toi qui m'a envoyé faire ma mission sur terre, tout ce que j'ai a accomplir vient d'en haut.

     

    alors à moi de te poser une question que penses-tu du verset coranique ou allah insulte  en usant du terme bâtard....n'est-ce pas allah qui donne la vie ?n'est pas allah qui   crée ce ( batard ).

    N’obéis donc point aux négateurs qui aimeraient bien que tu sois accommodant avec eux, afin qu’ils le soient aussi avec toi. Et n’obéis à aucun jureur méprisable, détracteur médisant, hostile à tout acte charitable, agressif, scélérat, perfide et bâtard de surcroît; qui, se sentant pourvu de richesses et d’enfants,  s’écrie quand il entend réciter Nos versets : «Ce ne sont là que des fables qui remontent aux anciens !» À celui-là Nous ferons porter un jour sur le museau la marque de l’avilissement.

    (Saint-Coran, Sourate 68,8-16)

     

    -------------------------------------------------

     

    et ce verset ou allah en veut tellement à abu lahab qu'il lui a consacré toute une sourate...!

     

    si le coran existait dans le ciel avant la création...? alors allah a crée abu lahab juste pour que cette sourate trouve sa raison d’être...! ce qui veut dire que abu alhab se retrouve victime malgré lui...

     

    tu n'as toujours pas répond a ma question sur un autre topic...

     

    EST-CE QUE LE DJINS ( DEMONS ) ONT-ILS PARTICIPE A L'INSPIRATION DU CORAN...puisqu'ils ont leur sourate ou ils parlent tout le long du chapitre ?

    ------------------------------------------------------------------------------------

     

    « Ô Marie ! Allah t’a élue, t’a purifiée et t’a privilégiée par rapport à toutes les femmes du monde. »

     

    Donc  aisha, safwa, zained et toutes les autres .!!!!! sont tout en bas de l'échelle par rapport a marie !!!....

     

     

     

     

    Il faut voir les ravages de la sunna wahabite dans les pays arabes. Cet article fait partie du wahabisme qui cherche à créer la haine entre les gens en falsifiant les religions des musulmans, des chrétiens et des juifs.

  7. Le Coran, les Évangiles et la Torah sont des livres d'Allah, alors pourquoi essayer de les opposer les uns contre les autres?

    Le charlatan islamique veut créer la zizanie et nous détourner des choses essentielles dont la bidaa البدعة chez nous musulmans : les madhahib et les hadith dont la plupart sont faux?? Nos oulémas ou la plupart d'entre eux ont essayé de changer l'interprétation du Coran en faveur des sultans et rois; ce problème se poursuit jusqu'à ce jour. Les régimes arabes oppriment leurs peuples en utilisant ces oulémas et leurs dictrines pour maintenir les musulmans dans la soumission et l'arriération.

  8. Fabien Deglise

    16 février 2022

    Afrique

    C'est une tournure bien sombre que vient de prendre le Hirak, la révolution du sourire en Algérie qui appelle à la refondation démocratique du pays. À l'approche de son troisième anniversaire, ce mouvement populaire fait face depuis plusieurs mois à une répression sans précédent de la part du régime en place et à une explosion sévère des arrestations pour délit d'opinion.

     

    Mais ce durcissement face à cet appel inédit pour une modernisation politique du pays et pour la construction d'un réel État de droit n'arrivera pas à faire taire cette opposition, estiment plusieurs militants du Hirak, dont le mouvement a été coupé court par la pandémie en 2020. Ils attendent désormais la fin des restrictions sanitaires pour porter à nouveau leurs revendications dans les rues.

     

    « Aujourd'hui, la situation des droits de la personne, des libertés civiques et des droits démocratiques est pire en Algérie, et de loin, par rapport à février 2019 », soit le début du mouvement, résume à l'autre bout du fil le militant politique et fondateur du Rassemblement actions jeunesse (RAJ), Hakim Addad, joint par Le Devoir en France, où il s'est réfugié sous la menace d'un emprisonnement en Algérie.

     Le régime essaie par tous les moyens de faire taire cette opposition. Mais le problème, c'est que le Hirak n'est pas l'émanation de partis politiques. Il vient du peuple. Et une fois la pandémie terminée, ce mouvement citoyen va retrouver une manière de manifester pacifiquement pour exiger les transformations politiques, constitutionnelles et sociales qu'il n'a toujours pas obtenues », ajoute-t-il.

     

    C'est le 16 février 2019 que cette révolution dite du sourire — en raison du caractère festif et familial des marches hebdomadaires qu'il a fait naître dans les rues des villes d'Algérie — s'est amorcée dans la ville de Kherrata, en Kabylie, portée par une indignation soudaine que la jeunesse du pays a commencé à faire résonner dans les tribunes de stade de soccer du pays.

     

    La perspective d'un cinquième mandat de l'ex-président Abdelaziz Bouteflika, affaibli par la maladie, silencieux et absent, a déclenché ce vent de colère.

     

    Six jours plus tard, le 22 février, il soufflait sur Alger pour s'y maintenir chaque vendredi et sans relâche, jusqu'au début de la crise sanitaire liée à la COVID-19.

     

    Après avoir obtenu la démission de Bouteflika, en avril de cette année-là, le mouvement a maintenu sa pression sur le régime, réclamant la fin du pouvoir des militaires et l'entrée de l'Algérie dans une réelle ère démocratique. Il a également rejeté massivement les rendez-vous électoraux orchestrés par le pouvoir en place, les jugeant non conformes à ses aspirations.

     

    En décembre 2019, l'actuel président, Abdelmadjid Tebboune, a donc été élu alors que plus de 60 % de la population ne s'est pas présentée devant les urnes. Un an plus tard, le référendum sur la réforme de la Constitution du pays a été boycotté par plus de 76 % des électeurs, le taux de participation le plus bas dans l'histoire électorale du pays.

     

    Des droits attaqués

     

     

    « Le pouvoir a promis une Algérie du changement et une Algérie des libertés, laisse tomber, au téléphone, Saïd Salhi, vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme (LADDH). Mais tout ça n'était qu'un mensonge. Nous assistons plutôt à des attaques contre les droits de base, comme le droit d'expression, de réunion, d'association, acquis » depuis les révoltes de 1988 qui ont appelé à la libéralisation du régime.

     

    « Les présidents de partis d'opposition font l'objet d'arrestation, d'emprisonnement, de menace, de harcèlement, ajoute-t-il. Pour la première fois, depuis le début du Hirak, nous avons dépassé le nombre des 300 prisonniers politiques. C'est un véritable régime de peur qui s'est installé. »

    Fin janvier, 40 de ces prisonniers détenus dans la prison d'El-Harrach à Alger ont d'ailleurs déclenché une grève de la faim pour dénoncer la violence de leur détention provisoire, qui s'étire dans l'attente de leur procès, et surtout l'absurdité des accusations auxquelles ils font face.

     

    En juin dernier, une réforme du Code pénal algérien a permis en effet au pouvoir en place d'assimiler à du « terrorisme » et à du « sabotage » tout appel à « changer le système de gouvernance par des moyens non conventionnels ». La mesure a été suivie par l'intensification de la répression des militants du Hirak, des membres d'associations politiques ou sociales, des journalistes — 14 poursuivis et 4 détenus à ce jour — ou encore de simples citoyens.

     

    « Nous avons perdu notre capacité à nous exprimer, dit Hakim Addad. Un simple post sur Instagram peut vous conduire en prison. » Lui a passé trois mois et demi en prison, après avoir été arrêté en octobre 2019 pour avoir milité au sein du RAJ en faveur du Hirak. Un geste qualifié « d'atteinte à la sûreté de l'État » par les autorités. En 2021, il a quitté le pays pour la France, afin d'éviter un autre emprisonnement.

     

    Confirmées par les avocats et les familles de détenus, ces grèves de la faim n'ont toutefois pas été « reconnues » par les autorités, qui en ont nié l'existence le 29 janvier dernier. Le régime a également menacé de poursuites toutes les personnes qui feraient circuler des informations allant à l'encontre de cette version des faits. « Le pouvoir et le système n'ont pas changé, assure Saïd Salhi. Il n'y a eu qu'un recyclage qui a maintenu le verrouillage du processus démocratique et la fermeture des espaces publics d'expression ». 

     

    L'opposition muselée

     

    La semaine dernière, Amnesty International a vertement dénoncé ce nouveau cycle de la répression en Algérie qui a conduit à la suspension « temporaire » du Parti socialiste des travailleurs (PST), un parti d'opposition soutenant le Hirak, mais également à la condamnation de Fethi Ghares, coordinateur du Mouvement démocratique et social (MDS), une institution dans le paysage politique algérien. Il doit purger deux ans de prison pour « outrage à corps constitué » et diffusion d'informations pouvant « porter atteinte à l'intérêt national ». Son crime : avoir critiqué les autorités sur les réseaux sociaux, mais aussi lors d'une réunion politique au siège du parti en juin 2021.

     

    « Notre travail [à la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme] devient de plus en plus difficile et même dangereux, assure Saïd Salhi. J'ai été interpellé à deux reprises. On nous empêche de tenir des réunions dans nos bureaux. Nous vivons une pression continue et vivons dans l'incertitude et l'inquiétude à cause de notre travail et de nos idées. » Une pression qui s'accentue d'ailleurs à l'approche du 22 février, grande journée commémorative de la toute première marche du Hirak à Alger.

     

    Le gouvernement Tebboune cherche ainsi à réduire le potentiel de résurgence du mouvement, lors de cette journée qu'il a paradoxalement décrétée « journée nationale » en 2020 — à la veille de son premier anniversaire — dans une tentative d'asseoir son autorité et sa légitimité sur la base de ce mouvement. Sans succès.

     

    « Ce troisième anniversaire va se faire dans la peur, la déception et la désillusion, pas dans la fête, dit M. Salhi, car nous sommes toujours devant un mouvement inachevé qui n'a pas atteint ses objectifs. Mais le pouvoir n'a pas le droit de l'empêcher, car c'est un jour qui fait partie de l'histoire contemporaine de l'Algérie. »

     

    « Ce qui se passe actuellement est très inquiétant, mais il reste encore du positif », assure toutefois Hakim Addad, qui n'appelle à rien de moins qu'une mobilisation nationale et internationale pour obtenir la libération de détenus d'opinion en Algérie et réaffirmer les objectifs du Hirak face à un pouvoir qui tente de criminaliser ses aspirations

     

    Il salue au passage les militants de la diaspora algérienne, qui portent plus librement les revendications du mouvement, « particulièrement à Montréal », souligne-t-il.

     

    « Je sens que les Algériens croient encore très fort à la reprise du Hirak. Ils continuent à s'accrocher à leur rêve de liberté et de droit que des mois de prison et la répression n'arriveront jamais à effacer de la conscience collective. »

     

    Source : Le Devoir

  9. استفدت من هذا الاستجواب و أرجو نفس شيء لمن يشاهد هذا الفيديو 

    حسب رأيي ناس مثلها هما الذين لهم مكانهم في الجنة و لا المنافقين يدعون بالإسلام الغير القرآني و مبني على المذاهب و لبس على القرآن الكريم 

    • Haha 1
  10. Sommes-nous éloignés de l'essentiel de la parole d'Allah?

    Le pluralisme et la liberté sont venue dans le saint Coran mais notre société est pétrie par l'opinion unique, par l'intolérance et le takfir??

    Nous sommes trop éloignés des grands principes du saint Coran ? 

    Tout cela est bon pour les régimes autoritaires arabes, qui, à travers ces déviations, imposent leur domination et maintiennent nos pays et nos sociétés dans l'ignorance, les fitna, et la misère économique et intellectuelle ? 

  11.  

    الوهابية ما كايناش غير في السعودية

    شرطة الأخلاق الوهابية موجودة في بلادنا: يراقبون ما تقوله وما تكتبه. يجب أن تكون أفكارك وآرائك نسخة من الأيديولوجية السائدة. لكن في الآونة الأخيرة ، أدركت المملكة العربية السعودية أن المسار الوهابي لا يؤدي إلى أي مكان. قررت الانضمام إلى العالم المتحضر. لكن ماذا نفعل نحن؟ نتبنى الوهابية التي تريد السعودية رفضها ..

×
×
  • Create New...