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Zoubir8

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Posts posted by Zoubir8

  1. Wallahi gheir digoutite

    je viens de fermer la radio France-Inter

    ils font une émission sur la primaire PS

    invites pour parler de politique étrangère:

    -Dominique Moïsi: néo-conservateur,

    -Bernard Guetta: ultra néo-conservateur.

     

    C'est quoi de laisser une radio publique payée par nos impôts aux mains de militants politique?

    Où est le débat contradictoire?

  2. Tébessa/ Un caïd de la contrebande organise une fête pour célébrer ses 600 milliards

    Politique, Une janvier 4, 2017janvier 4, 2017 Abdou Semmar

     

    Au moment où l’Etat et les citoyens algériens subissent de plein fouet les effets de la crise financière, les caïds de la mafia de la contrebande entretiennent un train de vie princier au vu et au su de tout le monde.

     

    A Tébessa, à l’est du pays, les caïds de la contrebande s’enrichissent au point où certains d’entre-eux n’ont plus ni peur ni honte d’exhiber leurs fortunes colossales. Ces caïds narguent les autorités et mettent en avant la réussite leurs business. La mafia de la contrebande compte, dans cette wilaya frontalière, pas moins de 119 caïds qui font la pluie et le beau temps. La majorité d’entre eux sont originaires du douar de Elm’zara, situé tout près de la ville de Bir El-Ater, ou de Bouderais, un patelin situé tout près du poste frontière de Bouchebka.

     

    Ainsi, le dénommé Moussa A. a poussé l’outrecuidance jusqu’à organiser récemment une fête pour célébrer, avec ses amis et ses acolytes, ses 600 milliards de centimes ! C’est le montant de sa fortune colossale amassée après plusieurs années de contrebande au niveau de la frontière algéro-tunisienne. Cigarettes, appareils électroménagers, voitures, vêtements, carburants, ce caïd a versé dans tous les trafics pour s’enrichir en ne versant aucune taxe au Trésor public. Selon nos informations, les caïds de la région de Tébessa peuvent gagner grâce à leurs trafics jusqu’à trois millions de dinars par jour.

     

    Les activités de ces caïds, connus dans tout l’est algérien, sont un secret de polichinelle. Que font donc les douanes et les gardes-frontières ? Pourquoi restent-ils les bras croisés face à cette mafia qui fait perdre des sommes astronomiques à l’Etat ? Force est de constater qu’ils demeurent impuissants face à l’influence de ces réseaux mafieux connectés depuis longtemps à des chapelles politiques. Aucune campagne électorale ne peut se faire à Tébessa sans leur appui, notamment financier. Personne ne peut prétendre à la députation ou à un quelconque poste politique si la mafia de la contrebande ne lui assure pas un parrainage. Dans ce contexte, même le Wali de Tébessa ou les hauts responsables de la Gendarmerie Nationale ainsi que l’armée ne peuvent s’opposer à ces rois de la contrebande. Une impunité révoltante qui laisse le citoyen lambda pantois.

  3. Amar Saïdani entendu par la police française pour blanchiment d’argent et enrichissement illicite

    10 Septembre 2014

     

    ARTICLE | 10. SEPTEMBRE 2014

     

    Saïdani va-t-il encore bénéficier de la protection de ses «mentors» ? Sid-Ali/New Press

     

    Nouveau rebondissement dans l’affaire des biens d’Amar Saïdani à Paris ! La police française enquête sur l’origine de l’argent qui a permis au secrétaire général du FLN de multiplier les acquisitions immobilières dans des quartiers très cotés et à «garnir» ses comptes en France. Cette information, qui soulèvera assurément de nouvelles vagues au FLN, où il est fortement contesté, a été révélée par une partie de ses détracteurs proches de l’ancien secrétaire général Abdelaziz Belkhadem, dans un communiqué adressé au journal arabophone El Fadjr. Disparu des écrans radars durant l’été, Amar Saïdani n’était finalement pas en vacances, il subissait des interrogatoires de la police française. Le communiqué en question, signé par la commission de fidélité (wafa à Belkhadem), qui compte parmi ses membres des députés, des sénateurs et des membres du comité central, précise la date, le lieu et la durée de ces interrogatoires.

     

    Selon ce communiqué, le secrétaire général du FLN a été entendu par la police judiciaire de Paris le 21 août, laquelle mène une enquête sur des soupçons de blanchiment d’argent et d’enrichissement illicite qui pèsent lourdement sur lui et sa famille. L’interrogatoire a duré plus de 4 heures, précise la même source. Selon une source au FLN, Amar Saïdani était bel et bien en France durant cette période. D’ailleurs, la même source nous a affirmé que «le secrétaire général du FLN est resté longtemps à Paris alors que des événements importants liés au parti se sont produits».

     

    Cela en référence à la dépêche de l’APS annonçant le limogeage de Belkhadem de la Présidence et son interdiction d’accès au FLN. La brigade de lutte contre le blanchiment d’argent a agi à la demande du parquet, lequel a enregistré le 29 juin dernier une plainte contre Amar Saïdani déposée par l’ex-candidat à la candidature à la présidentielle algérienne du 17 avril dernier, Rachid Nekkaz. Ce dernier, faut-il le rappeler, a mené sa propre enquête sur les biens d’Amar Saïdani à Paris, confirmant ainsi les révélations faites par le journaliste d’investigation Nicolas Beau, dans le journal Mondafrique, et Algeriepatriotique.

     

    Ainsi, Mondafrique avait fait état de la possession d’Amar Saïdani de deux appartements à Paris et de 300 millions d’euros en banque. Algeriepatriotique a, quant à lui, pu situer après enquête ces deux appartements dans deux quartiers cossus de la capitale française. Le premier au 15, boulevard Victor Hugo à Neuilly-sur-Seine, d’une superficie de 100 m2, dont le prix au mètre carré peut atteindre allègrement les 15 000 euros. La seconde habitation d’Amar Saïdani est située non loin du quartier de La Défense, au 36, Résidence Belle Rive. Cet appartement a dû coûter entre huit cent mille et un million d’euros. Le patron du FLN dispose également, comme l’a révélé Nicolas Beau, d’une carte de résidence VIP, qui lui donne le statut d’une personnalité hautement importante pour la République française. Il possède également une société civile immobilière l’Olivier avec ses 7 enfants et sa femme. Cette affaire risque de faire couler encore beaucoup d’encre, car c’est la première fois qu’un secrétaire général du FLN fasse l’objet d’une enquête pour blanchiment d’argent par l’ancienne puissance coloniale. Elle met Amar Saïdani dans une mauvaise posture face aux défenseurs de la ligne dure de l’ex-parti unique qui se considèrent comme les héritiers du FLN historique.

     

    (...)

    Rafik Meddour

  4. Amar Saïdani passe aux aveux : «C'est vrai, j'ai acheté des biens immobiliers en France !»

    08 Jul, 2015

     

    Le secrétaire général du FLN vient de reconnaître avoir acheté un appartement haut standing au cœur de Paris. Après avoir longtemps nié posséder des biens immobiliers en France en défiant la presse d’apporter la preuve du contraire, le controversé SG de l’ex-parti unique passe aux aveux. Dans un entretien accordé au quotidien arabophone El-Khabar,Amar Saïdani s’explique sur cet achat immobilier qui a fait couler beaucoup d’encre. Il a ainsi affirmé avoir effectivement acheté un appartement à Neuilly-sur-Seine. Pour faire passer son aveu sans trop de fracas, il justifie cette acquisition par la nécessité d’assurer un toit décent à sa fille malade qui se soigne en France. «Oui, j’ai effectivement acheté un appartement à Paris pour garantir une résidence sûre et confortable pour ma fille malade qui est suivie dans un hôpital parisien. Elle se soigne là-bas depuis trois ans. Ce sont les médecins qui m’ont conseillé de m’installer à Paris pour les besoins de la prise en charge médicale de ma fille», a-t-il attesté, avant de s’interroger : «Est-ce qu’il fallait que je la laisse dans un hôtel, sans surveillance, ni soutien surtout que son état de santé ne lui permettait pas de se déplacer sur de longues distances ?» Il n’explique pas, cependant, pourquoi sa fille malade est demeurée en France plusieurs années après l’achat de cet appartement. Amar Saïdani a précisé, dans cet entretien, qu’il avait remis au chef du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), le général de corps d’armée Toufik, un dossier détaillé sur cette acquisition, dans lequel il avait fourni toutes les pièces et documents relatifs à ce bien immobilier ainsi que tout le dossier médical prouvant que sa fille est bien malade et qu’elle est suivie dans un hôpital parisien. Pourquoi le pourfendeur du DRS, dont il dit qu’il ne devait pas se mêler des affaires «qui ne le regardent pas», a-t-il remis le dossier de son appartement parisien au général Toufik ? Veut-il lever tout soupçon sur cette transaction en affirmant qu’elle a été soumise au contrôle du DRS ? Que s’est-il passé pour qu’Amar Saïdani se décide enfin à passer aux aveux ? Pourquoi reconnaît-il aujourd’hui ce qu’il a totalement nié il y a quelques mois en allant jusqu’à accuser la presse d’être manipulée, en diffusant des «fausses informations» sur lui ? Il avait d’ailleurs défié les journalistes d’apporter la preuve de cette acquisition. D’une superficie de 101,61 m2, cet appartement a été acheté auprès d’un couple mexicain en novembre 2009. Il est situé au 09/15 boulevard Victor-Hugo, Neuilly-sur-Seine (Hauts de Seine). L’acquisition a été faite au nom de la société civile immobilière L’Olivier, créée quelques mois auparavant, à savoir en juillet 2009, et gérée par l’une des filles d’Amar Saïdani, Kenza. Le siège social de la SCI L’Olivier, spécialisée dans l’acquisition et l’exploitation de tous biens et droits immobiliers, est sis au 48, rue de la Bienfaisance, 75008, Paris. Outre Amar Saïdani, sont actionnaires dans cette société tous ses enfants et sa femme. L’appartement de Neuilly-sur-Seine a été acheté au prix de 665 000 euros.

    Hani Abdi

  5. il vient d etre condamne à 2 mois de prison ferme au tribunal de Paris pour avoir manifester devant l appartement de la fille de Sellal sans autorisation de la prefecture de manifeter

     

    il a la rage !! allez sur sa page facebook vous verrez tout ca

     

    Ah, pour ça, c'est bien.

    Saïdani, il aurait des biens estimés à plusieurs millions d'euros à Paris.

    Il faut lui saisir come pour ce président de la Guinée.

    Il faut saisir Transparency International.

  6. Syrie: l’armée occupe le fief du front al-Nosra à Wadi Barada

    Depuis 5 heures 19 janvier 2017

    wadi_barada_bataille1

     

     

    L’armée syrienne et des forces alliées assiégeaient jeudi la région rebelle de Wadi Barada près de Damas, un secteur clé car abritant les principales infrastructures alimentant en eau la capitale syrienne, a rapporté l’AFP, citant comme l’Observatoire syrien des droits de l’homme.

     

    « Les forces du régime et des groupes alliés ont assiégé Wadi Barada (….) après avoir coupé la route entre cette région et les zones tenues par les rebelles » dans la région montagneuse de Qalamoun, qui borde le Liban, a déclaré à l’AFP le directeur de cette instance médiatique de l’opposition qui siège à Londres.

     

    Une source militaire syrienne a confirmé que Wadi Barada était assiégée après la coupure de la route, précisant que l’armée syrienne encerclait notamment Aïn al-Fijeh, un village de cette région depuis lequel coule la principale source d’eau.

     

    carte_wadi_barada

    Les maisons incendiées à A?n al-Fijeh

    Les maisons incendiées à Aïn al-Fijeh

     

    Dans le fief du Nosra

     

    Média de guerre, instance médiatique de la résistance en Syrie a pour sa part publié une nouvelle carte qui montre les nouvelles régions prises par l’armée syrienne et ses alliés : la localité d’Efrat et la hauteur qui la surplombe Aridh al-Samn.

     

    Cette région était le bastion du front al-Nosra, branche d’Al-Qaïda en Syrie (rebaptisé front Fatah al-Sham).

    Hammoud Doukat

    Hammoud Doukat

     

    Mercredi, Média de guerre avait rendu compte que les militaires réguliers étaient parvenus à investir les parages de la localité Aïn al-Fijeh, où selon Media de guerre, les groupes armés ont incendié certaines maisons

     

    Un chef militaire du Nosra , le colonel déserteur Hammoud Doukat et certains de ses hommes ont péri durant les combats.

    La bataille de libération de cette zone importante avait été lancée le 25 décembre dernier, après la destruction des infrastructures hydrauliques, entraînant d’importantes pénuries d’eau à Damas

     

    Les forces gouvernementales poursuivent leurs efforts en vue d’obtenir, sans opération militaire, le départ des hommes armés d’Ain al-Fijeh « de façon à éviter davantage de dommages » dans le secteur, a souligné une source militaire pour l’AFP.

    « Les hommes armés sont encerclés (…) ils n’ont d’autre choix que d’accepter un accord ou la poursuite de l’opération militaire ».

    « Nous préférons la première solution de façon à ce que le personnel de maintenance puisse entrer rapidement (dans le secteur) et réparer les dommages », a précisé cette source militaire.

     

    Bataille contre Daesh

     

    A Deir Ezzor où l’armée livre bataille à la milice wahhabite terroriste Daesh, l’aviation syrienne poursuit les combats pour repousser l’assaut qu’il a lancé contre ses positions et restituer celles qu’il a prises : l’aviation syrienne a bombardé des mouvements des miliciens dans l’entourage de la région de Makaber, de Panorama, et de Jabal Thardat, au sud de la ville a indiqué Média de guerre.

     

    L’armée syrienne livre également bataille à Daesh dans la province Est d’Alep, où elle a pris le contrôle du village de Aafrine, des moulins al-Foustok , des poulaillers et de l’usine de savon après des combats à la mitrailleuse lourde et à l’artillerie.

     

    manif_alepDans la ville d’Alep, des réseaux sociaux ont fait état ce jeudi d’une importante manifestation en milieu de journée, pour soutenir le président syrien Bachar al-Assad et l’armée syrienne.

     

    Par ailleurs, la chaîne de télévision Al-Mayadeen a fait état d’un bombardement qui a touché les quartiers résidentiels ouest de la ville.

     

    Il a été perpétré par la milice Mouvement Noureddine al-Zenki, reconnue par les pays occidentaux et certains États arabes comme formant l’opposition syrienne « modérée ».

    Celle-ci s’était rendue célèbre en juillet 2016, lorsqu’elle a posté sur la Toile une vidéo de la décapitation, par trois de ses kherbetmembres d’un garçon palestinien accusé de complicité avec l’armée syrienne

     

    Nosra contre Ahrar

     

    Dans la province d’Idleb, au nord ouest de la Syrie, le front al-Nosra a pris le contrôle du passage frontalier avec la Turquie Kherbet-alJoz et s’est emparé d’un check point après en avoir délogé leurs alliés de la milice Ahrar al-Sham.

    Dans un Tweet, une milice de l’ASL « al-Faraouk » s’est étonné que le front al-Nosra ait asséné ce coup à Ahrar al-Sham, alors qu’il avait refusé de se rendre à la conférence d’Astana juste pour empêcher que le Nosra ne soit isolé.

     

    c2igmeswqaaq2pv_002Toujours dans la province d’Idleb, les deux localités loyalistes Kfarya et Fouaa ont de nouveau été victimes ce jeudi d’un pilonnage en provenance des zones occupées par les rebelles du Nosra et Cie: deux étudiantes, Zahra Cheikh et Chahad Faour de 16 et 15 ans ont ete blessées lorsque leur classe d’école a essuyé des tirs d’obus en provenance de la localité avoisinante de Bennech.

  7. Ce journaliste de France Inter critique beaucoup la Syrie.

    On sait que l'ambassade du Qatar à Paris a arrosé pas mal de gens avec des cadeaux et des Rolex (voir sur google le livre "Nos très chers Emirs").

    Non, non, qu'allez vous penser.

    Ce journaliste est clean!!!:mdr:

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