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Zoubir8

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Posts posted by Zoubir8

  1. tu aimes poutine et poutines aimes aussi israel...

     

     

     

    Poutine est coincé car bcp de russes sont allés s'installés en Israël.

    Puis il peut en avoir besoin,

    il ne veut pas se les mettre trop à dos.

    Il n'est pas fou PoutPout...

     

    Mais, qu'il aide la Syrie c'est déjà bien.

    Et qu'il nous vende des armes, c'est bien.

    Le lobby israélien aux USA bloque tout contrat d'armes sophistiquées US vers l'Algérie.

  2. Argent saoudien contre trahison de la Patrie: un parlementaire syrien témoigne

    Depuis 1 heure 28 janvier 2017 Al Manar

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    Ils proposaient tout: maisons, biens, chèques, contre une «bagatelle», la trahison de la Patrie… Dans une interview à Sputnik, un député syrien fait toute la lumière sur les tentatives de corruption émanant des Saoudiens.

     

    Ceux qui connaissaient la Syrie d’avant la guerre ne cessent de s’étonner de la rapidité avec laquelle le pays s’est retrouvé divisé en deux camps. D’ailleurs, le schisme ne se limitait pas aux simples citoyens: les deux premières années de la guerre ont été marquées par une série de défections scandaleuses, y compris celle du premier ministre de l’époque Riyad Hijab.

     

    Du jour au lendemain, des militaires et certaines personnalités politiques et publiques changeaient subitement de rhétorique et rejoignaient le camp opposé.

     

    Or, comme l’a confié à Sputnik le parlementaire syrien Mohammed Kheir Jassim al-Nadir, nombreux ont été ceux qui ont été tentés par des partis qui renonçaient aux principes et à la Patrie contre une fortune promise.

     

    « Malheureusement, certaines tribus ont rejoint le parti opposé au gouvernement et sont allés dans le nord-est du pays. Les leaders de ces tribus sont partis en Arabie saoudite pour redresser leur situation financière et non celle de leur pays », constate-t-il avant de se rappeler de ce qui lui était arrivé.

     

    « J’étais chez l’ambassadeur syrien à Riyad, Mahdi Dahallah. Dans sa maison, on a essayé de nous proposer de l’argent, mais nous avons refusé », a-t-il déclaré au correspondant de Sputnik, expliquant qu’ainsi les Saoudiens avaient tenté de les faire renoncer à leurs convictions.

     

    « Nous ne sommes pas prêts à vendre Bachar el-Assad », a résumé l’homme politique.

     

    « On nous tentait avec des maisons et des sommes d’agent. On nous donnait un chèque vierge où on pouvait inscrire n’importe quelle somme si on annonçait notre défection. Mais comme on dit chez nous, celui qui est bon à l’intérieur, il fait du bien pour son pays. On ne peut pas abandonner notre peuple et notre Patrie », a-t-il ajouté, avant d’exprimer sa dévotion à la Syrie et à son armée.

     

    Source: Sputnik

  3. USA: le mouvement pour une sécession de la Californie gagne du terrain

    Depuis 2 heures 28 janvier 2017 Al Manar

     

    Une campagne visant à ce que la Californie fasse sécession, dans la foulée de l’arrivée au pouvoir du nouveau président républicain Donald Trump, gagne du terrain: les soutiens d’une telle mesure ont été autorisés à récolter des signatures pour qu’elle soit soumise au vote.

     

    Le secrétaire d’Etat de la Californie, Alex Padilla, a donné son feu vert jeudi pour que les militants d’une « Nation de Californie » – mouvement aussi surnommée « Calexit » – démarrent la collecte des près de 600.000 signatures nécessaires pour que la mesure soit soumise au vote lors des prochaines élections en novembre 2018.

     

    Il leur faudra récolter exactement 585.407 signatures d’ici le 25 juillet, soit 8% des votants inscrits dans le grand Etat de l’ouest américain, le plus peuplé des Etats-Unis avec 40 millions d’habitants.

     

    Si la Californie était un pays, elle disposerait à elle seule de la sixième économie mondiale. L’Etat est à une très forte majorité démocrate.

     

    Si l’initiative était effectivement soumise au vote, un « Oui » conduirait à une modification de la Constitution de l’Etat, selon laquelle « la Californie est une partie inséparable des Etats-Unis » et « la Constitution des Etats-Unis est la loi suprême du pays », selon un communiqué du bureau de M. Padilla.

     

    Les électeurs auraient alors à décider lors d’un référendum en 2019 si la Californie doit devenir un Etat indépendant.

     

    Padilla a reconnu que cette éventualité, hautement improbable, aurait de sérieuses répercussions sur l’Etat, et que de nombreux obstacles légaux subsisteraient.

     

    « Si la Californie devient réellement une nation indépendante, l’Etat et ses gouvernements locaux feraient face à des impacts budgétaires majeurs, mais inconnus », a-t-il prévenu.

     

    La mesure coûterait également des dizaines de millions de dollars pour les organisations des élections.

     

    Les partisans du Calexit, dont la campagne s’intitule « Yes California », poussent pour l’indépendance de leur Etat car ils l’estiment peu en phase avec le reste des Etats-Unis et pensent que la Californie pourrait prospérer toute seule.

     

    L’idée d’une Californie indépendante est devenue très séduisante pour beaucoup dans la foulée de la victoire de Donald Trump.

     

    Sa rivale démocrate Hillary Clinton a remporté en Californie 4,2 millions de voix de plus que le milliardaire républicain lors du scrutin du 8 novembre dernier, soit près de deux fois plus de voix.

     

    Source: AFP

  4. Investiture de Trump: la coopération USA-Russie entre en vigueur en Syrie

    27 janvier 2017

     

    Moyent-Orient - Spécial notre site - Syrie

    Rédaction du site

     

    La coopération entre la Russie et les Etats-Unis a été entamée en Syrie, a annoncée une source russe citée par le quotidien russe Kommersant, (traduit par RT).

     

    Selon cette source, cette coopération est entrée en vigueur le lundi 23 janvier dernier, lorsque des avions russes et turcs ont mené des raids conjoints contre des positions de la milice wahhabite terroriste Daesh à al-Bab. Les appareils américains et celui d’un Etat européen ont également pris part à la seconde partie des raids, suivant les datas de l’armée américaine.

     

    Le ministère de la Défense russe a lui aussi révélé que le commandement de Hmeimim avait bel et bien reçu le dimanche 22 janvier dernier des datas de la part des Américains à travers la ligne en direct établie avec le quartier General de la coalition internationale à Amman en Jordanie.

     

    Après avoir vérifié les cibles, deux avions de la coalition et deux avions russes ont mené des raids aériens contre des positions des terroristes.

     

    « Ce fut une belle surprise de la part des Américains et de leurs alliés britanniques », s’est réjoui la source militaire russe.

     

    Avant cette date, le Pentagone et l’Otan avaient refusé toute forme de coopération avec la Russie en Syrie. Si cette coopération se poursuit, d’autres opérations conjointes pourraient être menées dans d’autres régions syriennes occupées par Daesh, dont Raqqa et Deir Ezzor.

     

    Elle intervient directement après l’investiture du nouveau président américain, Donald Trump, qui avait déclaré durant la campagne électorale qu’il compte collaborer avec la Russie pour lutter contre le terrorisme.

  5. Benoît Hamon : "Je suis fier qu'ils m'appellent Bilal"

    Vendredi 27 Janvier 2017 à 8:49

    Magazine Marianne

     

    Après "Ali Juppé" et "Farid Fillon", Benoît Hamon s'est vu rebaptiser "Bilal" ces derniers jours sur les réseaux sociaux. Il a répondu ce jeudi 26 janvier en meeting à Montreuil.

    Benoît Hamon, jeudi soir en meeting à Montreuil, a répondu à la fachosphère. - Thibault Camus/AP/SIPA

     

    Alain Juppé et François Fillon avaient connu la même chose avant lui. Après "Ali Juppé" et "Farid Fillon", Benoît Hamon a à son tour été gratifié d'un surnom sur le même mode. Depuis quelques jours, les "Bilal Hamon" ont ainsi fleuri sur les réseaux sociaux. Comme pour les candidats de la droite, on retrouve à la manoeuvre la main de la "fachosphère".

     

    Un changement de prénom censé dénoncer la complaisance du socialiste envers le communautarisme, plus précisément l'islam radical. Une critique, sur le fond, portée aussi à gauche par les soutiens de Manuel Valls. Comme le député Malek Boutih, qui dépeint un Benoît Hamon "en résonance avec une frange islamo-gauchiste".

    >> Primaire à gauche : Hamon durement attaqué sur la laïcité

     

    Des accusations également reprises à Trappes, dans le fief électoral de Benoît Hamon, par certains de ses opposants locaux, comme Marianne a pu le constater.

    "Tous ces noms qu'ils détestent"

    Mais à l'inverse d'un Juppé ou d'un Fillon qui s'étaient offusqués de ces prénoms d'origine arabe, le député des Yvelines a décidé de prendre le contrepied de ses contempteurs. En meeting à Montreuil ce jeudi 26 janvier, il a répliqué en ces termes :

     

    "Me voilà donc, aux yeux des racistes, des xénophobes, rebaptisé d'un très joli nom à mes yeux (...) Je suis fier qu'ils m'appellent Bilal et je serais fier aussi qu'ils m'appellent Elie, David, peu importe, tous ces noms qu'ils détestent, eux les antisémites, eux les racistes, à qui nous ne laisserons ni la France ni la République", a-t-il lancé à la foule, la voix éraillée.

     

     

    Ce n'est pas la première fois que Hamon "assume". Dans un entretien filmé accordé au Bondy Blog, dont un extrait a été publié sur les réseaux sociaux, le candidat demande ainsi à ses interlocuteurs : "Vous me confirmez qui était Bilal ? On me dit que c'était le premier muezzin esclave noir affranchi par le prophète ?". Et d'ajouter :

     

    "Moi ça me va. Surtout que, je veux le dire ici et je regarde la caméra (...) C'est une grande fierté d'être insulté par vous, mesdames et messieurs les racistes".

     

    Sans préciser, cette fois, qu'il serait fier également qu'on l'appelle Elie ou David, comme il l'a ajouté jeudi à Montreuil.

  6. Des commerçants d’Alep tentent de faire revivre leur souk

    27 janvier 2017

    Le vieux souk al-Saqtiyyeh à Alep

    manar-07855400014855095457.jpg

     

    Postés sur les toits d’un des souks historiques d’Alep, endommagés par des années de combats, des hommes jettent des débris dans une cour. En contrebas, des commerçants supervisent le travail, impatients de pouvoir reprendre leur activité.

     

    Ils tentent de faire revivre ces lieux classés au patrimoine mondial de l’humanité, dont le cœur a battu des centaines d’années au rythme des échanges commerciaux avant de devenir, pendant quatre ans, une ligne de front entre forces du régime syrien et rebelles.

     

    « J’étais tellement heureux de voir que mon magasin était toujours debout parmi les décombres malgré quelques dommages », explique Antoun Baqqal, 66 ans, un commerçant du Khan Khayr Beyk, dans la vieille ville, où nombre de souks autrefois grouillants et vibrants ont été détruits.

     

    Mais à l’intérieur de ce caravansérail à un étage, seules les façades ont réellement souffert. Le reste a dans l’ensemble été épargné, surtout par rapport à d’autres souks d’Alep qui, comme d’autres joyaux du patrimoine syrien, n’ont pas survécu au conflit destructeur qui dure depuis 2011.

     

    « J’ai envoyé des photos à des amis commerçants pour les encourager à revenir », souligne M. Baqqal.

     

    Pendant les combats à Alep, qui ont pris fin en décembre quand le régime a repris le contrôle de la partie orientale de la ville quatre ans après l’avoir perdue, « les soldats (de l’armée syrienne) dormaient dans les échoppes », raconte-t-il.

    Maintenant que les armes se sont tues, Antoun Baqqal veut relancer le commerce de vêtements dont il a hérité de son père.

    Quand il est revenu, dit-il, le commerçant a trouvé la photo de son père au sol. Il l’a époussetée et l’a raccrochée au mur.

    « Je vais tout remettre en ordre pour que mon fils puisse reprendre l’affaire. Il pourra à son tour accrocher ma photo à côté de celle de mon père et se souvenir affectueusement de moi ».

     

    ‘Maison de famille’

     

    Dans la cour, Zakaria Aziza, 55 ans, montre sur son téléphone portable les photos de la douzaine de boutiques dont il est propriétaire. Des photos d’avant la guerre qu’il compare à ce qu’il a aujourd’hui sous les yeux.

    « Le caravansérail débordait de marchandises, on pouvait à peine marcher tellement il y avait de monde », se souvient-il.

    « Aujourd’hui aussi, on peut à peine marcher, mais c’est à cause des débris et des détritus ».

     

    Un citronnier et un mûrier survivent au milieu des décombres, où l’on aperçoit un coffre-fort rouillé et un gros réfrigérateur blanc.

    Tirant sur une corde, deux garçons traînent un plateau rempli de débris et le déversent sur une pile.

     

    Les autorités ont promis de collecter les sacs de gravats et d’aider à la remise en ordre des lieux mais M. Aziza assure qu’il faudra au moins un an pour restaurer le souk.

     

    Non loin, assis sur un vieux canapé rouge, son neveu Mazen reprend son souffle après être descendu de la toiture où il participe au nettoyage.

    Cet Alépin de 35 ans explique qu’il jouait dans les souks quand il était enfant. « C’est comme une maison de famille », dit-il.

     

    Des années de bombardements ont laissé des traces noires sur les murs du caravansérail mais le soleil continue de percer par l’une des ouvertures de son toit en arche.

     

    A l’entrée du bâtiment, Mohammed Nour Mimi, 60 ans, fouille dans son échoppe pour retrouver des instruments de musique.

    Pendant la guerre, il a conservé les clés de la grande porte en bois de ce marché couvert, confiant dans le fait que lui et d’autres marchands réintégreront un jour ces lieux chargés d’histoire.

    « Que le souk rouvre rapidement ou non, glisse-t-il, les commerçants reviendront pour discuter autour d’un café et d’un narguilé ».

    Source: AFP

  7. Syrie : Les aéroports de Deir Ezzor et Homs sécurisés, le train de retour à Alep

    Depuis 14 heures 26 janvier 2017

     

    Moyent-Orient - Spécial notre site - Syrie

     

    Épaulée par les forces alliées, l’armée syrienne a avorté les tentatives de la milice wahhabite terroriste Daesh visant à reprendre le contrôle de l’aéroport militaire de Deir Ezzor.

     

    Ce jeudi matin, elle s’est emparé des collines stratégiques d’al-Maqaber, où les positions des groupes armés étaient sans relâche visées par l’aviation russe et syrienne. Par la suite, l’armée a réussi à s’infiltrer à près d’un kilomètre de profondeur dans les zones occupées par les éléments terroristes.

     

    Des renforts militaires ont été envoyés vers la ville de Deir Ezzor, encerclée par Daesh, comme la photographie à droite publiée par le site de Média de guerre

     

    T4: des trois côtés

     

    bir_fawara_homsDans la province de Homs, c’est un autre aéroport militaire, le T4 dont l’armée syrienne et ses alliés ont réussi à assurer la sécurité et ce sur trois axes, au Nord, à l’Est et au Sud.

     

    Citées par l’agence Fars News, des sources d’information depuis les champs de bataille ont indiqué que les forces militaires syriennes et de la Résistance ont surpris les terroristes par leurs attaques au sud de l’aéroport, faisant des dizaines de morts.

     

    Après des heures de combat, elles ont libéré la base de la brigade Al-Fawara.

     

    Le retour du train d’Alep, sur les décombres

     

    train_alep1Dans la ville d’Alep, le train est de retour après un arrêt de près de 4 années. La réouverture de la ligne ferroviaire assurant les déplacements des Aleppins entre les deux extrémités Est et ouest de la ville a été inaugurée ce jeudi en présence du ministre syrien des Transports, Ali Hamoud.

     

    Des centaines de Syriens ont pris le train reliant les deux gares Jibrine, dans la banlieue d’Alep et Bagdad, au cœur de la ville.

     

    Sur le chemin, ils ont hélas constaté l’ampleur des dégâts laissés par la guerre dans les quartiers est d’Alep.

     

    « Il a fallu que toute la distance parcourue soit nettoyée de quelque 330 explosifs déposés par les terroristes », a indiqué M. Hamoud.

     

    Sources: Press TV, al-Alam, Média de guerre

  8. Publié le 2 Jan 2017

    Le candidat Benoit Hamon : « Il faut reconnaître l’État de Palestine et c’est l’engagement que je prends et que je prendrai »

     

    Le candidat à la primaire du Parti socialiste (PS), Benoît Hamon, s’est engagé lundi à reconnaître la « Palestine » en cas de victoire à l’élection présidentielle.

     

    « Il faut se placer sur le terrain de la légalité internationale. Une résolution des Nations Unies ça pèse […] on ne peut pas demander au monde entier de les respecter et de faire une exception », a déclaré M. Hamon lors de l’émission « Quotidien » diffusée sur la chaîne française TMC, en réponse à une question sur la colonisation israélienne.

     

    « Ce que moi je ferai car je pense que c’est de la responsabilité historique des Européens, notamment des Français envers l’Etat d’Israël, c’est d’assurer son insertion dans son environnement régional de manière pacifique. Or ce n’est pas le cas si Israël se sent menacé par ses voisins. Pour que ce soit pacifique, il faut reconnaître l’Etat de Palestine et c’est l’engagement que je prends et que je prendrai », a-t-il poursuivi.

     

    « Je souhaite que nous avancions comme on avait dit que nous le ferions par la voie de Laurent Fabius si justement on ne voyait rien bouger. Si la communauté internationale ne se substitue pas, n’accompagne pas un processus de paix je ne crois pas que Mahmoud Abbas et Benjamin Netanyahu discuteront naturellement », a expliqué l’ancien porte-parole du PS.

     

    « Il faut avancer aujourd’hui pour assurer l’insertion d’Israël dans un environnement pacifique qui lui assure la sécurité à long terme. Pour cela, il faut poser un acte politique et symbolique fort : la reconnaissance par la France et je l’espère d’autres Etats européens, de la Palestine », a-t-il conclu.

     

    L’élu, soutien de longue date de la « cause » palestinienne, est l’un des principaux instigateurs de la reconnaissance en 2014 d’un État palestinien par l’Assemblée nationale.

     

    (...)

     

    En 2010, lors de l’arraisonnement par Israël de la flottille pro-Hamas, Benoît Hamon, porte-parole du gouvernement à l’époque, avait accusé Israël d’avoir commis « un bain de sang » alors qu’il était resté silencieux sur le massacre de la famille juive Fogiel, de la localité juive d’Itamar, perpétré par des terroristes palestiniens.

     

    Éric Hazan – © Le Monde Juif .info | Photo : DR

  9. Je suis lié de manière éternelle à Israël

     

    « J’assume, je suis lié de manière éternelle à Israël », a-t-il assuré, en réponse à une question du journaliste sur une phrase prononcée par le candidat socialiste en 2011. « Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël », avait-il déclaré à la radio locale Judaica Strasbourg.

    Éric Hazan – © Le Monde Juif .info

     

    ............................................

     

    D'accord ya zine, on ne l'oubliera pas.

    Mais il ne faut pas vous plaindre si vous êtes battu aux élections.:mdr:

    Yal khawas, votez bien...

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