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Avertissez la3 djayez oua ech'youkha!
Avertissez ech-chabab
que nos rues soient noires de monde!
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Le père des deux filles kamikazes liquidé
Depuis 5 heures 26 décembre 2016
Rédaction du site
abou_nimir1Le terroriste syrien et père de la fillette qu’il a envoyée se faire exploser une bombe dans un commissariat syrien à Damas a été tué dimanche.
Plusieurs sources annoncent que le terroriste syrien Abdul Rahman Shaddad, connu sous le pseudonyme d’Abu Nimr al-Suri, a été la cible de tirs mortels par des individus non-identifiés dans la banlieue de la capitale syrienne, Tichrine.
Depuis une dizaine de jours, Shaddad avait fait une apparition dans un enregistrement vidéo pour revendiquer l’attaque perpétrée le 16 janvier contre un commissariat de police dans le quartier Maydane à Hamas, assurant que son auteur n’est autre que sa fille Fatima, âgée de 9 ans.
Dans une deuxième video réalisée avec cette dernière, avant sa mort, et sa sœur cadette, il avait indiqué vouloir faire de même avec celle-ci. Selon des medias arabes, l’attentat sa deuxième fille n’a pu être menée a bien a été annulé.
Il avait en 2014 équipé son frère et sa belle sœur de ceintures explosifs puis les avait fait exploser lors d’une opération de perquisition de l’armée syrienne de leur appartement, dans une région de Damas.
Les comités de coordination des rebelles syriens ont accusé la branche d’Al-Qaïda en Syrie, le front al-Nosra (rebaptisé front Fateh al-Sham) de l’avoir liquidé, car elle fait partie des milices qui contrôlent ce quartier.
abou_nimir3D’autant que Shaddad jouissait de sa protection sécuritaire depuis qu’il a quitté les rangs des Ahrar al-Sham.
Au début de son parcours, indique l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), instance médiatique de l’opposition syrienne siégeant à Londres, ce terroriste a été l’un des premiers à travailler pour le compte du front al-Nosra, avant de rejoindre les rangs de Daesh, lors de la scission qui s’est faite, puis de le quitter pour se rallier a Ahrar al-Sham.
Toujours selon l’OSDH, Abou Nimir ne sortait que très peu de chez lui, et seulement ceinturé d’explosifs
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Grand moments de la bataille d’Alep : Média de guerre livre sa synthèse
25 décembre 2016
Rédaction du site. Al Manar
Média de guerre, instance médiatique du Hezbollah couvrant les évènements en Syrie, a livré sa synthèse de la bataille d’Alep. Il explique comment l’armée syrienne et ses alliés sont parvenus à libérer les quartiers est de cette ville, occupés par les rebelles depuis juillet 2012.
Depuis les fermes Mallah jusqu’à la route Castello
La date butoir selon cette instance est sans doute le 25 juin 2016, lors de la progression enregistrée par les forces gouvernementales vers les fermes Mallah, dans la province nord d’Alep.
La prise de ces fermes permettait d’avancer en direction l’artère stratégique de Castello, voie d’approvisionnement principale des milices, en effectifs, en armements, et en produits alimentaires. Menant vers les quartiers Est d’Alep, elle était leur seule pont de liaison avec la province nord d’Alep, vers sa province ouest, puis vers le gouvernorat d’Idleb, où se trouvent stationné le plus grand attroupement de milices en Syrie, hormis Daesh.
En 24 heures, le nord de ces fermes nord était sous contrôle. Le 7 juillet, son sud a été investi et les troupes régulières se trouvaient désormais à 1km 360 m de la route Castello et l’avait déjà dans leur champ de tirs.
Pressentant la menace réelle d’être assiégés dans les quartiers est d’Alep, les miliciens ont effectué des dizaines de contre-attaques utilisant leurs procédés classiques : des dizaines de kamikazes à bord de véhicules piégés, des kamikazes non motorisés, avant de lancer des assauts auxquels participaient des centaines de miliciens.
En vain, à la fin du mois de juillet, ils avaient perdu 900 de leurs hommes, ainsi que la route Castello, tombée entre les mains de l’armée syrienne.
Depuis les Académies militaires jusqu’au camp Handarate
Depuis ce jour-là, les quartiers est d’Alep étaient désormais fermés au monde extérieur.
Une nouvelle attaque a été lancée par les rebelles, et c’est le guide religieux de la coalition Jaïsh al-Fateh, dont le front al-Nosra est la colonne vertébrale qui est intervenu en personne pour la lancer, du coeur de la mosquée omeyyade d’Alep. Dans une vidéo, le religieux saoudien wahhabite Abadllah Mohaycini l’a baptisée « Grande épopée d’Alep » et qualifiée « la plus grande des épopées de l’histoire du Levant », indiquant que son but était de briser le siège des quartiers est en ouvrant d’autres passages vers la ville d’Alep.
Le résultat a été l’assaut lancé par quelque 22 milices en direction des académies militaires de l’armée syrienne et des projets 1070 situés au sud d’Alep, afin d’ouvrir une brèche entre Ramoussah et les quartiers est.
Durant les 7 phases de cette bataille, 1400 miliciens (1000 de l’aveu des rebelles) ont péri, dont 40 chefs de terrain.
Le mois de septembre suivant, c’est le camp palestinien de Handarate qui est devenu la cible de l’armée syrienne et de ses alliés.
D’une superficie de 6km2, au nord d’Alep, son importance géographique résidait du fait qu’il est proche de la place Gondole, laquelle constitue le point d’accès aux quartiers est d’Alep.
Sa prise permettait entre autre de superviser l’hôpital al-Kindi, transformé en QG des rebelles, et des usines al-Chakif et de paralyser en conséquence le mouvement des miliciens.
Ses quartiers occupés par la milice Mouvement Noureddine al-Zenki, qui s’est rendu célèbre en égorgeant le jeune palestinien Abdallah Issa et le bombardement aux acteurs chimiques des quartiers résidentiels à l’ouest d’Alep n’ont pas tardé à tomber.
Depuis les quartiers ouest jusqu’aux quartiers est
Le mois suivant, ce sont ces quartiers qui étaient devenus la cible d’une nouvelle bataille lancée par les miliciens, et baptisée Abou-Omar Sarakeb, en provenance de la province ouest d’Alep et plus précisément de l’axe Dahiet alAssad-Meniane.
Pour remonter le moral des miliciens, cheikh Mohaycini avait fait une nouevelle apparition médiatique, depuis Idleb, au cours de laquelle il a désigné par leur noms les bailleurs de fond des milices, originaires des pays du Golfe.
Rien à faire, sa première phase a été un fiasco, en raison de l’incapacité des rebelles à conserver les positions qu’ils occupaient.
AInsi que sa seconde phase entamée le 3 novembre, et qui a été marquée par le bombardement intensif des quartiers résidentiels au cours duquel des centaines de civils syriens ont été tués et blessés.
Au bout de cette campagne, les rebelles ont été expulsés de toutes les régions, et perdu 280 des leurs.
Le 20 novembre, l’armée syrienne et ses alliés lançaient la bataille directe des quartiers est.
Au moment même où un pilonnage d’artillerie intensif détruisait les sièges et les quartiers généraux des rebelles, elle a entamé l’évacuation intensive des civils pris en otage. En moins de deux semaines, 100 mille à peu près ont été sortis.
Tallet al-Zohour, massaken Hanano, situés dans nord-est ont été les premiers quartiers à être libérés. S’en est suivi l’assaut pour conquérir cheikh Saïd, au cours duquel les forces gouvernementales évitaient les pilonnages de l’artillerie, lui préférant le corps-à-corps pour épargner les civils.
Elles ont serré progressivement l’étau autour des miliciens, procédant par un grignotage graduel des quartiers, jusqu’à leur confinement dans la dernière poche, où ils se sont résolus à capituler.
A l’issue des pourparlers, 35 mille miliciens et leurs proches ont été évacués vers la province ouest d’Alep, d’où ils se sont rendus vers la province d’Idleb. Leur dernier convoi a quitté Alep le jeudi dernier 22 décembre.
Selon Media de guerre, le dernier mois de bataille dans les quartiers est d’Alep a coûté aux rebelle 400 tués et des centaines de blessés.
Source: Spécial notre site
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Résolution, certes qui n'est pas contraignante mais qui condamne Israel.
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Développer les taxis VTC en Algérie.
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Maroc : un projet d'usine de fabrication de tricycles électriques à Tanger
Publié le 13/12/2016
International Bike Manufacture compte construire une usine de fabrication de véhicules électriques à Tanger. Un projet estimé par ses promoteurs à 15 millions d'euros sur deux à trois ans. Une tentative équivalente avait déjà échoué en Tunisie, faute de soutien.
Maroc : un projet d'usine de fabrication de tricycles électriques à Tanger
Prototype de tricycle d'International Bike
© DR
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Une usine de fabrication de véhicules électriques légers à Tanger. Tel est le projet de la jeune entreprise en formation International Bike Manufacture.
"Nous souhaitons implanter à Tanger, de préférence en zone franche, une usine de fabrication d'une gamme de tricycles/triporteurs, vélo-cargo, vélo-taxi, deux ou trois roues, personnalisés avec une assistance électrique de 180 W à 6000 W alimentée par batterie, énergie solaire ou rechargeable sur secteur et essentiellement dédiée à l'exportation," expose à L'Usine Nouvelle l'entrepreneur français Dominique Turcas, designer et promoteur du projet.
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La résolution 2334 (retenez bien ce n°) est inscrite dans le marbre.
En France, achetez des dattes algériennes ou tunisiennes!!!
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:plane:
Foie gras et champagne.
je recommande le Pommery.:crazy:
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Joyeux Noël à tous.
On me raconte que dans les années 70 à cette occasion, les vitrines des magasins étaient décorées.
Des morceaux de coton servaient à donner l'impression de neige...
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Salut
ne te réjouis pas trop....
trump ne se laissera faire tromper
https://www.facebook.com/243656822344092/videos/1245829522126812/
Je sais. Rien n'est joué. Mais douga douga...
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Représailles diplomatiques d'Israël contre la Nouvelle-Zélande et le Sénégal
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 24/12/2016 :zoo_dog:
Le oremier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a ordonné samedi "une série de mesures diplomatiques" contre la Nouvelle-Zélande et le Sénégal qui ont obtenu qu'un vote soit organisé vendredi à l'ONU sur une résolution contre les colonies israéliennes.
» L'ONU demande à Israël de stopper sa politique de colonisation
La résolution, initialement proposée par l'Egypte et qui devait être votée jeudi, avait finalement été présentée au vote vendredi à l'initiative de la Nouvelle-Zélande, du Sénégal, de la Malaisie et du Venezuela, après une volte-face du Caire. Israël n'entretient pas de relations diplomatiques avec la Malaisie et le Venezuela.
Netanyahou a annoncé quelques heures seulement après le vote de la résolution, le rappel "immédiat" de ses ambassadeurs en Nouvelle-Zélande et au Sénégal "pour consultations".
Il a également décidé d'annuler la visite du ministre sénégalais des Affaires étrangères, prévue en janvier, ordonné l'annulation de tous les programmes d'aide au Sénégal, et l'annulation des visites en Israël des ambassadeurs non résidents du Sénégal et de Nouvelle-Zélande.
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Et ben, il en a fallu du temps.
Mais les palestiniens résistent.
Chaque jour les mères de famille envoient leurs enfants à l'école.
Et cela, ça n'a pas de prix...
ByeBye Bibi:mdr:
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c est vrai il est fort ce gars la et il c est bien parle toujours calme dans ses propos mais un vrai lance pierre en douce qui sorte de sa bouche
Purée, il la joue très finement avec Hollande.
Pour une fois l'Otan n'a plus l'initiative...
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Ils ont un blocus mais Israël permet la construction d'une usine coca pour les empoisonner, les ghazaouis devraient boycotter à leur tour ! Ils travaillent pour la main qui les tue, quelle ironie alors !
Soumoud...
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Hakake ya louled! Zide mel goudame!
[video=youtube_share;ZgcvGKC3WaI]
CITAL Annaba réalise 30% de taux d’intégration national
CITAL Annaba réalise 30% de taux d’intégration national
ANNABA - L’usine d’assemblage et d’entretien des rames de tramway, Cital d’Annaba, est parvenue au mois de décembre courant à atteindre un taux d’intégration national de 30%, apprend-on des responsables de l’usine.
La mise en œuvre du plan d’intégration national par l’usine a démarré avec l’ouverture d’un atelier de fabrication d'équipements câblés, en juin 2016, dans le cadre d’un partenariat entre Hiolle industries, Arilec Annaba et Sofame, signataires d’un accord-cadre de cinq (5) ans.
Ce taux a été également obtenu grâce à l’intégration de pièces en composite, tôlerie et vitrage fournies par de petites et moyennes entreprises (PME) locales ou mixtes, dont la société locale El Kods de verrerie et Toyota Algérie pour la peinture.
Ces mêmes fournisseurs approvisionnent en pièces, outre l’usine, les quatre centres d’entretien ouverts à travers le pays et employant 90 techniciens, ayant bénéficié de stages de formation à l’usine Alstom en France, a-t-on ajouté.
Le taux d’intégration devra encore progresser avec l’entrée en activité dans "les prochains jours" de l’atelier de l’entreprise mixte Hiolle Algérie, implanté sur le même site de Cital.
Cet atelier produira les coffres électriques des rames, ont assuré les responsables de l’atelier.
Opérationnel depuis mai 2015, Cital dispose d’un plan de charge pour la production de 213 rames, dont 80 rames déjà assemblées se trouvent en phase de tests avant livraison.
Fruit d’un partenariat algéro-français, cette usine est détenue par les entreprises algériennes Ferrovial et l'Entreprise du métro d’Alger (EMA) et la société française Alstom.
"L’objectif présent est de développer dans la région d’Annaba un réseau de PME devant fournir les pièces entrant dans la fabrication des rames", selon la même source.
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Cela fait plaisir.:crazy:
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Oran: ouverture du deuxième salon "Mentoudj bladi"
Oran: ouverture du deuxième salon "Mentoudj bladi"
ORAN - La deuxième édition du salon de la production nationale "Mentoudj bladi" s'est ouverte lundi au palais des expositions de hai "Medina Jdida" d'Oran, avec la participation de 125 exposants.
Cette manifestation économique, qui s'étale jusqu'au 8 novembre prochain, regroupe des producteurs de 17 wilayas du pays activant dans plusieurs domaines dont le textile, l'ameublement, l'alimentaire, le cosmétique et l'électroménager.
Elle constitue un espace pour les producteurs nationaux pour faire connaitre leur produits et se frayer une place au marché national, a indiqué le commissaire du salon, Nemmouchi Mohamed, soulignant qu'il faut encourager ce genre d'expositions qui contribuent à la relance et la promotion de l'industrie locale, à la création de postes d'emploi et à la réduction de la facture d'importation.
Des réductions des prix des marchandises exposées allant de 20 à 50 pour cent sont prévues lors de ce salon, de même que des jeux et des tombolas pour attirer un plus grand nombre de visiteurs.
La même source prévoit une grande affluence lors de cette édition par rapport à la précédente qui a enregistré plus de 6.000 visiteurs par jour à longueur de neuf journées, ajoutant que les visiteurs avaient apprécié cet événement où sont proposés des produits locaux n'ayant rien à envier à ceux importés et à des prix compétitifs.
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Voilà, c'est bien, il faut encourager la production nationale.
C'est cela qui offre du travail à bna el Djazayer.
Sellal inaugure la 25e Foire de la production algérienne
Sellal inaugure la 25e Foire de la production algérienne Sellal inaugure la 25e Foire de la production algérienne Photo-APS
ALGER - Le Premier ministre Abdelmalek Sellal a inauguré, mercredi au Palais des Expositions (Pins maritimes), la 25ème Foire de la production algérienne à laquelle prennent part plus de 400 entreprises nationales de différents secteurs d'activités dont, pour la première fois, l'industrie militaire.
Lors de la cérémonie d'inauguration de cette manifestation économique, le Premier ministre était accompagné de plusieurs membres du gouvernement.
Placée sous le thème "Encourager l'investissement et préserver l'économie nationale", cette foire voit la participation de 420 exposants nationaux composés de 135 entreprises publiques et plus de 280 sociétés privées, sur une superficie de 16.500 m2.
Sept secteurs d'activités sont représentés à cette deuxième plus grande manifestation économique qu'abrite le Palais des expositions après la Foire internationale d'Alger.
Il s'agit de l'industrie chimique et pétrochimique, de l'agroalimentaire, des travaux publics, des services, de l'industrie manufacturière, de l'industrie électrique, électronique et électroménager, et de l'industrie militaire.
Cette édition est ainsi marquée par la présence, pour la première fois, du ministère de la Défense nationale à travers la participation de certaines de ses unités de production telles celles de la mécanique, des textiles et de la construction navale.
"La 25ème Foire de la production nationale se tient cette année dans un contexte marqué par la volonté du gouvernement de garantir la réussite du nouveau modèle de croissance économique dont l'objectif principal est d'encourager l'investissement public et privé afin de préserver l'économie nationale", explique la Safex.
La Foire de la production algérienne ouvre ses portes tous les jours de 11h à 18h, tandis que les matinées du 22, 25 et 26 décembre (10h à 14h) seront principalement dédiées aux professionnels.
Afin d'encourager davantage la promotion des produits nationaux, la Safex a mis à la disposition des exposants, à titre gracieux, des stands pour la vente promotionnelle.
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Certains du forum sont vraiment des wdjouh achar surtout les femmes, toujours derrières les personnes au lieu de répondre au sujet. Aya barraket elghira et elhassed rakoum khlitou bledkoum biha et le pire est que c'est vrai ! Wdjouh acharate. :mad:
Quoi, elles t'écrivent pas dans ta boite MP?
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Il faut être fou pour faire confiance aux américains. LEs pays arabo musulmans ont baissé leur garde depuis très longtemps.
Ils cambriolent les logements inoccupés dès que les caméras partent...
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Pauvre Zoubiro dis donc tu avale tout !
Tu pense pas que c'est plutot pour donner un coup de fouet au profit de Coca Cola par des millions des musulmans qui vont cesser de boycotter coca cola parce que elle aide Israel :rolleyes:
Bon c'est vrai ana dima na9ra anno9ss :huh:
Fi Ghaza, el ma rahou maleh, comme à Biskra.
Au moins ils vont avoir moins soif.
Quoique un petit rosé de Mascara bien frais...:mdr:
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Mokri ne me donne pas envie d'aller faire la prière...:mdr:
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Wallah trop fort Poutine.:mdr:
Il a accepté les observateurs proposés par Hollande au Conseil de Sécurité de l'ONU.
Mais avant qu'ils n'arrivent, l'armée syrienne a repris le dernier réduit des islamistes.
Coup d'épée dans l'eau pour Hollande...
:zoo_dog:
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Coca-Cola s’implante à Gaza
Coca-Cola va créer des centaines d’emplois dans l’enclave palestinienne.
LE MONDE | 01.12.2016 Par Edouard Pflimlin
Canettes de Coca-Cola à Portland, Oregon.
Coca-Cola a officiellement ouvert mercredi sa première usine dans la bande de Gaza, qui pourrait offrir du travail à des centaines de personnes dans l’enclave palestinienne close hermétiquement, rapporte La Tribune de Genève. La compagnie, qui a investi 20 millions de dollars (19 millions d’euros) pour cette usine, va créer 120 postes dans l’immédiat, puis éventuellement 270 autres, selon un communiqué de la compagnie. Il existe trois autres usines d’embouteillage dans les territoires palestiniens, mais celle-ci pourrait donner un coup de fouet à l’économie moribonde de la bande de Gaza. Le blocus imposé par Israël a de lourdes conséquences sur la population de l’enclave, selon les organisations internationales. Le taux de chômage dans la bande de
Gaza dépasse 40 %, et les deux tiers des jeunes sont sans emploi.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2016/12/01/coca-cola-s-implante-a-gaza_5041429_3218.html#yXVEBEX2CPYtdmXW.99
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Les Casques blancs en Syrie: la propagande sous l'aide humanitaire
Publication: 13/12/2016
Ce billet du blogue Un seul monde, une initiative de l'AQOCI et du CIRDIS, a été écrit par Rachad Antonius, sociologue et mathématicien, qui enseigne la sociologie à l'Université du Québec à Montréal. Affilié au Consortium interuniversitaire pour les études arabes et du Proche-Orient (ICAMES) et au Réseau francophone de recherche sur les opérations de paix (ROP), l'article qu'il présente ci-dessous traite du rôle politique du regroupement de la Défense civile syrienne, mieux connu sous le nom de Casques blancs.
Les représentations de la guerre en Syrie ont été alimentées, dans les derniers mois, par des images fournies par un groupe nommé « Casques blancs » (ou White Helmets, mais aussi appelé Défense civile syrienne), actif dans l'aide humanitaire d'urgence à Alep. Le journal Time et le réseau NBC News leur ont consacré de longs reportages élogieux, vantant leur indépendance politique et l'aide d'urgence de première ligne qu'ils apportent à la population civile syrienne. Sur la page d'accueil de leur site, les Casques blancs affirment « sauver des gens de tous les côtés du conflit » et « risquer leurs vies pour récupérer les corps des soldats du régime afin de leur donner un enterrement approprié ». Les Casques blancs travaillent de façon très étroite avec l'organisation Syria Campaign, qui se présente comme apolitique et comme la voix des citoyens syriens ordinaires .
Mais un examen plus attentif de cette organisation révèle une autre histoire. Dans une synthèse assez complète de la question, Max Blumenthal constate que, alors qu'elle se présente comme une association de solidarité apolitique, cette organisation remplit surtout une fonction de relations publiques très importante, visant d'une part à justifier auprès du public l'appui à une intervention militaire américaine contre le gouvernement syrien, et d'autre part à délégitimer l'action humanitaire de l'ONU qui travaille dans toutes les zones en Syrie, incluant les zones sous contrôle gouvernemental. De son côté, le programme britannique d'information alternative UK Column News a compilé des images vidéos incriminantes, qui vont dans le même sens que les analyses de Blumenthal. Ce reportage montre aussi des membres des Casques Blancs armés, et participant avec le groupe djihadiste Jabhet Al Nosra à des démonstrations de force.
L'examen des documents officiels d'enregistrement de la Syria Campaign, de la composition de son conseil d'administration et de l'identité de ses dirigeants montre qu'il s'agit d'un puissant groupe d'intérêts qui a des liens étroits avec Washington, et dont l'action principale se situe au niveau des relations publiques. Il s'avère que ce groupe est financé en grande partie par une branche de la USAID, l'agence américaine de développement international, et que son action s'inscrit dans la stratégie de « changement de régime » souhaitée par Washington. Dans un reportage , on voit un porte-parole du gouvernement américain, Mark Toner, admettre officiellement que son gouvernement a fourni 23 millions $US aux Casques blancs, alors que ces derniers affirment sur le site web ne pas recevoir d'argent d'aucun gouvernement impliqué dans la crise syrienne.
2016-12-11-1481481163-3669203-ImagearticleAntoniusDfensecivilesyrienneMaaretNouman.jpg
Défense civile syrienne nettoyant des décombres après une attaque à Maarat al-Nu'man
© USAID
Tant la Syria Campaign que les Casques blancs ont mis la demande d'une zone d'exclusion aérienne en Syrie (No Fly Zone), prélude à une intervention militaire américaine directe, au cœur de leurs revendications, en la présentant comme étant la meilleure façon d'appuyer les réfugiés syriens. Rappelons que c'est bien l'établissement d'une zone d'exclusion aérienne qui avait permis la réalisation du scénario libyen de changement de régime, et le chaos à grande échelle qui en a résulté.
Pour la réalisation de ces deux objectifs, les Casques blancs ont été utilisés pour fournir des images servant à une mobilisation de l'opinion publique américaine en faveur de la zone d'exclusion aérienne. En multipliant dans les grands médias des images de Casques blancs sauvant des enfants des ruines des bombardements, la Syria Campaign a donné aux Casques blancs une réputation d'agence humanitaire pacifique et neutre, et a fait circuler une pétition pour leur attribuer le Prix Nobel de la Paix. Cette pétition a été appuyée par un grand nombre de personnalités publiques internationales, ainsi que par le NPD.
Parallèlement, les Casques blancs ont entrepris de délégitimer l'action des Nations unies en Syrie, produisant un rapport accusant l'ONU d'avoir pris fait et cause pour le régime syrien. Un site web a été consacré à ce rapport, dont la page couverture reproduit le logo de l'ONU en rouge, dégoulinant de sang.
Les Casques blancs ont joué un rôle de propagande important lorsqu'un convoi du Croissant Rouge syrien, arborant les couleurs de l'ONU, s'était dirigé avec des vivres et des médicaments destinés à apporter une aide humanitaire aux populations civiles en zone rebelle à Alep durant l'été 2016. Ce convoi a été bombardé et les vivres n'ont pas été livrés. Les White Helmets ont alors filmé la scène, et prétendu qu'il s'agissait d'un bombardement aérien. Le gouvernement américain avait alors accusé la Russie, alliée du gouvernement syrien, d'avoir bombardé le convoi. Bien qu'aucune preuve en ce sens n'ait été produite, la presse occidentale a généralement adopté la version des White Helmets, contribuant à justifier la nécessité d'une implication militaire directe contre le régime syrien, une étape que Washington n'a jamais voulu franchir. Par contre, cette campagne a eu pour effet de limiter énormément la capacité de l'ONU à fournir de l'aide humanitaire, la coupant du coup des sources d'information sur le terrain, le tout mettant en place des conditions plus sophistiquées pour contrôler encore davantage l'information émanant des territoires rebelles, déjà fortement limitée aux sources rebelles.
On voit donc que si ce groupe sauve effectivement des vies, c'est surtout l'orientation politique de son action qui pose problème. Les analyses critiques de Blumenthal et de UK Column News ont amené des éléments de preuve accablants qui remettent en cause la crédibilité de l'organisation. Ils permettent aussi de comprendre le rôle de propagande qu'elle joue dans la stratégie de « changement de régime » en Syrie, voulue par les pays de l'OTAN.
L’accord d’association avec l’UE, un moyen de pression sur Israël
in Actualité internationale
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L’accord d’association avec l’UE, un moyen de pression sur Israël
Gaël De Santis, l’Humanité, lundi 26 décembre 2016
Les autorités israéliennes intensifient les constructions de colonies en cisjordanie occupée. ici à maale adumim en juillet 2016. PHOTO THOMAS COEX/afp AFP
Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté une résolution condamnant la colonisation d’Israël. Une première depuis 1979. Alors que Donald Trump arrive au pouvoir à Washington, l’Union européenne est l’un des seuls acteurs internationaux à pouvoir forcer Tel-Aviv à évoluer.
Le gouvernement de coalition entre la droite et l’extrême droite en Israël est sur la défensive, après l’adoption vendredi d’un texte à l’Organisation des Nations unies (ONU) condamnant la colonisation. C’est une première depuis 1979, toutes les autres tentatives depuis ayant fait face à un veto de la part du principal allié de Tel-Aviv, les États-Unis, membre permanent du Conseil de sécurité. Selon Benyamin Netanyahou, la résolution adoptée en fin de semaine dernière est « honteuse » et « absurde ». Pis, pour le premier ministre israélien, Barack Obama, président des États-Unis, aurait montré son « vrai visage », en s’associant « en coulisses » à la « ligue anti-israélienne » à l’ONU. Dans l’immédiat, l’homme fort de Tel-Aviv n’entend pas tenir compte du texte adopté par le Conseil de sécurité. Ce dernier est une épine dans le pied des autorités israéliennes. S’il ne prévoit aucune sanction dans l’immédiat, les Palestiniens pourraient s’en saisir comme d’une pièce lors d’éventuelles poursuites devant la Cour pénale internationale.
« La décision qui a été prise est biaisée et honteuse, mais nous la surmonterons. (…) Cela prendra du temps, mais cette décision sera annulée », a déclaré samedi Benyamin Netanyahou. Le chef du gouvernement espère à l’avenir disposer d’un allié de poids en la personne du futur président des États-Unis, Donald Trump. Celui-ci a d’ores et déjà prévenu qu’après sa prise de fonction, qui adviendra le 20 janvier, « les choses seraient différentes à l’ONU », et a déploré l’adoption de la résolution qui rendrait, selon lui, plus difficiles « les négociations de paix ».
Suspendre l’accord frapperait Israël au porte-monnaie
Alors que, sous la présidence Obama, les États-Unis ont à maintes reprises critiqué l’implantation de nouvelles colonies, l’attitude de Washington est donc susceptible de changer. Dès lors, les Vingt-Huit sont les seuls à avoir le poids nécessaire pour pousser les autorités israéliennes dans leurs retranchements. Mais, pour cela, il faudrait qu’ils changent d’attitude. Même s’il a pris des mesures pour limiter l’importation de produits en provenance des colonies israéliennes depuis deux ans, ces dernières années, le bloc européen s’est surtout illustré en contrebalançant le soutien déclinant de Washington à Israël, en renforçant ses liens avec Tel-Aviv, fermant les yeux sur ses violations du droit international. Les pays du Vieux Continent sont désormais les seuls à pouvoir hausser le ton. L’Union européenne (UE) a des arguments pour se faire entendre. Elle est le premier partenaire commercial d’Israël et absorbe 35,8 % de ses exportations, devant les États-Unis (32,1 %).
Alors que la colonisation vient, une énième fois, d’être reconnue comme illégale du point de vue du droit international, l’UE serait fondée à suspendre son accord d’association avec Israël. En effet, l’article 2 de celui-ci stipule que les relations entre Bruxelles et Tel-Aviv « se fondent sur le respect des droits de l’homme et des principes démocratiques ». Depuis le 16 novembre, en France, le Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens (CNJDPI), ainsi que l’appel Trop, c’est trop ! ont lancé une campagne pour la suspension de l’accord d’association [1]. Cet accord, signé en 1995, permet une « totale détaxation des produits exportés d’Israël vers l’UE », dénonce le collectif. Et l’industrie israélienne, notamment électronique et aéronautique, bénéficie de subventions européennes, au titre de la participation d’Israël au sixième programme cadre pour la recherche et le développement technologique (PCRD).
Suspendre l’accord frapperait Israël au porte-monnaie au moment où Benyamin Netanyahou s’est jeté dans une fuite en avant sur le front de la colonisation. En juin dernier, il a nommé Avidgor Lieberman, leader d’extrême droite, au poste de ministre de la Défense. Et, début décembre, le gouvernement a trouvé le moyen de contourner la Cour suprême, qui exigeait le démantèlement de la colonie d’Amona. Celle-ci disparaîtra bien, mais, en échange, quatre mille autres logements israéliens devraient être légalisés en Cisjordanie, afin de complaire au Foyer juif, un parti ultranationaliste et religieux.
Les colons : un poids exorbitant
Depuis les années 1970, et malgré les accords d’Oslo, signés avec l’OLP en 1995, Israël n’a eu de cesse d’implanter des colonies en Cisjordanie occupée, et à Jérusalem-Est. Dans la première, ce sont pas moins de 430 000 Israéliens qui se sont installés, empoisonnant par des check-points et appropriations de terre la vie de 2,6 millions de Palestiniens. À Jérusalem-Est, ils sont 200 000 Israéliens, pour 300 000 Palestiniens.
>>Signez la pétition
[1] Il est possible de signer la pétition à l’adresse Internet suivante : http://cnpjdpi.org/appel/?p=4